chapitre 40...

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Georges conduisait doucement. Il ne parlait pas du tout.

Ç'avait été un choc de revoir rose et evan. Les souvenirs lui étaient revenu à la tête. Tout ce qu'il avait fait pour les separé. Quand il s'était escusé au près d'évan dix ans plus tôt, celui-ci n'avait pas repondu et ils ne s'étaient plus vu. Ni lui, ni rose, ni lolita.

Il était un peu nerveux. Heureusement qu'aucun d'eux n'avait parlé de ça à léonord. Elle aurait été boulversé, vu la façon avec laquelle elle lui avait fait l'éloge de rose. Ça se voyait qu'elle l'appreciait. Leonord. Sa belle leonord, il l'aimait beaucoup et n'avait nullement envie de la perdre ou de la faire peur.

Il sentait son regard sur lui. Et il savait qu'elle lui poserait des questions sur sa relation avec évan et rose. Elle adorait tout savoir. Apres tout c'était normal.

Ils arriverent chez lui. Leonord sortit en premiere, prit son sac et celui de georges qui la suivait derriere. Elle penetra dans la maison, deposa les affaires sur le canapé et se dirigea à la cuisine pendant que georges s'affalait sur le canapé.

Elle revint avec un verre d'eau qu'elle le tendit.

_ alors... Tu ne m'avais jamais dit que tu connaissais rose et son ami... Evan.

Il prit le verre d'eau, but tout et deposa le verre sur la tablette.

_ nous étions ensemble au lycée... Moi et évan étions dans une même salle et rose dans une autre.

_ tu es sur que ce évan était vraiment avec toi au lycée, il n'avait pas l'air content de te voir... Il te fixait bizarrement. Ce n'est pas comme cela qu'on considere son camarade...

Georges resta silencieux. Il ferma les yeux lorsque leonord lui carressa la main et les cheuveux.

_ franchement, je devrais dire à rose, de ne pas trop resté avec lui, il est bizare...

_ ce n'est pas de sa faute leonord... Il a ses raisons...

_ quelles genres de raisons ? D'ailleurs j'appelle tout de suite rose pour lui dire...

_ nous avons eu quelques differents à l'epoque... Je...

_ quelles genres de differents ?

Georges savait que si leonord appelait rose, elle lui revelerait la vérité et c'était qu'elle l'apprenne de sa propre bouche. Leonord était une grande fille, elle pourrait comprendre.

Au moment où il voulait ouvrir la bouche, le téléphone de leonord sonna.

Elle s'éloigna un peu pour pouvoir repondre.

Georges la regarda un moment, elle était si belle avec ses long cheuveux noirs qui ornait son beau visage, ses yeux marrons clairs dans lesquels il aimait regardé, ses larges épaules un peu carré, son corps si fin qu'il aimait enlacé.

Il se racla la georges comme pour preparer ses mots. Il la vit arriver vers lui et s'assit plus confortablement.

_ oui, je suis bien arrivée léonord... Previens lisa, de mon arrivée... je n'ai pas pu la joindre.

_ c'est d'accord, je le ferai.

Leonord, la salua, et s'assit sur les cuisses de georges avec un grand sourire.

_ vas y raconte moi.

_ tu ne m'en voudra pas si...

Leonord l'embrassa sur la bouche avant de lui faire un grand sourire.

Georges prit sa main, inspira tres fort puis lui avoua tout.

La rencontre au restaurant avec lolita, l'accord, la grosse somme d'argent qu'elle lui avait promise, la batte, les blessures de rose, la fausse lettre d'accusation, le gaz dans le laboratoire , son mensonge à rose.

_ voila pourquoi, il me regardait comme ça...

Il regarda leonord. Elle avait tourné la tête, elle paraissait tres bouleversée. Son regard était celui d'une personne qui ne s'attendait pas à une certaine révélation. Elle essayait de temps en temps d'ouvrir la bouche mais la refermait à chaque fois... Elle n'avait peut être pas les mots pour repondre à ça. Elle n'arrivait peut être pas à assimiler la chose. Georges la secoua un peu comme pour la faire comprendre qu'ils étaient tout les deux. Elle quitta ses cuisses et prit place à côté de lui sur le canapé, toujours avec ce même regard. Evasif, troublé.

Il priait pour qu'elle ne s'en aille pas. Pour qu'elle ne le deteste pas.

la verité, celle qui va tout changerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant