Les lumières tamisées des lampadaires éclairaient seulement parcimonie leurs silhouettes mouvantes tandis que leurs désirs insipides disparaissent dans la nuit sûrement sans lendemain.
Une simple erreur couvrant leurs corps d'un souvenir impérieux e...
La journée passait trop lentement au goût de la brune qui s'amusait à dessiner des yeux délirants dans les morceaux vide de sa feuilles pleine à craqué de notes. Himawari tentais de temps en temps au départ de discuter avec elle mais ce fut un échec cuisant, elle fut très vite réduit au silence par leur professeur. L'hyperactive qu'était la petite blonde a ses cotés ruminait son mécontentement qui fluctuais déjà en fonction de ses cours qui commençait déjà a venir taper sur son crane trop plein. Soupirant de satisfaction la brune ce laissa s'échoir sans ménagement sur sa table entendant la sonnerie annonçant la pause de mi-journée. Ses camarades de classe s'afférait a déguerpir en troupeau hors de leurs classes pour rejoindre leurs amis ou le réfectoires a la recherche de quoi rassasier leurs estomac d'adolescents surexcités.
C'est la voix de Kirisawa qui la sortie de son état de l'élargie en l'apostrophant alors que la jolie brune allait assouvir sa soif intarissable sous la chaleurs de l'été la paille de sa brique de lait entre ses lèvres.
- Kaname il y a un groupe de filles qui te demande.
- Dit leurs que je suis indisposé.
Amorphe l'adolescente releva la tête vers l'entrée de leurs salle de cours devant celle-ci ce tenaient un groupe composé de première année, qu'elle avait cru apercevoir rapidement lors d'un des entrainement de volley du club masculin. La petite blonde essayait de les faire partirent avec un sourire complètement hypocrite peint sur son visage de poupée, face aux caractère impulsif de son amie elle pensait être tranquille; utopie qui c'était avérer fausse. Ses maux de têtes redoublèrent sous les cris horripilants qui partaient dans les aigues lui vrillant péniblement ses oreilles sensibles. Massant l'arête du nez pour amoindrir son malaise mentale, la brune ce releva de sa chaise venant la glisser sur le parquet dans un bruit assourdissant.
Kaname était apprêter de l'uniforme obligatoire de leurs institutions, ses long cheveux café au lait étaient quand à eux lâcher dans son dos tandis qu'à ses poignées gauches ce trouvais un bracelet en cuire noir qui allait en accord avec le bruit de fers s'entrechoquent des ses nombreuses bagues, seul bijoux qu'elle avait garder et ceux malgré l'interdiction. Elle posa sa mains sur l'encadrement de la porte en bois, ce geste brutal fit tairent l'attroupement féminins qu'elle dépassait aux moins d'une demi-tête. Himawari ne fut pas surprise par la confiance qui se dégageait de son amie quand celle-ci jetta un regard cuisant et encore moins d'entendre toutes les personnes murmurer sans gènes à chaque fois que ce genre scènes arrivaient.
- Vous pensez vraiment que j'ai que ca a faire de me déplacer pour des conneries pareil.
Silencieusement telle un serpent elle ce retrouva à quelque centimètre d'une des intruse qui recula de quelques pas mais Kaname vient enserrer le visage de ses doigts fins pour montrer son agacement
- Je n'accepte plus les déclarations quelques ce soit alors vous allez gentiment foutre la paix à mon amie.
Puis détachant la prise qu'elle avait sur la nouvelle venue tandis que la blonde darda un énième regard sévère sur le groupe d'inconnus pénibles. La porte ce referma sèchement dans un claquement sonore devant leurs nez laissant ainsi les deux jeunes femmes dans le silence agréables que la plus grande appréciait particulièrement. Apres l'accident la journée ce passant dans un calme nouveaux seulement occuper par le bruit des grillons qui séjourner a l'extérieur et les rires enfantins de Hima qui partais vers son club s'excusant rapidement auprès de la brune qui c'était retrouver de corvées seul.
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Dans un sommeil relativement agiter la jeune femme ouvrit les yeux difficilement en entendant son nom percer ses tympans fragiliser par les basses qui ce jouait dans ses écouteurs. Sa vision encore trouble elle cru un moment avoir perdu la vu mais fut rassuré en percevant la silhouette décomposée de son ami quelque peux troubler. L'adolescente releva allègrement sa tête de ses bras prenant le soin de vérifier ou elle était. La brune ce perdu quelque peux sous les sensations de bien être que lui provoquait la légère chaleurs du soleil venant s'échouer sur chaque partie de nue de son corps. Fermant les yeux un instant elle essaya d'oublier les présences qui l'entourais et de ce rappeler l'heures.
Soupirant, l'adolescente ce redressa sur sa chaise, sentant son sang pulser contre ses tempes et sa tête tournée quelques peux mais elle prenait sur elle. La tête haute croisant ses prunelle ambrées dans celle de Suna animé d'une flegme qui lui était propre enserrant sa poitrine, son cœur incessamment meurtrie à chaque nouvelle rencontre, dans l'étendue verdâtre. Mais l'aversion pour sa pauvre carcasse désabusé ne cessait d'accroître d'est que son regard d'or ne coulait vers lui. Le volleyeur murmura le nom de son amie qui semblait perdu dans des sombres pensées.
- Kaname ?
Mais elle ne l'avait guère entendu en vue de sa non réaction tristement appuyer sur ses coudes sa tète reposant dans ses mains. Sa frêle silhouette était éclairée par les quelques rayons de lumière clairsemés a travers les rideaux de la salle de cours. Les paupières fermé, les joues maquillé d'un roses léger du a la chaleurs malgré les fenêtres ouvertes qui laissait entrée une légère brises.
Le brun observait le mouvement des mèches châtains balayer par le vent frais qui c'était faufiler dans l'habitacle. Tandis que la dernière année avait détourner le regard vers l'horizon qu'on percevait a travers la vitres sa serait mentir si il ne l'avait pas trouvait ravissante. La jeune fille vient caresser la peau opaline de sa main lui intimant de rester comme ça encore un peu. Le jeune homme n'avait guère plus aucune appréhension face à l'attitude étrangement affective à certains moments de la brune qui réclamaient sa présence sans un mots ne sachant pas s'exprimer autrement.
La tête de Kaname vient basculer sur le torse de Suna qui ce trouvais debout face à elle. Il ne pouvait profiter que de sa chevelure boisée qui s'échouait sur sa chemise. Alors la jeune fille réprimait l'envie de se laisser submerger par l'odeur musquer du brun, qui ce contentait de jouer avec une de ses nombreuses mèches mordorées. Kaname essayait de ce persuadée depuis des mois que sa relation avec Rintarou lui suffisait, foutaise c'était un beau mensonge pour elle . Cette situation où son cœur c'était empêtrer n'était que confusion et désillusion elle savait qu'elle ne serait jamais la personne qui lui faudrait.
La musicienne désirait tellement pouvoir se soustraire à la pression qui la hantais chaque jour toujours un peu plus. Elle souhaitais retourner a une époque différente, insouciante, dans sa chambre où s'empilait ses disques préférés, réentendre sa voix particulière rauque ainsi que son rire doux caressent ses oreilles et effleurer une énième fois de sa peau diaphane les cordes de sa guitare. Mais la belle savait férocement que les événements a venir même perdu dans ses rêves ne ferait que retarder l'inévitable. Elle ce détacha de Suna les scènes tordu de ses nouvelles blessures estivales ce rejouant en boucle sous ses paupières. Son corps brûlant à chaque fois que venaient petit à petit, des antiques cicatrices s'inscrivaient comme au fer blanc dans son esprit frémissant. Dans un geste affligé elle souriais faussement a son ami comme pour le rassuré de quelque choses qu'elle même ne comprenait pas.
Il eu du mal à garder une expression impassible en remarquant le mal être qui la rongeait depuis cette été. Son aînée semblaient si fragile rien ne pouvais lui rappelé l'adolescente qu'il côtoyait à longueur de temps. Elle qui avait ce regard tranchant, cette attitude forte et cette prestance puissante. Le jeune homme fit un pas vers l'avant restant sur ses garde mais il fut stupéfaite en voyant les larmes silencieuse roulant sur les joues de Kaname. Suna voulu faire un pas de plus, mais elle l'empêcha d'un geste de la main. Il ce maudissait d'être parfois aussi maladroit qu'il n'arrivait pas exprimer avec des mots ce qu'il ressentait.
