Je soufflait.
Inspira.
Expira.
Toujours rien.Ils n'avaient pas arrêté de parler. J'aurais peut être du rester a leur réunion de merde.
Je descendis les escaliers.Les ignorant et me servit un café.
Essayant d'entendre un peu la conversation.
C'était peu mais assez suffisant.- Il nous reste 6 jours.
Je me tourna et bu une gorgée de mon café.
Five se tourna voyant ma présence par les regards des autres.
Je souleva mon café en guise de trinquage puisqu'il a le siens et sortit laissant un fond de café se refroidir dans la cuisine.J'avais besoin de prendre l'air. Toute ces chose qui me sont parvenu d'un seul n'a pas encore été dirigé. Et de ne rien faire, coincé autour de quatre mur me mettait mal a l'aise. Surtout si c'était la maison de mon enfance. La umbrella accademy.
*
Je commandais un enième donuts pour la journée. Cette fois ci je le mis directement en pleine bouche et sortit en trombe du snack. Les passants sortait et rentrait dans divers endroits. Je m'assis sur un des bancs en face de la route. 1...2....3....4....5...6... Je comptait les passants. Sans doute pour faire passer le temps. Alors que c'est ce que j'ai le plus besoins. Du temps. Comment vais je faire. Ma famille, qui ne l'ai plus trop. Chacha. Hazel. La missions. Mon corps. Ce qu'il y a dans 6 jours. Qu'il y a t'il finalement ? Et surtout, ce qui me préoccupait a l'instant même. C'était le donuts que j'avais engloutit quelque minute plus tôt. Je n'aurais pas du. Mon ventre a mal, la digestion va être dure. Je souffla fatigué, de ma vie. Tout en continuant a compter. Sans jamais dire deux fois la même personne. 345....346....347....348...349...350...351... Sa ne s'arrêtais pas.
Rentré a la Umbrella Accademy. Il faisait légèrement sombre. Les lampadaires étaient allumé afin d'éclairer les quelques passant a cet heure. Je poussa la porte de l'entré. Un silence de mort régnait. Je monta les escaliers. Une fois devant la porte de ma chambre. Je la fixais. Telle une personne ivre qui ne s'avait plus comment faire pour l'ouvrir. Je pris la poignée et accéda a ma chambre. Cet odeur de vieux livre et la poussière me vain d'un seul coup en pleine face. Ils ont même pas été capable de la nettoyer pour que se sois un minimum propre lorsque je n'était pas la. Tu parle d'une famille. Ils t'oublient la première secondes quand tu disparais. Comme Five. Five. Je me laissa tombé dans mon lit. Fixant mon plafond. Je pensa a se que j'allais faire. J'en était sur maintenant. Personne ne m'en empêcha. Je tourna ma tête vers ma table de chevet ou était placé un vieux réveille a aiguille poussiéreux. Je savais que je n'allais pas m'endormir de si tôt. Mon regard se redirigea alors vers mon plafond. Aussi dégueulasse que la chambre elle même. 1 mouton. 2 moutons. 3 moutons. 4 moutons. 5 moutons......
Je reçu des dizaines de gouttes par secondes. Ce qui me réveilla malgré le fait que j'avais mis du temps a m'endormir pour changé. Mes yeux ouverts. J'aperçu la fenêtre de ma chambre entre ouverte laissant entré une partie de la tempête qui s'abattait dehors. Je me leva et la ferma. Mon regard fut attiré par un éclair qui surgit de nul part. Le bruit du tonnerre résonna. Je peux arrêté cet orage. Je le sais. Je peux essayer. Mais un deuxième éclair surgit pour me montrer le reflet d'une personne dans la fenêtre. Je me tourna aussitôt. Et vit ce reflet en chair et en os. Je le connaissais bien trop. Mon coeur battait la chamade. Mes yeux étaient près a dévaler des milliers de larmes même si ce n'était pas mon genre. Ma gorge se noua ainsi que mon ventre. Ma respiration était saccadé par le choque que mes yeux venait de transmettre a mon cerveau. La silhouette me fixa dans le noir. Son bras se tendit comme pour m'inviter a le rejoindre. Mes jambes allaient lâchés. Mon corps était effondré. Par la dernière force inconnu que j'avais. Par ce souffle. Ce murmure. Je prononçait ce nom inaudiblement. Qui résonnait dans ma tête autant que mon coeur dans ma cage thoracique.
- Adam...
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𝓛𝓪 𝓜𝓪𝓽𝓱𝓮́𝓶𝓪𝓽𝓲𝓬𝓲𝓮𝓷𝓷𝓮 {𝓷°⑧ - 𝓣/𝓹}
FanfictionNé le même jour que ses frères et soeurs adoptifs. Mais a 23h59. A 1 minutes près sa vie aurait pu changé. Elle aurait pu ne pas subir tout cela. Ne pas souffrir. Mais aurait elle vraiment voulu changé cette petite minute ? /!\ sans doute jamais se...