𝐔𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐫𝐞́𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 |ʳᵉᵉᶜʳⁱᵗᵘʳᵉ

𝖢𝗁𝖺𝗉𝗂𝗍𝗋𝖾 𝗎𝗇𝗂𝗊𝗎𝖾

Vingt-une heure a déjà sonner, il devrait être rentrer depuis longtemps.

J'ai essayé de lui envoyer des messages, mais il ne répond pas.
Un appel, deux, trois et puis toujours rien.

Aucunes nouvelles.

Mon plat spécialement préparer pour lui est maintenant froid.

Je lui est fait du Katsudon avec en plus une sauce aux dattes marinés. C'est son plat favori et puis c'est facile à faire.

Le projet sur le quels il travaille, lui prend beaucoup de temps ces derniers mois. C'est un énorme projet qu'il organise avec sa meilleure, un immense défiler de mode.

Les plus grandes sociétés de mode et de joailleries seront présentes avec des juges et de plus, elles seront également invitaient à venir visiter les coulisses.
Un repas sera mis en place dans une salle près du bâtiment du défiler, où les prototypes et les anciennes collections seront exposaient.

Dior, Chanel, Cartier, Monboussin et bien d'autres seront les principaux V.I.P du défiler.

Je me souviens encore de la tête qu'il avait fait quand sa meilleure amie lui annoncé la liste des V.I.P.

Cette nuit avec elle, nous avons fait littéralement péter le champagne et j'avais après ça, réellement péter autre chose de bien plus charnel qu'un bien matériel avec lui.

Cette nuit a était la plus courte de notre existence et la plus intense aussi.

Pour le moment il s'occupe du transports des tenues de studio en studio, des essayages, des retouches et surtout le transfert des parures de bijoux.

Alors, il est souvent au volant et c'est épuisant autant pour lui que pour moi. Les trajets prennent du temps même sur ses temps de pauses.

Quand il arrive à la maison, il est exténué de sa journée. Tellement fatigué que ça va faire plus de un ou deux mois qu'on ne s'est pas toucher intimement.

Ça ne me dérange pas plus que ça, mais j'ai l'impression qu'il me délaisse un peu. Je respecte son choix pour son travail, il m'est tout son coeur et son énergie et ça ce voit.

Je peux pas m'empêcher de compatir, je sais à quels point c'est épuisant de courir d'un bout à l'autre chaque jour.
Avant j'étais coursier en jeux.

Aller parier d'un endroit à l'autre. Être au courant de tout les matchs et être à l'affût de potentiels nouveaux clients.

C'est grâce à lui que j'ai décrocher du monde du jeux.

J'étais aisément payé par mes clients, mais cela pouvait s'arrêter du jour au lendemain. Alors, je me suis rabattu sur ce que je connaissais de mieux. La botanique, c'est ça d'avoir une mère qui aime les fleurs.

Elle ma donner cette passion pour les plantes et je la remercie grandement.

Mais quand j'y pense à mon petit job, c'est grâce à ça qu'on c'est rencontrer.

Que de nostalgie en y repensant.

FLASH BACK.

- Putain ! Mais comment c'est possible, ils ne pouvaient pas perdre !

C'était l'équipe favorite de cette saison ! 14-32 franchement, une équipe favorite mon cul, oui !

Merde, ça va ce sentir sur mon blés du fin mois. Plus cas aller me prendre un verre pour compenser mon trajet et du temps perdu pour rien.