Quatre jours plus tard la situation n’avait fait qu’empirer, le campement était devenu trop petit pour accueillir tout les survivants. De plus, les tranchés étaient pleines. Le commandant prit donc la décision de tous nous réunir afin de nous annoncer le plan d’évacuation. A l’aide de hauts parleurs il nous annonça la procedure à suivre.
Les hauts parleurs commençaient à grésiller et sifler légèrement.
" - Ici le Colonel O'Bryan, commandant des forces de la Répulique Mondial en poste sur cette base. La situation est devenu critique. Je vais premièrement vous faire part de la situation international. Les forces rebelles ont réussi à prendre le contrôle de plusieurs métropoles tel que Paris, Tokyo et Miami. Nos forces sont encore sur le front afin de sauvé plusieurs autres villes tel que Londres, qui est actuellement prit pour cible.
Des cris de désespoir ont commencer à ce faire entendre, le commandant reprit.
- En ce qui concerne la situation, les unités de secours, par décision du Parlement, ce voit dans l'obligation de stoper les recherches de survivants."
A ce moment des pleures ont retentit dans tout le campement, masquant la voix du commandant qui demandait le silence afin de continuer son discours.
Il reprit : " - Par ordre du Général O'Bryan, les unités déployées sur la ville de Chicago, doivent au plus tôt rejoindre leur base d'affectation.
Voyant tout ces gens remplient de desespoir, de tristesse et de colère, quelque chose monta en moi et je ne pu me contrôler, je partis donc en direction du centre de commandemant en courant.
Une fois arrivé devant le centre, les soldats en poste devant l'entrée me refusèrent de pénétrer à l'intérieur.
" - Halt là, personne ne rentre sans en avoir obtenu l'autorisation au préalable."
Je n'avais pas le choix, je devais rentrer. Alors je saisie l'arme du soldat sur la droite, un leger combat commença, je le pris par le cou et attrapa son 9mm qui été attaché à sa ceinture. Etant posté devant lui, il était devenu mon otage.
Alors que trois soldats me tenaient en joue, je dis :
" - Cette homme n'est pas mon otage, je veux simplement parler avec le Colonel O'Bryan. Dites lui que le Colonel Davis souhaite s'entretenir avec lui ! "
A ce même moment, le Colonel arriva.
" - Baissez vos armes soldats, et laissez entrer notre cammarade. Suis-moi ! dit-il en me regardant."
Je relacha alors je jeune sergent que j'avais pris comme otage, lui redonna son arme et suivi O'Bryan. Nous montâmes quelques marches, il s'assis et commença :
" - Davis, tout le monde te croyaient mort, c'est une belle surprise que tu nous fais là !
C'est paroles étaient dites sur un leger ton d'arrogance.
- Et bien non, comme tu peux le voir, je suis toujours vivant, j'ai eu raison des températures glaciales du pôle artique.
- Quel suprise ... dit-il déçu. Bien je me doute que tu n'es pas venu là pour faire tes retrouvailles avec moi. Quel bon vent t'amène ici, et te fais prendre un de mes soldats en otage ?
- Vous ne pouvez pas quitter la ville, sans vous toutes les personnes survivantes mourrons. Ils n'ont plu rien, vous ne pouvez pas les laissez ici sans rien !
- Ordre du Pentagonne, toutes les forces armées de la République sont réquisitionnées.
- Et eux alors, dis-je sur un ton plus fort en pointant du doigt le campement visible depuis le poste. Comment vont-ils faire ?
- Ils ce débrouilleront écoute, je ne suis pas dieu ..."
Alors qu'il allait commencer à prononcer des paroles qui m'aurai mise hors de moi, je le coupa et continua :
" - Je veux parler au Président !
- Ca tombe bien, il t'attend, tu pars avec nous.
- Et si je ne veux pas ?
- Alors on t'obligera
- Personne ne me force à faire ce que je ne veux pas faire, il n'y a aucune autre personne qui sait ça mieux que ..."
Alors je sentis une odeur de cloroforme, je n'eu pas le temps de faire quoi que ce soit et m'évanouie.
