Un Don Particulier {Livaï X Reader}.

Le Remercier

??? : (T/P)

"Eh merde...".

Je me retourna et vis Jean." Ah. C'est juste lui.".

Moi : Oui ? Tu viens on y va ? On va être en retard...

Jean : En fait... Je voulais te demander si tu pouvais m'aider à rédiger mon rapport. Je suis nul pour faire des rapports...

Moi : Oh... Vas-y, pas de problème.

Jean : Merci... Tu me sauves. Viens, on va dans ma chambre.

Moi : J'te suis !

On se dirigeaient vers sa chambre tout en évitant les soldats qui montait la garde.

Jean : On est arrivé.

Il ouvrit la porte et nous rentrâmes. Il referma en vitesse derrière lui. Je l'avais aidé à rédiger son rapport sur les titans, au cas où il avait vu des choses bizarres... À croire j'étais prof' :

Moi : Et après tu signes.

Jean : Ok ! Mais (T/P), t'es super forte contre les Titans... J'étais choqué...

Moi : Mmh... Ouais...

Je pris le rapport de Jean et le corrigea car Erwin n'allait rien comprendre...  Une fois que son rapporte fut terminé, je décida de questionner Jean :

Moi : Euh... Jean, pourquoi tu chialais ?

Jean : Hein ?! Tu m'as vu ?

Moi : Yas. C'était pas mon intention...

Jean se leva et parti en direction de son lit, il pris une photo qui était en bas de son oreiller, puis il revint s'assoir par terre pour m'expliquer :

Jean : Avant que t'intègres le bataillon d'exploration, mon meilleur ami a été tué, dévoré par un titan. C'est lui, Marco. Depuis je peux plus me regarder dans la glace, et je me dis que si j'aurais été là, il serait probablement ici, avec nous et que si...

Il se mis à pleurer, j'avais sa photo dans mes mains. Je me leva et remis la photo en dessous de son oreiller :

Moi : Crois-moi, je suis passée par là. Arrête de regretter. « Si j'aurais fais ça, ou si j'aurais été là », ça sert à rien. Ça c'est passé comme ça et puis c'est tout. Tourne la page. Les regrets te rongeront si tu continues.

Jean : O-ouais... T'as probablement raison...

Jean se leva à son tour et nous nous apprêtions à sortir. Il mis la clé sur la serrure et me demanda :

Jean : Promet-moi que tu ne le diras à personne.

Il continuait à pleurer mais commençait à sécher ses larmes.

Moi : T'inquiètes.

Il ouvrit sa porte et nous sortîmes. Là, nous avions croisé Livaï, comme par hasard. Il se rapprocha de nous pour nous engueuler. "Et bah voilà... Manquait plus que ça...".

Livaï : Tch. Qu'est-ce que vous foutez ici à une heure pareil ?

Moi : Erwin m'as rétrograder ce matin. Je suis plus une de vos soldate mais je suis sergente, comme Mike. Donc j'ai le droit d'être ici à cette heure-ci.

Livaï : Tch. Et lui, qu'est ce qu'il ici ?

Moi : Il est avec moi.

Livaï : Jean, tu dégage dans ta chambre. (T/P) dans mon bureau.