Chapitre 14

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PDV Zoro

Il rentre délicatement dans l'eau brûlante et m'incite à le rejoindre avant de se mettre dos à moi pour s'appuyer sur le rebord pour pouvoir admirer les lumières des habitations situées plus bas, j'en profite pour admirer ce corps fin et à la fois musclé mais surtout son dos si élégant, sous cet angle son corps paraît à la limite d'être androgyne ce qui n'est pas pour me déplaire.

Je m'avance à mon tour en enlevant rapidement mes vêtements, ce soir le ciel est dégagé et la lune est pleine, l'air est frais avec une légère brise ce qui donne un peu de répit à toutes les âmes présentes sur l'île.

Une fois que je me suis habitué à la chaleur de l'eau je m'approche de ce dos si attirant et plus je suis proche plus je peux voir son fessier royal qui ferait tomber n'importe qui, une fois assez proche je me colle à lui et pose ma tête sur son épaule et pose mes mains sur sa taille, un petit sursaut de surprise se fait sentir de son côté mais rapidement il se colle plus contre moi, nous passons quelques minutes à observer cette magnifique vue.

D'un coup je sens qu'il commence à se trémousser contre mon bassin, je pense donc qu'il ne s'en rend pas compte et fait comme s'il ne se passait rien mais les mouvements se font plus insistants et rapides, s'il continue comme ça je ne pourrais plus me retenir et je sens déjà que ma partie basse s'active bien trop à mon goût.

PDV Sanji

Je l'entends s'approcher de moi et je fais mine de rien en regardant les habitants et personnes de passage se mélanger à une fête très animée, ils chantent, dansent, rient fort mais pas assez pour perturber ce moment privé et bientôt intime entre Zoro et moi même.

Alors que je suis légèrement transporté dans mes songes, je sens un poids pas négligeable se poser contre mon dos mais surtout son... truc se poser contre mon postérieur ce qui a pour effet de me faire un peu sursauter, il pose ses mains sur mes hanches et sa tête sur mon épaule puis quelques minutes passent dans le silence mais ce n'est pas un silence lourd ou gênant, loin de là c'est plutôt un silence agréable, celui ou aucun mot n'a besoin d'être prononcé pour qu'une compréhension mutuelle et complète se fasse entre deux êtres, cela ne fait que peu de temps qu'on est dans le même équipage mais j'ai l'impression qu'on se connaît depuis toujours et qu'on se comprend parfaitement, tous l'équipage le sait, malgré nos petites bastons quotidiennes on est de très bon amis mais ce que nos amis ne savent pas ou une majorité du moins, c'est que l'on est bien plus que des amis depuis quelques temps.

Avec lui je me sens en sécurité pas seulement au point de vue physique mais aussi mental, je peux confier n'importe quoi aux autres sans me faire juger mais j'ai bien l'impression que c'est auprès de lui que je me sentirais le mieux pour me confesser ou m'appuyer dans un moment de profond mal être et j'aimerais qu'il sache que c'est réciproque même si je suis sûr qu'il le sait déjà.

Je me fais sortir de mes pensées par ce tas de muscles qui ressert son étreinte, ce qui chauffe de plus en plus mon corps, je commence alors à bouger mes hanches parce que bon on est pas non plus là pour faire trempette en pensant à la vie, moi j'avais prévu un programme plus mouvementé et j'ai l'impression qu'il est pas motivé à faire le premier pas du coup je vais pas me gêner et voyant qu'il ne s'active toujours pas j'intensifie mes mouvements et bingo je sens que ça se réveille en bas et de mon côté aussi d'ailleurs.

Alors que je continu mon petit jeu il me prend par les épaules pour me retourner brusquement, je me retrouve face à lui, nos bassins se collent et des rougeurs s'installent sur nos joues.

Je suis d'humeur joueur et dominant ce soir, sûrement l'alcool et puis bon c'est moi qui ai trinqué la dernière fois pas question qu'il y échappe.

Je monte alors ma main vers son menton en prenant soin de passer le long de son torse, j'approche sa tête de la mienne et lui offre un baiser remplit de passion et de fougue, nos langues dansent et pendant ce temps mes mains caressent ses épaules, sa mâchoire, son dos et ses fesses que je prend un malin plaisir à malaxer, de son côté il est très réceptif et ne reste pas inactif, ses caresses brûlantes de désir descendent lentement vers nos intimités, il prend alors nos sexes pour faire des vas et viens l'un contre l'autre, j'intensifie alors ce contact et notre baiser en passant une main dans ses cheveux si doux.

Une fois le désir quasiment à son paroxysme je décide de prendre le dessus en le poussant d'un coup sec mais à la fois très délicat, je prends soin de le déposer sur la partie immergée du rebord et commence à balader mes mains sur son corps, plus le temps passe plus elles descendent pour atteindre sa deuxième intimité mais je le sens contracter l'ensemble de ses muscles à l'approche de mes doigts, je lève alors le regard et peux très clairement distinguer de la peur dans son visage éclairé par la lune

S- T'inquiète pas je vais faire doucement

Z- C'est la première fois pour moi je suis pas très sûr de continuer... et puis j'ai plus l'habitude de dominer...

S- Ne t'inquiète pas je vais y aller doucement et tu me dit si tu veux que j'arrête ou que je ralentisse... la dernière fois c'était aussi ma première fois et ça c'est bien passé non ? Alors fais moi confiance s'il te plaît

Z- D'accord...

J'entre alors un premier doigt lentement tout en continuant les vas et viens sur son membre pour rendre l'expérience plus agréable, j'entame des petits mouvements circulaires avant d'insérer un deuxième doigt et de faire des mouvements en ciseaux.

Une fois que je penses pouvoir continuer je lui prends la main et place mon membre devant son entrée.

S- Je peux ?

Z- O-ouais...

Je rentre alors doucement et par étape ma virilité en lui avant de m'arrêter pour attendre son feu vert, je vois alors une larme couler le long de sa joue

S- Tu veux que j'arrête ?

Z- Non ça va laisse moi juste le temps de m'habituer

S- T'inquiète va à ton rythme.

J'attends un mouvement de hanche de sa part pour commencer des vas et viens légers et lents pour ne pas le brusquer, après quelques instants j'accélère progressivement le mouvement et j'atteins enfin sa prostate je décide alors d'accélérer encore tout en le masturbant, peu de temps après nous jouissons ensemble, je me retire alors et m'assois à ses côtés.

Nous reprenons notre souffle devant cette magnifique vue, soudain je sens sa tête se poser sur mon épaule et remarque qu'il dort, je décide alors de rester encore un peu avant de le réveiller et de rejoindre les autres... je n'oublierais jamais cette magnifique soirée et ce ciel.

Zosan sentiments sur le bateauOù les histoires vivent. Découvrez maintenant