Hunter x reader (Imagines)

Confession des sentiments

GON :

Vous partez faire un pique-nique dans la forêt. Tout est parfait : vous picorez dans les assiettes, tout en discutant.
Au bout d'un moment, il se lève et te prend par la main.

(T/P) : Eh attends, j'ai pas fini ma sauci-

Il t'entraînes jusqu'à un arbre, et t'aides à grimper. Au sommet, se trouve un nid d'oiseaux de toutes les couleurs.
A votre arrivée, ils s'envolent, laissant une multitude de plumes colorées derrière eux.
Tu en attrapes une.

(T/P) : Qu'est-ce qu'elle est belle !

Gon : Tu sais qui est belle aussi ?

(T/P) : *rougit* Euh non ?

Gon : C'est toi ! Tu veux bien être ma petite amie ?

Tu accepta avec joie.

KILLUA :

Gon, Killua et Biscke venaient de gagner le jeu Greed Island. Ils défilaient dans une calèche, sous une pluie de confettis et sous les applaudissements des joueurs.
Soudain, Killua t'aperçus au milieu de la foule.
Il courut te rejoindre.

Killua : Alors T/P, pas trop triste d'avoir perdu ?

(T/P) : Tant que c'est toi qui a gagné, ça me va.

Il te tira loin de toute cette agitation. Vous vous asseyez sur le rebord d'une fontaine. Ici, la ville était calme et paisible.

Killua : T/P, j'ai quelque chose à te dire...

Il te tendit un chocorobot.

Killua : Jjjteummm...

(T/P) : Quoi ?

Il venait de bafouiller et tu n'avais rien compris.

Killua : Je t'aime bakaaa !

Tu souris et lui fis un petit bisou sur la joue.

KURAPIKA :

La Lune opaline éclairait la ville et les alentours. Une brise légère chargée de parfums d'automne te chatouilla le nez.
Kurapika et toi étaient sur le balcon d'un hôtel où logeait la famille Nostrad.

En silence, vous regardiez la ville endormie.
Le jeune homme t'avait raconté son passé, tu comprenais à présent sa quête de retrouver les yeux écarlates. Tu l'épaulais dans sa tâche tout en travaillant comme femme de chambre.

Soudain, il retira ses lentilles. Ses yeux étaient rouges rubis. Tu en resta sans voix tellement c'était beau.

Kurapika : T/P, sais-tu pourquoi mes yeux sont rouges comme cela ?

(T/P) : Parce que tu ressens une forte émotion ?

Kurapika : En effet. J'ai tout fait pour les supprimer, j'ai tout fait pour te les cacher, mais mes sentiments pour toi ne s'en sont que décuplés. Ils ne sont pas compatibles avec mon projet, et pourtant ils sont bien réels.

Il te prit les mains.

Kurapika : Je t'aime T/P.

Tu lui répondit que tu ressentais la même chose et l'embrassa doucement.

LEOLIO :

Leolio : Hé T/P, est-ce que tu peux m'expliquer cette phrase ?

Tu te penchas sur son livre.

(T/P) : Qu'est-ce que j'en sais moi, j'étudie le mannequinnat, je ne connais rien à la médecine !

Leolio : Tu veux devenir mannequin ? Tu ne me l'a jamais dit !