Chapitre 2

2 0 0
                                    


Le monstre couru vers les trois assassins et les percutèrent de plein fouet, les trois hommes tombèrent au sol inconscient mais toujours en vie, la bête les embarqua et les emmena dans le château roi Magnard. Lorsqu'ils se réveillèrent ils étaient allongés dans des lits en bois séparé, de la peau de cerf leur servait de couverture et des sacs remplit de plume de poule faisaient office d'oreiller. Des torches étaient accroché au parois en métal, qui servaient de mur, pour éclairer la pièce et une cheminé réchauffait la chambre des trois compagnons, les fenêtres donnaient sur l'arène où ils avaient perdu leur combat. A côté de leurs lits se trouvaient des guéridons en or et des petites horloges fixé dessus, quelques pas plus loin se trouvait un tapis fait en peau de tigre à dent de sabre. Jasost se leva en premier et avança vers la grande porte en bois qui se tenait de l'autre coté de la pièce, face au lit, Aparion le suivait de près et Niishik resta au lit pour se reposer un peu plus.

Les deux compagnons sortaient de la pièces et arrivaient dans un long couloir où les murs étaient recouvert de tableau, d'ancien roi au vu des couronnes posaient sur leurs têtes, au milieu du sol il y avait un fin tapis rouge aux bordures jaunes, des lanternes étaient accrochés au plafond et éclairé la pièce à l'aide de la fenêtre présente au bout du couloir. Une grande femme vêtue d'une robe noir et de bijoux luxuriant approcha accompagné de sa servante, sûrement torturé aux vue des cicatrices qu'elles portaient sur les bras et de son air triste et froid qu'elle laissé paraître sur son visage.

« Aparion, Jasost et... Où est Niishik ? Demanda la femme

- Euh... Il ne s'est pas réveiller. Répondit Aparion

- C'est pas grave, Magnard veut vous voir tout les trois. Il vous attends dans la salle du banquet au bout du couloir à droite, partez devant Niishik vous y rejoindra dans une dizaine de mi... »

La bonne fit tomber le plateau qu'elle tenait dans les mains, le son du plateau en argent retentit dans tout le couloir, elle se jeta alors au sol et s'excusa en mettant les mains devant son visage pour le protéger. La grande femme s'agenouilla et baissa les bras de la bonne et l'excusa avec un grand sourire alors elle cessa de sangloter, elles s'excusèrent et repartirent, les deux compagnons se dirigèrent alors vers la salle des banquets.

Après être arrivé dans la salle où Magnard se remplissaient la pense, Aparion et Jasost s'assirent au bout de table en face du roi du Nord, peu de temps après Niishik arriva en baillant accompagné de quatre gardes en armure de fer. Magnard entama la discussion :

« Voilà les fameux guerriers du royaume d'Hopland que le roi envoie pour répondre au défi que je lui ai lancé, à vrai dire j'espérais que ce soit vous qu'il envoie. Vous êtes connu dans tout mon royaume pour vos faits d'arme exaltant comme la prise du fort Bekino, où votre roi lança un siège qui dura plusieurs mois puis vous envoya comme dernier espoir et... HOP... En dix heures le fort étaient à vous. Magnard rigola doucement. Vous avez fait fort sur ce coup-là je dois bien le reconnaître, mais revenons en a nos affaires, je voulais vous montrer la vérité sur votre roi. Mes soldats qui vous ont accompagné pour venir ici m'ont rapporté que vous avez subis une attaque en venant ici n'est-ce pas ?

- Oui c'est exact et une lettre de mise à mort aussi signé avec l'initial « M » et comme votre nom commence par cette lettre on s'est dit que vous pouviez nous aiguiller sur la question de « pourquoi proposer un défi si c'est pour faire assassiner les combattants ? ». Répondit Niishik.

- Et en plus il y avait votre sceau sur le parchemin. Ajouta Aparion.

- On peut se servir dans les plats ? Demanda Jasost

Aparion et Niishik regardèrent Jasost d'un air incompris.

- J'ai faim et je veux de la viande. Dit Jasost d'une petite voix.

TriviéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant