Douleureuse retrouvaille

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Je me réveille doucement, les événements de tout à l'heure me revienne à l'esprit, j'attrape mon téléphone. Je vois que j'ai dix appel manqué de Tobio. Quatre de Yachi, et deux de Natsu , je les ignores pour l'instant.
Je me connecte à ma boîte mail universitaire, j'espérais un message de Kenma. Mais rien. J'entrepris de lui envoyer un mail. Ce dernier étais simple: « est-ce qu'on peut parler s'il te plaît, voilà mon numéro xx-xx-xx-xx-xx, appel moi ou envoie moi un message. »
Le mail envoyé, j'appelle Tobio, la première sonnerie à peine retenti, qu'il décrocha.

Appel sortant vie ❤️

« Putain Hinata tu me fait quoi là ? Je t'est appelé dix fois, j'ai appeler Yachi et Natsu personne n'a réussit à te joindre ! » quand Tobio utilisant mon nom, cela voulais dire que je l'avais vraiment énervé, mais là mon esprit était vide, mon âme avait quittée mon corps.

« Désolé, je dormais » c'est tout ce que je trouvais a dire , ma voix était basse presque cassée.

« Qu'est-ce qui ne va pas ? Tu est bizarre depuis mon départ, que ce passe-t-il à la fin ? Tu me cache quelque chose ? Tu la revu c'est ça ? » ça voix est amère, je grimace.

« Mais non je suis juste épuisée c'est tout une pointe d'irritation se sentait dans ma voix, laisse tomber tu ne peu pas comprendre. Bref Tu rentre quand ? »

« Qu'est-ce que je ne peut pas comprend au juste ? Dans trois jours, pourquoi tu veut que je rentre plus tôt ? » l'impatience se sentait, l'exaspération aussi.

Moi j'étais épuisé par tout ses événements, j'étais perdu, mes sentiments n'étais qu'un brouillard noir.

« Non pour savoir, écoute je suis épuisé, je te laisse. Bises prend soin de toi »

« Hinata atte »

Je raccroche sans attendre, je n'avais pas du tout envie de me prendre la tête avec lui. Mes pensées dérives vers hier soir, dès que je fermais les yeux je ne pouvais m'empêcher de le voir lui, son regard, son toucher.
Il m'obsède, je regarde encore une fois le mail universitaire, mais toujours rien. Alors je prend l'initiative de me rendre chez lui.
Je pris mon temps pour choisir mes vêtements, je ne sais pas pourquoi mais j'en avait envie. Je pris un jean noir qui me collait légèrement à la peau, un sweet blanc, j'enfile mes doc marteens blanche. Je pris mes clés, mes papiers.
Dehors j'entrais dans ma voiture, d'un mouvement rapide et précis, je pris la route vers son appartement. Je savais que je ne pourrai pas dormir si je n'avais pas une discussion avec lui, si je ne le voyait pas tout simplement.

Arrive en bas, j'observe les alentours à la recherche de sa voiture, que je repère rapidement, il est là. J'hésite à sonner à l'interphone de peur qu'il ne m'ouvre pas, par chance une femme sort du bâtiment à cet instant, j'entre rapidement la remerciant franchement.
Devant sa porte, la tension monte, les battements de mon coeur s'accentue lorsque je sonne. Quelque seconde plus tard il ouvre la porte. Ses yeux s'ouvre comme des soucoupes, il ne devais sûrement pas s'attendre à ce que je débarque chez lui. Il essaye de refermer la porte je la bloque avec mon pied, j'entre et referme la porte derrière moi.
Quand je le vois la, je perd le nord, j'oublie tout le speech que j'avais préparé, son regard est différent de celui de notre altercation, je prend cela comme signe. Je me jette dans ses bras, j'attrape ses lèvres un peu brusquement, il se tend mais relâche la pression, me presse contre lui d'un geste presque suppliant que je ne me détache pas. Je ressert mon étreinte, il me rend mon baiser avec ferveur, très peu de temps nous avons été séparé mais je sens que je lui est manqué, et il m'a manquée aussi. Je n'imaginais pas ce que nous allions devenir, je ne savais pas ce que je devais faire, mais j'étais sur d'une chose, je ne voulais pas qu'il quitte ma vie, je voulais encore moins quittée la sienne. On se détache à bout de souffle. Il me contemple comme si j'étais le plus précieux des joyaux.

L'irréparable. [En Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant