Chapitre 62...

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Rebecca regardait rose. Elle n'avait pas vu le coup venir. Rose lui avait enlever sa cagoule et elle avait decouvert son visage. De toute façon, elle s'en foutait completement.

_ ça veut dire quoi ? C'etait toi becca. Dit rose en la fixant.

_ menottez la ordonna rebecca aux deux hommes.

Ils obeirent tout de suite. Rose fut menotée à une barre de fer. Elle continuait à regarder rebecca. Ses yeux etaient grand ouverts.

_ où est l'homme qui etait à ses cotés.

_ Il s'est enfouit repondit l'un.

Rebecca sourit de toutes ses dents en regardant rose.

_ vraiment pathetique, c'est dans ses moments qu'on reconnait le vrai amour.

_ pourquoi ? Demanda rose.

_ pourquoi quoi ? Tu penses que ta mère avait le droit de vivre.

_ mais que racontes tu , tu etait mon amie, tu as fait un discours à son enterrement. Tu me consolais alors que tout ce temps tu...

_ oui, OUI. C'est moi qui l'est tué et toi aussi tu vas subir le même sort que lolita.

Rebecca avait un regard dur, c'est comme si elle ne ressentait plus aucune emotion. Elle regardait rose dans les yeux sans rien eprouver aucune pitié. Il y'avait juste de la colère.

_ pourquoi tu as accusé evan alors.

_ tu es bête ou quoi ? Tu voulais peut être qu'on ne m'attrape. C'etait tellement facile aussi. Quand je suis revenue de mon voyage j'ai logé dans golden et me suis enregistré sous le nom d'evan. Le jour où il a été arreté, c'est moi qui ai mis l'arme dans sa boite à gant. Le tour etait joué, j'ai juste mis les empruntes que j'avais de lui dessus. Personne ne s'est rendu compte même toi tu as cru.

_ tu n'es qu'une traitresse.

Rebecca se mit à rire devant l'expression de rose. Elle s'assit sur le sol et la regarda tout en souriant, elle braqua son arme sur elle. Rose deglutit legerement.

_ t'inquiete, je ne te turais pas maintenant ma jolie, il faut d'abord que tu rencontre quelqu'un.

Rebecca se leva et avec ses hommes quitta la piece sans lui dire qui etait cette personne.

Rose baissa la tête. Comment n'avait-elle rien vu. Elle etait tombé dans un piege. Le pauvre evan souffrait d'une fausse accusation. Il etait innocent, il l'avait proteger et voila qu'elle l'avait abondonner et delaisser. Rose essaya de sortir sa main de la menotte mais elle etait trop grande pour ce trou. Elle soupira, sursauta lorsque les pas se fit entendre.

_ bonjour.

Rose regardait la vieille femme qui etait accompagnée de rebecca. On lui mit une chaise et elle put s'asseoir. Sa face etait recouverte de rides, elle avait un corps fin. Elle regarda rose avec admiration, avec un sourire.

_ tu es aussi belle que ta mère. Dit-elle de sa vielle voix.

_ qui êtes vous ? Demanda rose sans cesser de la fixer.

_ oh desolé, je suis lisa simons la grand mère de rebecca et une amie de ta chere mère.

_ votre petite fille a tué ma mère, comment pouvez vous l'appeler ainsi.

La vieille femme la regarda plus attentivement et sourit.

_ ta mère etait une tres belle femme tu sais... avec un magnifique corps, un corps que tous les hommes rêvent de mettre dans leur lit.

la verité, celle qui va tout changerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant