—Deux ans plus tard—
Chloé
Jeudi 11 10:34"Pierrette, sur la tête tant un pot de lait,
Bien posé sur un coussinet,
Prétendait arriver sans ancombres à la vi..."La voix de Mme Forgeaux continua de bourdonner dans mes oreilles pendant que mes yeux restaient collés sur la fenêtre derrière elle. Les leçons de français n'était pas mes préférés comme je suis déjà française et que tout ce que 'j'apprenais' était des notions déjà vues avec Mme Bustier. Elle me manque tellement, elle et ses leçons...
"Notre laitière, ainsi troussée,
Comptais déjà dans sa pensée,
Tout le prix de son lait; en employant l'ar..."J'avais la chance d'avoirs une magnifique vue sur la statue de la liberté de ma chambre. En ce moment même, jetait assise sur mon bureau, en face de ma professeure privée. Ça fait déjà deux ans que je quitta Paris et honnêtement, je me sent plus légère. Je suis enfin libre de toute la haine que les autres m'éprouvaient.
Initialement, mon papa voulais que j'intègre une école privée ici, ce qui finit par arriver, mais je me suis faire raillée à cause de mes origines française. Mon premier jour était semblable à un passé dans les abysses de l'enfer.
Quand jetait arrivée, tout ce à quoi je pensai était là grandeur de cette école. L'entrée était gardée par deux gardes en bonne forme si; je me le permet de dire; chacun un fusil à la main. Ils m'on certes effrayer tout d'abord mais cela ne m'empêcha pas de les saluer en passant près d'eux. Mais ils ne me répondirent même pas. Quel accueil chaleureux... Je me convînt de continuer mon chemin et j'arriva alors d'un pas pressé vers mon casier. Ou c'est ce que j'aurai aimer qu'il arrive, puisque contrairement à mes attentes, un magnifique jeune homme de bonne figure se tenait devant la porte métallique. Il me dépassait de quelque centimètre et possédait une paire sublime de yeux de jad. Je m'étais perdu en eux. Je me sentais comme noyée dans cette forêt qu'il détenait.
Mais il me sortit de ma rêverie en me saluant et demandant mon nom. Mais bien entendu, étant l'idiotte et sotte que je fut autrefois, je dus répondre d'un sec et égoïste;
"Hi. I'm Chloe Bourgeois, Paris' mayor's daughter."
(Bonjour, je suis Chloé Bourgeois, la fille du maire de Paris.)Un sourire ornait alors, soudainement, son beau visage. Je cru jadis que s'était un signe qu'il m'appréciait mais je me trompais. Ce chien ne me voulais que de l'argent et de la popularité. Et le reste n'est pas un souvenir plaisant dont je voudrais me rappeler...
-MISS BOURGEOIS!
(Mademoiselle Bourgeois!)Son cœur fit un saut et elle tournât son regard bleu ciel vers celui de couleur noisette de sa professeure. Elle put y apercevoir de la filaire et de la frustration, mais la déception détrônait tout ceux-là.
Mme Forgeaux croirai en Chloé non seulement entant qu'élève mais aussi entant que personne. Elle était consciente de son passé et voulais la voir fleurir de nouveau. Quelque fois, elle lui demandait comment se passa sa journée ou comment elle se sentait en cette journée, parfois même lui assignait des devoirs sur elle même.
Un des progrès les plus flagrants qu'a réalisé Chloé était sa captivité à peindre.
Chaque jour, elle rentrait dans la chambre et trouvais un nouveau tableau, le lendemain, ce même tableau et continué, jamais délasse inachevé par terre. Jamais, depuis sa connaissance avec la blonde n'a-t-elle abandonner un tableau.
Mme Faureaux expira un souffle d'air et sourit à son élève.
-I guess that's all for today...Go rest.
(Je suppose que c'est tout pour aujourd'hui... Va te reposer)L'éclat habituel fut instantanément de retour sur son visage qui s'illumina.
Oui! Enfin finit! Je commençais et fatiguer avec tout ses poèmes.
La vielle dame se leva et se dirigea vite vers l'entrée de la maison. Je la remercia et lui dit au revoir.
Dès que le claquement doux de la porte me parvint au oreilles, j'accourus vers mon armoire et en sorti un verre en plastique fin, quelques pinceaux de bois de différentes tailles et enfin une toile, de dimension plutôt larges. Je voulais peindre un portrait qui se dresserai sur mon lit. Alors je m'emparas de la plus grande toile en ma possédions et la plaçât sur mon chevalet. Et puis pour les cinq minutes qui suivirent était dévisager la surface blanche.
Je n'avais aucune inspiration! Et maintenant quoi? Je savais que je désirais un portrait, d'une figure masculine plus exactement. Alors je balada mon regard sur ma chambre à la recherche de quelque chose qui pourrai m'aider et tomba sur mon téléphone. Sabrina m'avait envoyer un message durant mes trois heures avec Mme Forgeaux. C'était une photo avec un text:
Tu nous manque beaucoup, j'espère que tu t'amuse toujours à NY 💜💜💜
PS: Luka dit Coucou.
Un sourire apparu sur mon visage. Cette fille est désespérée. Même après maintes tentatives de la persuader que je n'étais qu'une personne toxique, elle tien encore à notre amitié. Je répondis rapidement par trois cœurs et, poussée par la curiosité, ouvris la photo. Elle y figurait, ses cheveux relevés dans un chignon négligé et portant ses nouvelles lunettes; elle étaient dorées et rondes, lui donnant un air plus mature. Mais elle ne portai pas de maquillage ce qui me surprit comme elle mettait toujours du fond de rein pour changer ses nombreuses taches de rousseurs dans le temps, qui étaient, dans cette photos, présents. Son expression était si adorable, elle souriait d'un air béat et faisait un signe de la main. Je suis contente de voir elle est vraiment heureuse pour une fois.
Debout près d'elle, se trouvait ce garçon, celui qui intriguait mon attention autrefois...j'ignore la raison pourtant. Je le regardait sans raison et examinait ses traits de temps en temps. Je savais qui il était, il avait un faible pour Marinette mais elle déclina ses sentiments et se mit en couple avec Adrien pas plus tard. Je compris la douleur son son cœur brisé comme j'aimai Adrien moi aussi. Mais je n'est jamais réaliser que j'avais tourner la page depuis longtemps. Pour moi, c'était une évidence que je l'aimerais toujours et quand lui et Marinette étaient devenus officiels, je n'étais pas encore parvenu à la conclusion que je ne l'aimais plus.
Hum, mais revenons à nos moutons; le, a présent jeune homme, possédait encore ses cheveux de couleur bleu marin, mais sa couple a différait, un côté étant plus long que l'autre. Un bonnet jaune orné d'une épingle qui semblait représenter une abeille couronnait sa tête.
Ces petits détails me réchauffaient le cœur. Quelqu'un se souvien encore de Queen Bee! Quelque chose d'autre qui attira mon attention étaient les deux nouveaux trous sur ses oreilles. Et ses yeux, ils possédaient encore lueur d'espoirs et joie qui ne manquait jamais a poser un sourire sur mes lèvres.
C'est des gens comme lui qui me donnent l'inspiration de devenir une meilleure personne et de me réveiller chaque matin. Mais il y avait encore un vide dans ses pupilles d'un bleu éclatant qui m'intriguait plus je le regardai.
- Je sais qui peindre...
Elle prononça entre ses lèvres souriantes. Mais cette fois c'était un sourire sincère, pas comme tout ceux qu'elle avait pris l'habitude de montrer devant tout le monde. Mais au moment où elle posa sa main sur le crayon pour commencer son croquis une femme de chambre au nom d'Aemilia entra et dit d'une voix timide et respectueuse;
"Miss Chloé, you father has just arrived from Paris and would like to talk to you."
(Demoiselle Chloé, votre père vient d'arriver de Paris et voudrait vous parler.)
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FanfictionMISES À JOURES LENTES (dsl) Luka x Chloé fanfic Elle s'était haïe, incomprise, brisée. Il était ignoré, négligé et amoureux, vraiment amoureux. Deux ans d'isolations et de réflexion intense à New York. C'est par cela qu'est passée Chloé avant d'en...