Debut de relation chaotique

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Depuis le trottoir où je me tiens, je vois la tour de Todo ressort qui se dresse parmi toutes les autres. Le soleil du matin se reflète sur les parois de verre et m'éblouit. Je l'est toujours trouve fascinante et écrasante. Un symbole du pouvoir.
L'année étant presque terminée, j'espère faire mes preuves avec le procès de Kenma en approche. Si je peut , être pris en tant que membre à part entière de l'entreprise, ce serait merveilleux. Mes pensés divague à la nuit dernière, je ne peut m'empêcher de me demander si c'était réellement la bonne chose à faire. Si ce choix n'étais pas en faite une épée de Damoclès au dessus de nous tous. On ne peut imagine un avenir à trois, quand sera-t-il des enfants ? Qui seront les parents ? La jalousie ne sera pas omniprésente ?

Toutes ces questions, me mette la tête en ébullition. Je la secoue comme pour remettre mes idées en place. Écrasant ma cigarette, j'entre dans le grand building. Je salut la femme à l'accueil, elle me gratifie de son plus beau sourire.

Arrive dans mon bureau, je remarque un courrier de la section des huissiers. Je l'ouvre à rapidement intrigué et stressé. oh mon dieu super j'ai la preuve manquante pour le procès, c'est mon arme fondamentale pour remporter la nullité en mariage.
Je m'active rapidement, préparant une plaidoirie. Avec un raisonnement juridique et tautologique.
Je regarde ma montre, je remarque qu'il est presque l'heure de déjeuner, je suis tellement concentré, si je perd le fil de mon raisonnement ça va m'énerver. Donc je mangerais plus tard.

Manque de bol, on frappe à ma porte. Je dis à la personne d'entrée, je remarque Kenma, cela m'étonne avions nous rendez-vous ? J'attrape rapidement mon agenda mais rien.

- Ne t'inquiète pas on avait pas rendez-vous, je suis venu te cherché pour le déjeuner !

- Oh, non je ne peut pas, si je perd le file de mon raisonnement je perd tout ! J'ai trop de boulot.

- Maïs il faut que tu mange ! Il pointe du doigt mon bureau tu n'a qu'à noter les grandes idées histoires que ça te revienne.

- Non, t'a qu'à inviter Tobio j'esquisse un sourire éblouissant

- il me rend un sourire victorieux, je ne comprend pas il est en bas.

- Quoi Tobio est là pour le déjeuner ? J'ai jamais réussi à le faire sortir de son entreprise ! Comment t'a fait ?

- je peut être très persuasif dit-il en se léchant les lèvres

Et la j'imagine tous types scénario pas très catholique j'ai envie de dire. À contre coeur je me lève, récupère mes affaires.

- Si on perd le procès viens pas pleurer dis-je d'un ton ironique.

Il me souris, de son éternel sourire carnassier, je ferme la porte du bureau à clé. Kenma sur mes pas. Nous arrivons rapidement à l'extérieur. Je remarque Tobio, le visage fermé, je m'approche de lui. Il me remarque enfin.

- Ta décider de voir le monde qui t'entoure ? Je croise les bras sur ma poitrine un petit sourire en coin.

J'avais très envie de l'embêter la.

- Ah ah ah très drôle !

- Si j'avais sut qu'il fallait faire quelque petit truc pas très j'attrape sa cravate et l'approche de moi catholique pour te convaincre, j'aurais déjà agis.

Je le sens rougir à mon contacte, un rire nous sors de cette bulle, bien évidement c'est Kenma. On se dirige tout trois dans un bar restaurant en ville. Je commande mon plat, des ramens au porc, Tobio a pris des sushis et Kenma du poulet au curry avec du riz. Étend donnée que nous retournons tous au travail, nous avions décidé de boire seulement de l'eau.

L'irréparable. [En Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant