Chapitre 13...

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Evan rentra dans sa chambre, claqua la porte. Il en avait mare. Il ne comprenait pas sa mère. Oui et je veux que tu reste loin de ma fille. N'etait-il pas son fils. Elle lui avait dit ça comme si il était un etranger. Il entendit toquer.

_ je peux entrer, c'est rose.

_ tu peux rentrer rose. Elle entra dans sa chambre et vint s'asseoir près de lui.

_ ne t'occupe pas de maman. Je sais que ce n'est pas toi qui m'a frappé avec cette batte.

_ merci rose. Dit-il en souriant.

Elle mit sa tête sur son épaule. Inspira son delicieux parfum de menthe et de citron. Elle regardait ses yeux gris, son sourire qu'elle avait aimé depuis leur première rencontre. Leur toute premiere rencontre trois ans plus tôt.

TROIS ANS PLUS TÔT...

Rose regardait le ciel. En cet après midi ensoleillé, il était magnifique. Elle se mit à compter les nuages. C'était son exercice preferé. Elle imaginait plein de choses avec et elle les prenait pour des machemallow.

_ rose, viens parler à ton père.

_ j'arrive maman.

Elle courut pour aller rejoindre sa mère. Elle adorait parler avec son père, elle ne l'avait pas encore vu, parce qu'il était parti en italie pour un voyage d'affaire. C'est ce que lui avait dit sa mère. Malgrès le fait qu'ils ne s'était pas encore vu, elle aimait son père, il était gentil et lui disait tout le temps des mots et des paroles gentilles. Oui elle l'aimait beaucoup.

_ allô papa

_ allô ma cherie, comment vas tu ?

_ très bien, j'ai eu mes treize ans cette année.

_ félicitation ma chérie. Tu es une grande fille maintenant.

Elle rit un peu puis continua.

_ tu rentre quand papa ?

_ très bientôt ma chérie, dans deux jours. Elle s'exclama aussitôt.

_ c'est cool papa, je suis heureuse, on va pouvoir se voir en vrai, plus en photo.

_ oui et je vais te presenter quelqu'un, un garçon que tu vas tout de suite aimer, évan.

_ un garcon que je vais tout de suite aimer ? Repeta t-elle.

Lolita l'entendit et vint ravir le téléphone à rose.

_ bon chéri, on se retrouve dans deux jours. Elle hocha la tête puis raccrocha.

_ de quel garçon parlait-il maman ?

_ oooh ignore ça. Tu veux ...qu'on aille te chercher une jolie robe pour le retour de ton père.

Elle hocha avec joie de la tête, elle était heureuse, elle allait rencontrer son papa.

Le jour j était arrivé, elle devait rencontrer son père aujourd'hui. Elle se leva, fit sa toilette, prit son sac et sa mère la déposa à l'école. Il fallait que cette journée passe vite. La bonne humeur l'entourait, rose le respirait. Rien que d'y penser , elle avait des papillons dans le ventre. Elle était vraiment très excitée et voulait déja y être. Sa mère lui avait dit que l'avion attérirait à quinze heure quarante six et qu'ils seraient à la maison au plus tard seize heures trente et elle finissait ses cours à seize heures trente. Trop genial.

La journée n'était pas passé aussi vite qu'elle l'avait voulu. Mais elle était passé. Elle demanda donc au chauffeur de venir la chercher et avant de passer à la maison, elle voulu prendre quelques patisserie pour son père. Mais malheureusement il y'avait beaucoup de gens cette journée là. Elle dû donc s'asseoir sur un banc dans la cour de la patisserie. Pourquoi il y'a eu du monde seulement aujourd'hui . ça l'enervait et l'heure était entrain de passer. Elle voulait absolument que son père goute ces delicieux gateaux. Cette patisserie était la meilleure pour ça.

_ ce doit être toi, rose.

Elle leva les yeux et vit un garçon juste en face d'elle. Il était aussi charmant que sa voix. Il avait des cheuveux noirs magnifiquement coiffés, un beau visage et il était beau dans son t-shirt. Ce qui l'avait le plus attirer était ses yeux, ils étaient d'un gris leger. Ils étaient beaux.

_ comment me connaissez vous ?

_ c'est ton père qui m'a parlé de toi.

_ ah vous connaissez mon père.

_ oui, moi c'est évan.

Evan, elle avait déja entendu ce prenom. Elle le fixa un instant puis se rappela. C'était le nom du garçon que son père voulait la faire rencontrer.

_ en tout cas dit-il je comprend pour quoi tu attend, les gateaux de cette patisserie sont delicieux. Comment est ce que ça s'appele déja ?

_ vous les avez gouter. Sucre vanille et chocolat .

_ oui ...à l'instant. Et j'en ai pris aussi pour toi et pour les autres . Il lui tendit le paquet qui était pour elle. Quand elle ouvrit , elle cria.

_ oooh comment saviez vous que j'aimais les madeleines et les beignets, les crepes.

Il rit fort en laissant apparaitre ses jolies dents blanche, un rire qui lui plu beaucoup.

_ je les ai aimé et je me suis dit que tu les aimerai aussi.  J'ai même pris de la pizza. Allez viens, on rentre.

Elle adorait sa façon de parler, de rire. Quelque chose en lui la plaisait beaucoup et elle sentait qu'ils allaient bien s'entendre. Son père avait bien raison... Elle l'aimait déja.

la verité, celle qui va tout changerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant