Tell me it ain't over yet

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P.O.V  Lauren
Je me réveille encore prise sous la substance d'hier. Je me lève et va prendre une Tylenol et un grand vers d'eau.

Je nourris mon chien avant d'aller prendre une bonne douche chaude. Après mettre laver je met mon uniforme de travaille. Je regarde l'heure et MERDE. Je suis en retard...encore une fois cette semaine.

Je sort de l'appartement en courant et descend les sept étages à toute vitesse. Pourquoi sept étages?! Et pourquoi il n'y a pas d'ascenseur?! Arg! 

Arriver au sous-sol je cours à mon auto et j'essaye de démarré. L'auto cale. Je réessaye. L'auto cale.

Je frappe le volant de toute mes forces en criant des bêtises à la con. Je suis fatigué de cette foutues auto de merde, de cet appartement de merde!

Je sors vite et cours jusqu'à l'arrêt de bus le plus proche. J'arrive pile poile quand il s'arrête à l'arrêt. Je m'assoie au fond et mets mes écouteurs. La musique détend mes nerf et me calme jusqu'au métro. 

Je débarque du bus et me dirige dans le métro. Dans le wagon un gars assez flippant me fixe sans arrêt.
-Quoi?! Tu veux ma photo?! Lui demandais-je énervé de son comportement dégueulasse.
-Oui...me répond-t-il avec un sourire avant de sortir son téléphone et prendre une photo de moi.

Mon visage déglutit à une vitesse folle. Je prends mon sac comme plusieurs autres femmes qui ont vues la scène et change de wagon.

Après vingt minutes de trajet je sors enfin et cours le plus vite possible au Café Angeline. À la seconde où je mets mon pied dans le magasin Normani me tire par la main en arrière du comptoir.

-Mais tu étais où?! J'ai du dire que le chien était au vétérinaire?! Me criais-chuchotait-t-elle.
-Je suis désolé je ne me suis pas réveillé se matin, lui répondais-je avant de me faire couper par Amanda, ma patronne
-Lauren vient me voir dans mon bureau. Me dit-t-elle durement.

Et merde.

Je la suis dans son bureau, les mains moites. Elle ferme la porte et la barre derrière elle.

- Tu sais se qui arrive quand tu arrives en retard n'est-ce pas? Me demande-t-elle avec un sourire pervert assis sur son pupitre de travaille.

Je ne réponds rien. Je sais se qui m'attends...j'en ai bien trop l'habitude. Je m'agenouille devant elle et enlève son sous-vêtements avant de commencer à lui faire du bien. Ses mains sont agrippées à mes cheveux et les tires à plusieurs reprises. J'ai mal, je n'aime pas ça...je ne l'ai jamais aimé.

Après dix minutes je me relève et sort de la pièce avec les larmes au yeux et les mains tremblantes. Je me dirige directement dans les toilettes et vomis dans la cuve. Je me dégoûte. Tout ça sa me dépasse. Rien ne va. Je vie avec Normani dans un appartement bien trop petit a un prit exorbitant. Je dois avoir deux travail, celui au café et celui de nuit au *Tim Horton's. Je ne mange plus, je ne dors plus. À chaque fois que je suis en retard je dois putain de baiser ma boss. Ma vie c'est de la grosse merde. Et en plus! J'ai vue Camila à la fête d'hier. Quoi de mieux pour se sentir comme...de la merde bien molle.

Je me recoiffe vite fait avant de me regarder une dernier fois dans le miroir et quitter la pièce et aller travailler.

Élipse 3 heure:

Il est 17h et il y a de moins en moins de client. Enfin. Quand je la vois rentrer. Je me baisse le plus vite possible et me cache sous le comptoir. Normani est ne comprend pas mon soudain besoin de fuir avant d'entendre la voix de Camila.

-Normani? Oh mon dieux ça fait tellement longtemps! Comment ça va? Lui demande  Camila avec un sourire qui s'entend avec sa voix.

-Ça va bien! Ça va parfaitement bien!

Mensonge!

-Géniale! Je suis un peu pressé, je vais prendre un latté ah et aurais-Tu un papier et un crayon?

- Parfait je te prépare sa et tiens, lui dit Normani en lui donnant un papier et un stylo.

Pendant que Normani lui prépare son latté j'entends Camila gribouiller des choses sur le papier.

-Tiens, ça te fera 5,85$, lui dit ma meilleure amie avec un sourire.
-Ok, merci, lui dit Camila avant de payer, ah et tiens c'est mon numéro, j'essaye de reprendre contact avec toutes les filles. Il me manque que Lauren! Si tu la voit dit lui de m'appeler, lui-dit-elle avant de se faire appeler par un homme au téléphone.

Les deux quittent le café rapidement. Alors que je restes sous le comptoir en sécurité loins de tous sauf mani.

Au bout de cinq minutes je sors de là et va au vestiaire pour mettre mon autre uniforme de travail suivies de près par Normani.

-C'étais quoi ça? Me demande Mani très perplexe par la situation.
-Hier à la fête je l'ai vue...et je suis parti dix minutes après l'avoir vue, je ne lui est rien dit. Je ne pouvais pas lui parler, pas tout de suite, je ne suis pas prête. Lui dis-je, le regard au sol.

Elle ne dit rien. Elle m'enlace tendrement dans ses bras. Après l'étreinte fini, ont prends nos choses pour moi aller au travail et elle a la maison se changer.

Élipse jusqu'à la fin de son travail.

Je sors et barre la porte derrière moi, non sans me frotter le nez à mainte reprise. Je marche seule jusqu'à mon appartement qui est à vingt minutes.

Plus je me r'approche de la maison plus j'entends des cris étouffés. Arriver proche de la ruelle j'entends une voix d'homme...le même que dans le métro se matin. À la ruelle je le vois essayer de déshabiller une femme qui pleure et qui cris de toute ses forces. Je vois rouge.

Je laisse tomber mes sacs et je me jette sur lui, je lui fou une droite en plein dans la mâchoire ce qui fait qu'il tombe au sol. Je me met à califourchon sur lui et le roues de coup. Et d'un coup je sens son érection devenir plus grande. Les hommes me dégoûte.

-Et encore la tu bande sale porc de merde? Lui dis-je calmement mais durement.

Je me relève et le kick dans le ventre et ensuite dans les couilles le plus fort possible. Il agonise un sol. Je prend son téléphone et sors sa carte sims et la mets dans mes poches. Je prends son porte-feuille et regarde qui il est. Andrew Miles. Quel nom de merde honnêtement. Je vois qu'il a 300$ cash dans son porte-feuille, je le prends et le met dans ma brassière. Je sort ensuite mon téléphone et le prend en photo pour la police.

Je me retourne et vois la jeune femme toute tremblante et en sanglots. Je m'approche lentement d'elle et elle me prends dans ses bras. Je n'est toujours pas vu son visage mais son odeur est familière.

-Merci Lauren.

Je reconnais sa voix. C'est elle.

-Tu n'a pas besoin de me remercier Camila. Mais veux tu aller au poste de police? Lui demandais-je en espérant traîner cette pourriture au sol jusqu'au poste.
-Non...mais est-ce que je peux rester chez toi se soir? Me demande-t-elle les larmes au yeux.

Je lui répond pas mais prends sa main dans la mienne et lui donne un baiser sur la joue avant de la guider à mon appartement.

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Hey voici le premier chapitre du tome 2 du Pensionnat. J'espère que sa vous a plus et je suis désolé des fautes d'autographes.
( ˘ ³˘)♥.    Elow_Jauregayyy