Hunter x reader (Imagines)

Retrouvailles

GON :

Tu dresses ta tente (non, pas toi Mito) dans le jardin de Gon et partit dormir. Au petit matin, tu le retrouves et vous passez la journée à vous amuser dans la forêt.

KILLUA :

Tu le rencontres de nouveau à Masadora, alors que tu jouais au jeu Greed Island.

Killua : Eh, tu est la fille de l'autre jour !

(T/P) : On peut difficilement faire plus précis, mais oui, c'est bien moi.

Killua : Tu viens ? J'aimerais te présenter à des amis.

C'est ainsi que tu fis la rencontre de Biske et de Gon. Pourtant, tu refusa de t'allier à eux, voulant réussir à gagner le jeu toute seule. Tu ressentis un petit pincement au cœur en lui disant au revoir.

KURAPIKA :

Tu le voyais chaque jour veiller sur Mlle Neon. Au fil du temps, vous discutez de plus en plus et vous vous rapprochez l'un de l'autre.
Il t'a même invitée au café et vous avez parlé de livres. Tu sens une chaleur grandir dans ton cœur quand tu penses à lui.

Neon : Alors, il ce passe quoi entre ce Kurapika et toi ?

(T/P) : Quoi, euh... mais rien ! Rien du tout !

Neon : Ah oui ? Alors je peux le séduire ?

(T/P) : Quoi ?! Mais non il est à moi... euh je veux dire je pense qu'il n'est pas intéressé...

Neon : Je le savais ! Sache que je vous shippe totalement !

LEOLIO :

Tu recroisa plusieurs fois le grand jeune homme qui t'avait bousculé, Leolio. A chaque fois, vous échangez des insultes.
Aujourd'hui, il te barra le passage dans un couloir de l'université.

Leolio : Hé, la naine, où tu vas comme ça ?

(T/P) : Ça te regarde ?

Leolio : Tu vas voir un mec c'est ça ?

(T/P) : Je pourrais me taper tous les gars de l'université que ça ne te regarderais pas, Mr Le Oreo !

Il passa sa main dans ses cheveux.

Leolio : Est-ce que ça te dirais qu'on aille réviser au café tous les deux, après les cours ?

Tu accepta. Malgré vos disputes, tu commençais à bien l'apprécier.

HISOKA :

Tu devins la guérisseuse personnelle d'Hisoka. Enfin, c'est parce qu'il faisait exprès de se blesser après chaque combat pour se faire soigner par toi.
Tu finis par t'attacher à lui. Tu regardais chacun de ses combats à la Tour Céleste et célébrait ses victoires avec lui.
Il te faisait des tours de cartes et de magie pour t'impressionner.

Hisoka : L'amour est un jeu, veux-tu jouer avec moi ?

ILLUMI :

Après avoir perdu ton travail chez les Havre, tu erras pendant plusieurs jours dans les rues de York Shin City.
Tu finis par décider de te former pour devenir intendant dans la famille Zoldick.
A ta grande surprise, tu revis le jeune homme aux longs cheveux noirs.
Il venait souvent te voir travailler et t'observait sans parler. Tu finis par t'habiter à avoir sa présence à tes côtés.

KURORO :

En dépit de ta passion pour la lecture, tu n'étais pas une jeune fille normale. Tu travaillais comme assassin. Lors d'une mission, tu croisa la route de l'homme au bandeau blanc. Tu te replia, par peur qu'il ne te voie, mais il t'intercepta.

L'homme : Que vois-je donc ? La fille de la bibliothèque est un assassin ?

Il avait dit cela d'un ton amusé.

(T/P) : Et j'apprends que monsieur est le chef de la Brigade Fantôme ? C'est dommage, quand je vois une araignée, je l'écrase.

Il se mit à rire.

L'homme : Appelle-moi Kuroro.

Il te tendit le livre que tu lui avais laissé la dernière fois et partit en te faisant un clin d'œil.

PAKUNODA :

Un beau jour, tu croisa la route de Pakunoda, la femme qui t'avait sauvé la vie dans la ruelle sombre. Tu lui proposa une promenade au parc et elle accepta. Vous passèrent l'après-midi à discuter et à caresser les chats errants.

MACHI :

Tu reviens plusieurs fois vers Machi pour qu'elle te soigne. Elle ne rechignait plus à la tâche et s'ouvrait petit à petit à toi.
Tu tenta d'engager la conversation :

(T/P) : Euh tu aimes la couture ?

Machi : Non, moi ma passion, c'est le tricot et le jardinage.

(T/P) : C'est vrai ?

Machi : Mais non, idiote !

Tu rougis. Son insulte sonnait comme un mot affectueux à tes oreilles.

FEITAN :

Il te raccompagna chez toi après que ta journée de travail au musée se soit terminée tard.
Quand tu lui dit que tu appréciais cette attention, il revint bizarrement te rendre visite chaque soir.
On aurait dit qu'il avait peur que tu te fasses agresser dans la nuit.

SHARNALK :

Rentrée chez toi, tu songea à ce que t'avais dit le jeune homme à la salle d'arcade.
Il était assassin ? Ça devait forcément être une blague.
Tu te rappela qu'il t'avait laissé son numéro. Tu décida de lui envoyer un message.

(T/P) : Salut ! Tu blaguais tout à l'heure, pas vrai ?

Il répondit tout de suite. Il devait être du genre à être collé tout le temps sur son portable.

Sharnalk : Eh non ! Je suis un assassin de la Brigade Fantôme.

Il t'envoya une photo de son tatouage. Tu sentis un frisson d'excitation te parcourir : tu étais passionné par les histoires de tueurs en série. Qu'est-ce qui l'avait poussé à devenir assassin ? Quelle était son histoire ? Tu te devais de le découvrir.

(T/P) : Ça te dis de venir manger au restaurant avec moi, vendredi soir ? On pourra aller à la salle d'arcade, après ?

MORAU :

Tu passa d'excellentes semaines au côté du Sea Hunter sur son navire.
La journée, tu sortais ton matériel pour observer les animaux marins et écrivais ton rapport de stage.
Le soir, Morau t'invitait à un dîner aux chandelles, en tête à tête, servi par les membres d'équipage. Il te racontait ses aventures et faisait son possible pour te séduire, et tu l'appréciais de plus en plus.
Avec lui, ton séjour sur le bateau te semblait être un doux congé dans ta vie trépidante.

KAITO :

Au fil du temps, tu commencé à remarquer des petits détails chez lui que tu trouvais adorables. La façon dont ses yeux noisette s'illuminaient quand tu réussissais un exercice, les éclats argentés que le soleil accrochait à ses cheveux blancs, ou quand son visage sombre et sérieux laissait place à un doux sourire.
Ton entraînement semblait être une partie de plaisir tellement tu t'amusais aux côtés de ton maître.

MILLUKI :

Tu décidas de voir Milluki pour la première fois après des semaines passées à vous parler. Il refusa, arguant que son apparence n'était pas très flatteuse et qu'il avait du mal à se déplacer.
Il finit par accepter de te voir par Skype, car il commençait à avoir des sentiments pour toi et voulait pouvoir admirer ton visage.