Un Don Particulier {Livaï X Reader}.

Jalousie ?

J'entendis des pas approcher de la porte et je partis me cacher derrière le mur le plus proche. Une fois qu'elle sortit, j'entra dans le bureau d'Erwin :

Moi : Erwin, explique-moi ce que je devais savoir depuis le début.

Erwin : Je me doutais bien qu'il y avait quelqu'un qui écoutait notre conversation...

Livaï : Explique moi.

Il m'expliqua tout en détail ce qui me troubla encore plus l'esprit. Je m'apprêtais à sortir de son bureau quand soudain, lui et moi entendions un bruit qui provenait du grenier. Nous nous dirigions de suite vers l'endroit en question quand soudain nous vîmes Hanji, Mike et d'autres soldats pétrifiés. J'entra dans le grenier, et je vis (T/P) en train de déchiqueter un soldat déjà mort. Ses pupilles était d'un rouge effrayant et elle ne pouvait plus se contrôler :

Erwin : ATTACHER LÀ IMMÉDIATEMENT !!!

Les Soldats : Oui Major Erwin !

Ils se mirent à plusieurs sur elle, on aurai dit un animal. Cette morveuse ne savais rien faire à par me donner l'envie de vomir. Une fois capturée, les soldats la mirent dans un cachot au sous sol, elle ne pouvait plus s'échapper car elle était menottée de partout.

PDV Reader :

J'ouvris les yeux petits à petits et je sentais comme une odeur de...sang. "Chui où là ?! Il s'est passé quoi ? J'ai fais ronpich ronpich ? Pendant combien de temps ? Vas-y ça pue ici...". Les questions tourbillonnaient dans ma tête quand soudain, je leva la tête et j'apperçus Livaï, Erwin et Hanji. J'essayais de me redresser mais je ne pouvais faire aucun mouvement. J'étais menottée des mains et je pouvais à peine m'asseoir :

Moi : Euh... Salut ? Ouais... Vous voulez bien m'expliquer ?

Hanji me devisagea et parti. "Mais...?! Sérieux... C'était la plus sympa des trois...".

Moi : Hé ! Hanji, reviens ! Me laisse pas avec eux !

Livaï : Boucle-la morveuse.

Moi : Chui pas une morveuse.

Livaï : Tch. Je t'aurais prévenu.

Il pris une sorte de télécommande et appuya dessus. Les menottes que j'avais étaient électriques. Je me fis électrocuter et je retrouva par la suite tous mes souvenirs. "Quooiiii ???? Non impossible... Mon œil... Il est redevenu rouge, et merde... J'ai pas pu me retenir... Tant pis. Repose en paix soldat que j'ai tué. Et merde... J'ai aussi blessé Mike ? Raaah... La galère...". Pendant ce temps, Livaï n'avait pas levé sa main du bouton :

Moi : AAAARGH !!!

Erwin : C'est bon Livaï. Arrête.

Moi : Erwin pourquoi ne m'avez vous pas écouté ? Je vous l'avais bien dit, non ? Je ne suis pas faite pour être dans le bataillon. Alors laisse moi y aller.

Erwin : Ne dis pas ça. J'ai reçu une nouvelle lettre de ton frère.

Moi : Ça, c'est cool.

Erwin : Livaï détache la, s'il-te-plaît.

Livaï : Tch. Morveuse.

Il rentra dans la cellule pour me détacher. Il prit deux clés qui servaient à enlever les menottes. Il commença par ma main gauche puis il mis la clé sur la menotte où était ma main droite, il s'abaissa légèrement et me murmura ces quelques mots :

Livaï : Quand tu auras finis, passe dans mon bureau.

Moi : Mais-

Livaï : Pas de mais.