Epilogue

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- YÜNA ! Dépêche toi ! On va être en retard sinon !

- OUI PAPA ! J'ARRIVE ! JE CHERCHE MON DOUDOU.

Mais où est-ce qu'elle avait mit encore. Je me dirige vers sa chambre. Elle venait de retourner toute ça chambre. Je venais de la rangée juste avant.

- Mais enfin Yüna. Pourquoi tu n'est pas venu me voir ! Je m'approche d'elle doucement on aurait chercher sans mettre le bazar !

Elle boude un peu. J'entends des pas. Dans l'embrasure de la porte je vois Kenma. Un sourire en coin. Avec l'éléphant de Yüna dans les mains.
Elle court vers lui.

- Oh papa tu l'a trouver merci ! Elle saute dans ses bras.

Il souris et l'enlace. Je vous présente notre fille. Yüna Kozume 6 ans. Nous ne l'avions pas adopté. Ma sœur avait bien voulut être la mère porteuse. Étant donné qu'elle me ressemblait c'était parfait. Il suffisait de donner un peu de semence de Kenma. Et le tour était jouée.

Ma mère était triste d'avoir perdu Tobio. Mais elle souhaitais seulement mon bonheur et si c'était avec Kenma alors elle était heureuse.

Je range un peu le bazar de sa chambre. J'ai horreur de partir en voyage et de laisser la maison en bordel. Quand je rentre de voyage je veux juste me reposer.
Kenma n'était pas de cette avis.

- Laisse ça enfin ! On va rater le train !

- Oui papa ! Parrain nous attend !

Je leur lance un regard en biais. Il se liguait contre moi hein.
Je souffle amusée.

- Eh bien à notre retour tu rangeras ta chambre !

- Promis !

Nous sortons de l'appartement. Les sacs de voyage en main. Nous montons dans la voiture pour se diriger vers la gare. Yüna était surexcité de revoir son parrain préféré. Alors qu'elle n'en avait qu'un !

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Lorsqu'il m'avait quitté, j'étais vraiment au plus bas. J'étais perdu et désorienté. J'avais perdu mon repaire. Je m'étais rapproché de Yachi. Elle me soutenait sans prendre parti mais avec beaucoup de sagesse. Elles adorait notre couple. Elle ne cessait de me répéter que j'aurais dû me battre. Mais qu'aurais-je put faire ? Rien.

Depuis 8 ans on passé. J'étais marié avec Yachi. J'étais heureux. J'étais également heureux car j'étais devenu père. Mon fils Ayakashi avait 3 ans. Nous étions dans notre demeure de vacance dans la campagne japonaise.
Je ne voulais pas répéter les mêmes erreurs. Alors j'essayais de passer le plus de temps possible avec ma famille.

- Tobio ! Tu a fait les courses pour le week-end ?

Elle me sortit de mes pensée. Oui j'avais les course enfin. Victor avait fait les courses.

- Victor les a fait. Ne t'en fait pas. Je pose ma main sur sa joue.

- O lala papa est amoureux ! Papa est amoureux de maman !

Nous rions de sa blague. Aussi enfantine soit-elle. Je le poursuit. S'ensuit une course effrénée de chat attrape la souris. Je lui met la main dessus. J'entreprend de lui faire des guillis.

- Attend papa ! Ahahahahhaha ! Arrête ! Maman viens m'aider !

Elle s'avance vers moi et entreprend de me faire subir le supplice que j'infligeai à mon fils avant.
Notre séance est écouter par une voiture de taxi qui se gare. Ils était arrivés. Le revoir me faisait tout de même quelque chose. Mais c'était différend. Ce n'était plus pareil.

Yüna sort de la voiture. Et accourent vers nous ! Elle leurs ressemblait vraiment. Elle avait le doudou que je lui est offert à la naissance. J'en était heureux.

- Je vois que tu as toujours Monsieur l'éléphant.

- Oui ! Il est très important pour moi !

Je lui souris. Ayakashi prit la main de Yüna pour aller jouer. J'étais heureux de les voire s'entendre.
Shoyo et Kenma arrive à leur tour. Je dis à Victor de prendre leur affaire pour les rangers. Je serre la main de Kenma. Mais avec Hinata on se prit dans les bras. Heureusement que nos partenaires n'étais pas des plus jaloux. Même si je pense Kenma l'était un peu. Mais tout deux comprenait que la relation que nous avons ensemble est juste indescriptible. Et que nous serons toujours liés de quelque façons qui soit.

Même quand on l'a perdu ,l'amour vous laisse un goût de miel

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Même quand on l'a perdu ,l'amour vous laisse un goût de miel. L'amour c'est éternel. Notre amour est différent mais éternel.


Fin.

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Voilà c'est la fin. J'ai vraiment vraiment aimer l'écrire !
Au départ j'allais faire une fin triste mais j'aime pas les fin triste donc autant que tout le monde soit heureux. Ils le méritent tous un peu.

Bonne fin de lecture 💙

L'irréparable. [En Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant