*A TA RECHERCHE BBY*

*Le pouvoir masculain sur les femmes*

ATTENTION:LA SCÈNE QUI VA SUIVRE EST HOT, ÂME SENSIBLE S'ABSTENIR!

A écouter avec:
Skylar Grey- I know you
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J'étais le dos contre un buste muscler, sa main sur ma bouches. Je sentais son souffle sur mon cou et sa main droite se poser sur le bas de mon dos. Il enleva sa main de ma bouche et me souffla dans le cou. Je me tendais a se contacte. Je sentis un sourire se former dans son souffle.

Il déposa ses lèvres sur mon cou et commença à y poser des baiser doux. Il descendais ses mains jusqu'à faire le tour de mes fesses.

Mon cerveau ne fonctionnait plus. Dans des moments comme sa je me serais retourner et j'aurais sauter le gars après, il aurait eu trop peur de revenir car je lui aurais bien refais le portrait.

Mais hélas a ce moment j'étais tendue et j'aimais l'effet qu'il me faisait, il n'étais pas comme les autres gars les 6 gars qu'il y a eu de puis les 6 mois sans Androw.

FLASH BACK

J'étais à la maison, mes parents n'étaient pas là depuis 3 semaines. Je pleurais chaque soir en me r'appelant .. Androw .. L'homme de ma vie, pour oublier je mélangeais, sexe drogue et alcool. Je n'avais plus de vie familiale et je n'avais plus de pote.

Ma vie se résumait à aller en cours, rentrer, partir en soirée, degueuler, coucher a droite a gauche et dormir.

Ma vie était un cauchemar, mes parents s'enfermaient dans le travaille. J'étais insupportable et cela les rendait triste. Quelques mois après maman avait décider de m'aider à remonter la pente et m'avais inscrit chez un psy, à la boxe et nous avions déménager dans la banlieue de Paris loin de Nice. Loin de mes amis, du soleil, de la plage et des souvenirs.

Ma mère était en effet au courant de ce qu'il c'était passer avec Androw. Elle avait pleurer pendant 3 semaines et avait eu envie d'appeler la police pour dénoncer le gang de Kevin.

FIN FLASHBACK

La personne derrière moi, ou plutôt l'homme me mordit la peau se qui me fit revenir sur terre.

Il me retourna et je pus admirer son visage. J'étais surprise, je posais mes mains sur son visage et lui plaçait ses mains sur mes hanches.

Je le regardais dans les yeux il étai magnifique. Ses eux déviaient sur ma bouche et il prononça un petit : "J'ai envie de toi"

J'avais souris et j'avais rapprocher mon visage du siens. J'avais ensuite poser mes lèvres sur les siennes pour les liers comme si c'était un besoins vitale. Il avait mis ses mains sur mes fessés comme pour me donner le signale pour que j'enroule mes jambes autour de son corps. Il me plaqua contre le mur humide derrière moi. Et colla son corps encore plus contre moi. Nous étions habiller mais je pouvais sentir son excitation. J'en avais moi même des papillons qui flottait dans le ventre. Non pas une marque d'amour mais une marque d'envie. J'avais envie de lui et il le savait. Il en jouait. Il me donnait des coups de reins, pour me donner encore plus envie. Il continuait jusqu'à ce que je pousse un gémissement qui le fit lui aussi gémir mais il était plus animal.

Moi: Erwan ...

Erwan: Ma belle ...

Moi: J'ai envie de toi ... Je fermais mes yeux et posais mes lèvres sur les siennes. Il commençait à vouloir déboutonner mon slim. Moi j'entrais mes mains froide sous sa chemise se qui le fit frissonner.

Le cloche se mit a sonner quand Erwan me donnât un gros coups de reins. Mon gémissement était cacher par la sonnerie. Je l'entendais échapper un soufflement.

Je le décrochais de lui et je sortais de la ou nous étions et quand je me retournais je retrouvais personne.

Après cet petite scène assé hote, je me suis réfugiée à la salle de sport. Mes parents m'avaient envoyer un denier petit message, pour me prévenir de leurs départs en avion. J'étais dans les vestiaires, je me changeais. Je portais une brassière de sport Nike rose et un joggings large gris qui me tombait sur les hanches. J'enfilais mes gants blanc. Je me mis en position d'attaque et je frappais. Cela faisait déjà 2h que je frappais dans se foutus sac.

La salle commençait à se remplir d'homme, de quelques femmes bien-sûr. Je sentais les regards rivé sur moi. En ayant mare, je fis volte face et tous les regards se trouvaient de peurs d'affronter le mien. Je me mis sur le rings et je me mis à faire des pompes et des abdos. Je sentis les tapis du rings s'affaisser et je me redressais a une vitesse affolante pour atterrir sur Thomas.

Moi: Mais tu fous quoi ici ?

Thomas: Je t'ai vus partir vers 14h, je m'inquiétais donc je tes suivis. J'en avais marre de poirroter dehors alors je suis rentré.

Moi: Il est quel heure ? Je me redressais et l'aidais à se relever.

Thomas: 18h t'as ...

Moi: MERDE ! MA FÊTE !

Thomas: Cnest ce que j'allais te dire, mais t'inquiète pas j'ai prévenus les autres, ils ont fais toutes les courses et ils sont chez toi.