Dangerous Sex Friend Jortini

Four

Les coups de feu avaient cessait, durant le trajet tout le monde était silencieux. Au fond, je me disais que mon frère avait raison et que je devais m'éloigner de Jorge. Je les ai ignorés durant tout le reste du voyage, je voulais réfléchir à tout ça, mais je n'y arrivais pas. J'avais promis à Jorge de ne jamais me prendre la tête avec notre sex friend, mais j'avais du mal.

Il était minuit quand nous sommes arrivés à la maison de vacances de nos parents, pleins de souvenirs remontaient, j'en avais les larmes aux yeux. Je partis dans la chambre la plus près tandis que Francisco cachait la voiture dans le garage. Je m'assois sur le lit en versant quelques larmes Jorge arriva et me pris dans ses bras.

- Je sais que c'est dur, et j'en suis désolé ma puce

- C'e... C'est rien ne t'en fais pas, ce qui compte, c'est que toi et Francisco allaient bien.

- Tu veux que je dorme avec toi ?

- Oui...

Nous nous mettions au lit, pour ensuite nous endormir, mais je reçus un appel très mystérieux.

-Allô ?

- Nous ne voulons ni Jorge ni ton frère, juste toi... Et nous ne te ferons pas de mal.

- Laissez-nous tranquille !

- Si tu n'es pas dans 15 minutes à la station-service, la plus proche de ta petite maison, nous vous tuerons tous...

Il raccrocha, paniquée, je regardai partout, puis je fis ma valise. Je dirigeai mon regard en direction de Jorge et lui fis un bisou sur la joue et partie avec la voiture, avant de partir, j'ai laissé une lettre sur la table. J'ai été au lieu de rendez-vous, un groupe d'hommes m'attendaient. Ils me firent monter dans une camionnette pour m'emmener je ne sais où.

Point de vue Jorge, le lendemain.

Je me réveillais tout doucement, je ne sentais pas Tini à côté de moi, je tournais la tête, mais ne vis personne. Je partis dans la cuisine, mais personne, sur la table une lettre avec marqué de Martina

Jorge, Francisco, nos ennemies m'ont appelé, ils ne vous veulent pas, ils me veulent moi alors j'ai exaucé leurs vœux. Ils m'ont dit qu'ils ne me feraient pas de mal alors ne vous en fait pas, je vous aime

Tini

- Francisco !

Il arriva, nous étions plus que paniqués, nous décidions d'aller dans les commerces voisins, et a la station-service, il y avait la voiture, les clefs étaient par terre. Francisco était parti demander des renseignements aux commerçants s'ils ne savaient pas quelques choses.

- Alors ?

- L'un deux m'a donné des infos, ils ont de l'avance sur nous et ils doivent être dans la nouvelle discothèque en ville pour faire leur business...

- Il y a autre chose...

- Oui, d'après le marchand, ils sont connus ici et ils font dans la prostitution...

Je démarrais la voiture et fonçais dans le centre de Buenos Aires direction à nouvelle boite de nuit. Plein de prostitués étaient sur le trottoir, nous ne trouvions pas Tini... J'avais peur pour elle, et si un mec l'avait touché à son corps, je le tuerais !