Imagine 14 #Klaus

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Commande pour

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Situation : Amitié 

La soirée commençait à battre son plein de le bar dans lequel tu t'étais retrouvée, à croire ou non, tu étais arrivée ici par erreur. Tu aimais l'ambiance qu'il y avait mais t'étais promise de ne plus y retourner après une mauvaise péripétie. Tu devais avouer que ayant l'habitude de venir accompagnée, l'atmosphère en étant seule n'était pas la même. 

?? : Salut ! Salut ! 

Un homme d'une vingtaine d'années te fit signe de la main dans laquelle on pouvait y lire "hello". Sans même te demander ton avis, il vint s'assoir à tes côtés, ce que tu ne refusas pas.

?? : Klaus ! 

Toi : Quoi ? 

Le garçon rigola et ajouta : 

Klaus : Où tu as trop bu ou pas assez justement ! 

Ce fameux Klaus ne tenait presque plus debout.

Toi : Et toi tu as sûrement trop bu ! 

Klaus te regarda avec un sourire ironique qui montait jusqu'aux oreilles. Il te demanda ce qu'une personne comme toi, ce qu'il entendait par "personne comme toi" c'était les personnes ne buvant pas dans un bar. Tu lui expliquas par la suite la péripétie du jour où tu t'es faite virer d'un bar, trop ivre puis insista sur le fait que tu buvais toujours mais en étant raisonnable. S'en suivit une discussion personnelle qui dériva sur la fameuse question "est ce que tu as quelqu'un". L'alcool commençait à te monter à la tête 

Toi : Moi j'ai personne et toi ? 

Klaus : Mon copain est mort à l'armée ! 

Toi : Oh je suis désolée pour toi et depuis tu n'as trouvé personne !!! 

Klaus : Non ! Et pourquoi tu as personne ? 

Toi : Les hommes tous les mêmes !!!!

Tu crias tellement fort que tu attiras l'attention de la cinquantaine d'hommes présents dans le bar. Klaus ria aux éclats et ajouta : 

Klaus : C'est clair, l'alcool ça te réussi pas !! 

Vous rîtes tout les deux aux éclats. Tu ne savais pas pourquoi tu lui racontais toute ta vie mais une chose était sûre, tu étais bien en sa compagn

Au lendemain, un mal de tête immense arriva et tu te réveillas en constatant que tu n'avais pas transmis tes coordonnées à Klaus. Tu partis te promener, ne travaillant pas le samedi et encore moins les lendemains de soirées arrosées. Les rues dégageaient une atmosphère morbide et c'était sans compter sur le grisaille du ciel qui l'amplifiait. Les rues étaient déserte pour un samedi, tu croisas deux, trois passants à qui tu inclinas la tête en signe de politesse. Ton regard semblait vde et il l'était d'ailleurs. Perdue dans tes esprits ce n'est que quelques minutes plus tard que tu constatas que une main se trouvait sur ton épaule. Habituellement tu aurais sursauté mais la chaleur que dégageait cette main te paraissait familière. 

Klaus : Tu es toujours bizarre comme ça les lendemains de soirée. 

Toi : Klaus !!! 

Une joie immense s'empara de toi et l'amertume de cette journée semblait s'être embellie uniquement à la vue de Klaus. Suite à ça Klaus te proposa d'aller faire un tour ce que tu ne refusas sous aucun prétextes. Durant des heures vous parlâtes jusqu'à vous rendre compte que les réverbères brillaient et que la grisaille de l'après midi avait laissé place à une ville éclaircit et lumineuse. La conversation partait dans tout les sens jusqu'à n'en avoir plus aucun. Ce n'est qu'à un moment donné que Klaus commença à parler sérieusement et te raconta son histoire. Tu eus du mal à y croire, tu ne savais pas si le plus compliqué était le fait que Klaus allias numéro 4 voyait son frère décédé ou qu'il faisait parti d'une famille dont la mère était un robot et leur assistant une sorte de "singe". Une partie de toi était heureuse de voir que Klaus te faisait confiance au point de te confier tout ça et une autre partie trouvait dingue le fait que en deux jours vous étiez devenus des confidents et que tu avais confiance en lui plus qu'en personne. Le numéro 4 te proposa par la suite de venir passer une journée dans son environnement, sa maison un de ces quatre. Encore une fois, habituellement en tant que femme de  19 ans tu n'aurais pas accepté d'aller chez un inconnu mais tu sentais un lien entre vous, une sensation de sécurité à ses côtés. 

The Umbrella Academy / imagines / dilemmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant