Une vie invivable

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Un mois et demi était passé depuis ma dispute avec Kageyama qui m'avait demander où j'étais le soir ou j'avais raccompagner Yachi, sans même me laisser m'explique il appela Yachi pour avoir confirmation, n'ayant pas pus changer d'université car la seul qui m'acceptait était dans une autre région. Durant ces un mois et demi Tobio n'a cesser de me fliquer, plusieurs fois je l'est surpris fouiller mon smartphone, il envoyait des hommes me suivre ce n'était pas possible. Les rares fois où nous nous retrouvions intimement je n'avais plus autant de plaisir qu'auparavant, ma vie était devenu un vrai cauchemar je ne cessais de ressasser ma soirée avec Kenma. Je voulais le revoir, le sentir auprès de moi, il avais essayer de me recontacter, mais je l'avais évité, d'ailleurs je ne me rendais pas à son cours car la tentation était omniprésente.
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Retour quelque semaines auparavant.

« Monsieur Hinata, pouvez vous venir me voir à la fin du cours ? »
Je répondis seulement d'un hochement de tête.

J'étais stressé, que voulait-il me dire ? J'espérais au fond de moi, qu'il me réclame même si je le repousserais sans ménagement.

« Vous vouliez me voir ? »

« Shoyo, je sais que j'ai dit à ton fiancé que je te laisserai tranquille, que je sortirai de vos vies, mais cela m'est impossible, j'ai encore envie de t'embrasser, de te prendre, de t'entendre crier mon nom jusqu'à l'aube »

Ces mots me percute comme une gifle, je me rendis compte que pendant que nous étions éloigné je suis devenu l'ombre de moi même, j'avais d'une manière que je ne comprenais pas besoin de lui malgré tout les jeux sexuelle que Tobio et moi avons essayer, je n'est jamais ressenti ce que j'ai ressenti avec lui. J'en avais envie mais je ne pouvais pas balayer aussi facilement 7 ans de relation avec Tobio. Cela m'était impossible, ça m'effrayais.

« Quoi ? Vous avez parler à Tobio ? Je n'en savais rien ! Quoi qu'il en soit Kenma je ne peu pas , 7 ans de relation ce n'est pas rien, je l'aime , je ne peu pas gâcher ça pour une pulsion sexuelle. »

Mon corps disait absolument tout le contraire de mes paroles lui le voulais plus que tout.mon corps était prêt à effacé cette histoire d'amour aussi belle qu'elle était.

« Oui, mais écoute j'ai une proposition à te faire, je te demande pas des câlins ou de l'affection, ce que je veut seulement c'est te prendre, nous pouvons être des amis avec avantage en nature ! » il bombe fièrement le torse comme si c'était l'idée du siècle avec un air des plus hautain, tout ce que je n'apprécie guère. Il a parfois un comportement de mauvais garçon, je pense que c'est ce qui fait son charme en parti.

« C'est n'importe quoi ! Vous me prenez pour quoi au juste ? Une salope présente pour assouvir vos envies ? Allez vous faire foutre ! »
Je ne lui laisse pas le temps de répondre, je tourne  les talons pour sortir de l'amphithéâtre.
Mon élan est d'un coup interrompus, je suis en une seconde contre le mur , avec Kenma me surplombant de sa taille .
Son souffle chaud me fait tressaillir, si ça continue je perdrais mes moyens .
« Recule qu'est-ce que tu fou putain ? »

« Oh maintenant tu me tutoie, soite je reculerai si tu y met un peu plus de conviction, mais voit tu en tant que bonne observateur, je sens que tu na pas totalement envie de te dégager, je me trompe ? »

Ces doigts me caresse doucement le cou, un geste si fin et pourtant si ferme, si dominateur qui me fait perdre tout moyens. Sans m'en rendre compte je perd mes moyens, et l'embrasse à pleine bouche, c'est sauvage, bestial. Dans ce baiser on ressent l'attente que nous avions l'un pour l'autre. Puis un flash de lumière passe devant mes yeux, je vois le visage de Tobio. Je me recule précipitamment, m'enfuir de la salle en courant. Je ne pouvais pas, je n'avais pas le droit d'agir comme ça. Je ne devais plus le revoir.

L'irréparable. [En Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant