la verité, celle qui va tout changer

Chapitre 45...

06h 12...

Evan sortit de la douche. Il s'était levé en retard ce matin. D'habitude, il faisait un petit footing avant d'aller travailler mais avec rose à ses cotés, ça n'avait pas été possible. Il jetta un coup d'oeil au lit. Franchement il avait trop bien dormi, n'avait pas fait de cauchemares. Il s'assit sur le bord du lit, mit une main sur rose.

_ hey, rose... Appela t-il en la secouant.

Elle se reveilla, s'ettira largement avant de le regarder.

_ bonjour ma jolie.

_ bonjour évan. Dit-elle avec sourire. Tu es déja debout ?

_ oui...il est six heures déja... Au cas où tu ne le sais pas.

Elle se leva en sursaut, et le fixa avec ses grands yeux marrons clairs.

_ pourquoi tu ne m'as pas reveillé ?

_ tu dormais comme un bébé, je n'ai pas voulu te reveillé... Et tu avais l'air si épuisée. Mais si non, tu as bien dormi ?

En se souvenant de la nuit qu'ils avaient passé tout les deux, ses joues s'enflammerent. Elle baissa les yeux et sourit, un petit sourire timide qui fit rire évan.

_ tu es vraiment adorable... Prepare toi, je vais te deposer au bureau.

Il lui prit le visage entre les mains et l'embrassa sur la joue. Rose descendit du lit, s'empara de son peinoire et entra dans la douche.

..............

_ raconte moi rose... Raconte moi.

_ ok mais calme toi.

Rose sortit de l'enceinte de l'entreprise. L'heure de la pause avait sonné. Comme à son habitude, elle devait retrouver leonord pres de la banque pour qu'elle dejeune ensemble. Elle y était presque lorsque victoria l'avait appelé pour lui demander de quelle manière la relation entre elle et évan se presentait.

_ tu as mis mon plan à execution ? Demanda victoria avec exitation.

_ oui, et tu avais raison.... Ça marché.

_ super comment était la nuit alors ?

Rose se mit à rire et à rougir, tellement elle n'avait pas de mot pour decrire la joie qu'elle ressentait en ce moment. Combien de fois avait-elle attendu ce moment où evan l'aimerait, il reconnaitrait ses sentiment pour elle.

_ ah je vois que ça été hum hum hum... Mission accompli.

_ oui victoria, merci pour ton conseil.

_ oh ce n'est rien rose, entre femmes, il faut s'entr'aider... Bon je dois te laisser evania à besoin de manger.

_ ok... A plus alors.

Victoria raccrocha, elle se tourna quand elle se rendit compte que michael était deja entrain de la nourrir. Elle s'approcha et s'assit à ses côtés.

_ tu jous au super papa ? Rigola victoria.

_ merci bien cherie... Je peux savoir de quoi tu parlais avec rose ?

_ ooooh juste des choses de femme.

Michael la regarda avec un sourcil levé.

_ ne me dit pas que tu l'as appris à seduire les hommes comme toi.

_ oh cheri, tu sais l'art de seduire est inné chez les femmes... Seulement il y'a d'autres qui ne savent pas le cultiver, le cas de rose. Tout comme socrate, je n'ai fait que reveillé la connaissance qui était déja enfouit en elle.

Michael se leva et deposa la petite dans son berceau.

_ eh bien, je vois que tu suivais au moins les cours de philo.

Victoria se leva, se serra contre son mari et l'embrassa.

_ si jamais tu doute de mes connaissances, previens moi, je te montrerai à quel point je suis experte.

_ ... Je n'en doute pas. Dit michael le sourire aux lêvres.

*

Rose marchait toujours en direction du lieu de rendez-vous avec leonord. Elle avait préferé marcher. Sentir le vent sur sa peau lui faisait du bien. Le sol était encore mouillé par la pluie. D'habitude ça l'énervait mais là, elle était heureuse car c'est gràce à cette pluie que tout s'était bien passé entre elle et évan. Son téléphone vibra. Un sms.

# de leonord.

Rose où est tu ? Ça fait maintenant 45 minutes que je t'attends. Tu ne viens plus ?

Elle cliqua sur le message pour lui repondre.

# de rose.

Desolé leonord, j'ai décidé de marcher, c'est pour cela. J'arrive tres bientôt, j'suis déja devant l'hotel golden.

Rose voulu remettre son téléphone dans son sa sonnerie retentit.

_ qui c'est encore ?

June calvins. C'est vrai que ça faisait un peu longtemps qu'elle lui avait parlé. Elle lui contaminerai sa bonne humeur tout de suite se dit rose. Elle decrocha avec joie, mais le ton de la voix de la femme la fit disparaitre.

_ madame... Madame rose.

_ qu'est ce qu'il ya june... Ta voix tremble.

_ c'est... C'est mad'me... C'est madame lolita votre... Mère.

Rose stoppa net de marcher.

_ qui ya t-il avec maman... Elle ne va pas bien.

_ non ce n'est pas ça mad'me rose... Mme lolita... N'est plus...

_ QUOI ?

_ elle n'est plus en martinique...

Le coeur de rose, se mit à battre tres vite. Ça voulait dire quoi ça ?

_ comment ça june... Explique toi voyons.

_ depuis deux jours... Elle avait disparue de la maison... Je me suis dit que je la retrouverai mais non. J'ai cherché toute la journée. Partout... C'est ce matin que... Son armoire était à moitié vide...j'ai vu les reçu des frais de voyage et sa lettre... Elle voulait vous retrouver madame rose.

_ ok... Ok. Elle a voyagé depuis donc elle doit déja être arrivé là.

_ oui oui... Je pense.

_ ok... Calme toi, je t'enverai des nouvelles.

Rose raccrocha. Franchement, pourquoi, il fallait toujours qu'il ait quelques imprevus dans la vie. Ce n'était vraiment pas possible. Sa mère avait voyagé pour la retrouver. Il fallait à present la chercher car avec son état de santé, elle pourrait mal se sentir. Peut être qu'évan pourrait-il l'aider ?

Elle lui envoya un message quand...

_ ROOOOSE.

Rose dirigea son regard à l'endroit où la voix se fit entendre. C'était une femme brune qui la regardait en la faisant signe de la main. Elle se trouvait devant l'entrée de l'hotel.

Qui pouvait-elle être ?

Elle l'étudia encore plus quand elle se rendit compte que cette femme était sa mère. Rose souffla un peu. Au moins elle n'aurai pas à chercher partout. Rose envoya un message d'escuse à leonord qui l'attendait toujours. Lolita courrait à sa rencontre le sourire aux lêvres. Rose repondit à son sourire.

Lolita s'approchait de plus en plus quand soudain quelque chose la heurta, la poussa legetement à gauche. Rose resta calme. Un coup de feu se fit entendre, une balle toucha de nouveau l'épaule de lolita. Elle regardait sa fille, elle approchait.

Une troisieme balle vint la toucher au crane.

Elle tomba inerte devant rose.

Du sang coulait de sa tempe, de son épaule.

Ses yeux étaient grandement ouverts.

Rose resta debout devant le corps sans vie de sa mère, sans bouger, sans parler.