L'envers du décor.

Chapitre I (deuxième partie). La confusion.

Quand je suis rentré dans mon hôtel, tout avait disparu. Enfin je veux dire les terminators de ce matin et tout le bastringue. J'en étais même étonné. Je m'avançai vers l'accueil et demandai d'une petite voix.
-"Il s'est passé quoi tout a l'heure?"
La grande blonde qui s'occupe de l'hôtel relève son regard hautain vers moi et finit par dire d'une voix d'allumeuse.
-"Tu t'es amusé avec le bouton de l'ascenseur, résultat le nouveau patron est resté coincé. Il voulait acheter l'hôtel qui est en faillite. Il m'a dit de te remettre cela d'ailleurs."
Ellis me tend une petite enveloppe, je la connais depuis longtemps c'est pour ça qu'elle se permet de me tutoyer. Je n'avais pas remarqué qu'il y avait des caméras dans le couloir ce matin. J'ai peur de ce qu'il y a dans le petit porte document à vrai dire. Je finis par lui sourire faussement et remonter dans ma chambre. Je prends l'ascenseur et arrive à mon étage. Je sors ma carte pour ouvrir la porte et finis par entrer lentement regardant encore le papier entre mes doigts. Je suis terrorisé, je m'imagine être renvoyé ou alors je ne sais pas vraiment. Si c'est le nouvel acheteur il doit surement s'être mis en colère et n'a pas voulu reprendre l'hôtel. Je m'assieds lentement sur mon lit et ouvre l'enveloppe. J'y découvre un simple papier. Je l'ouvre lui aussi et découvre une inscription.
"J'aimerais vous voir mieux, faire la connaissance de la pute que vous êtes."
Ces mots me glacent le sang. Je ne prends rien et mon cerveau s'est instantanément arrêté de tourner. Je me lève et jète les papiers à la poubelle. Il a dû voir que chaque soir une autres personne entrait dans ma chambre. Je ferme les yeux en me maudissant de l'intérieur. Il peut me virer à tout moment parce que je vends mon corps. Je bascule sur le lit, il faut que j'évacue. C'est à ce moment-là que je me rappelle qu'il me reste un peu de coke. Je me relève et attrape le premier sachet dans la table de nuit. J'en trace un rail et le sniffe directement. Je me sens tout de suite plus détendu car le manque est moins présent Je ne me soucie plus de rien et finis par m'endormir sur mon matelas. Oubliant mon client de la soirée l'esprit trop ailleurs et surtout lointain.

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C'est ma première fiction alors je voudrais quelques avis. Constructifs ou en message privé ou en commentaire. Ce serait très gentil. Je pourrais m'améliorer en conséquence.