Une mystérieuse jeune fille revient à Beacon Hills après 4 ans d'absence. Mais qui est-elle ?
Salut, moi c'est Louna Stilinski-Hadoway et j'ai 17 ans. Je suis la cousine de Stiles et cette année je fais ma rentrée à Beacon Hills Hight School. J'ai...
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(avec des Nike noires),
je préviens Stiles.
Moi : Je vais courir, à demain si on ne se revoit pas se soir, passais-je dire à Stiles qui est dans sa chambre.
Stiles : Ok, à demain, me répond-t-il en essayant de cacher un air soucieux auquel je ne prêtai pas grande attention.
Je partis donc courir, mais cette fois-ci, uniquement dans la forêt. Ce soir c'était la pleine lune, mais il y avait quelque chose de différent, et plus marqué qu'hier soir... Puis, en arrivant au niveau d'un rocher qui donne une très belle vue sur toute la ville :
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je fis comme ces derniers jours, et me mis en équilibre sur les coudes avec les jambes croisées en l'air. Alors oui, ça peut paraître étrange, mais c'est une technique que j'avais trouvée avec mon père ces dernières années. C'est une façon de canaliser mes pouvoirs et principalement ceux de voyante (ça m'aide aussi à les camoufler), car le fait de me retrouver sur un point élevé qui est aussi sur un croisement des lignes de forces surnaturelles de la ville, me permet de ne pas avoir de visions dans la vie de tous les jours, car ma concentration (dû à cette position), me permet de déverser cette énergie dans le sol. Et puis, j'aime rester ici plusieurs heures, au calme.
Mais tout à coup, je me fis projetée plus loin par quelque chose. Mais il y a une chose que je m'étais dite, et presque promise après la mort de mes parents : si je voulais vraiment retrouver ma vie d'avant, il ne fallait pas que je manifeste mes pouvoirs, et ce, sous aucun prétexte. Alors pour ça, mon père m'avait conseillé de prendre, à très petite doses mais tous les jours, de l'aconite du loup. Ça me rendait donc plus faible, et si je me blesse, je ne cicatriserais pas comme un loup-garou, ou du moins, pas directement. L'aconite me laisse mes facultés auditives, visuelles, et olfactives, bien qu'elles soient légèrement diminuées.
Et donc lorsque je me fis propulser contre un arbre, je ne montrai pas de réaction. Puis j'entendis des voix qui me sont familière, sans avoir le temps de décrypter à qui elles appartiennent ou ce qui avait été dit, car je perdis connaissance. A mon réveille, j'étais dans un lit à l'hôpital. En essayant de me lever j'eu une forte douleur du côté droit de l'abdomen au niveau des cottes. Je regardais, et y vis un gros hématome.
Mais c'est quoi ce bordel ? Et puis c'est ridicule, qu'es ce que je fous ici, et qui m'a amenée ? Je m'arrachai l'éguille de perfusion, et le petit trou se referma directement. Je me levai et me rhabilla avec mes vêtements de la veille qui étaient posés sur une chaise à côté du lit, et sorti de la chambre. Bien-sûre la douleur me fait un peu boiter, et cette sensation de faiblesse me mit bien plus en colère. Je pris l'ascenseur, et lorsque les portes commençaient à se refermer, une main reteint la porte. Nan mais c'est pas vrai, me dis-je encore plus agacée et énervée. C'est un homme d'environ 4 ans de plus que moi. Et pour qu'il ne voit pas mon visage, j'enfonçais encore plus ma casquette sur ma tête qu'elle ne l'était déjà. Je sentais qu'il me regardait par moment avec un air intrigué. Et très sincèrement, je sentais ma propre odeur de colère, alors comme lui aussi est un loup garou, c'est surement pour ça. Et ce n'est que lorsque je me fie cette remarque à moi-même que je me rendis compte que je n'avais pas pris ma dose d'aconite aujourd'hui. Mais enfin bref, les portes d'ascenseur s'ouvrirent enfin, du coin de l'œil, je vis l'homme me faire un signe de la main m'indiquant de sortir avant lui. Je ne lui répondis pas, et sortis. Mais en relevant un peu la tête, j'aperçu Stiles et mes autres amis en train de parler à une infermière qui est la mère de Scott si mes souvenirs sont bons. J'accélérai le pas pour avoir le temps de sortir de l'hôpital, mais une main me reteint. Et merde, fait chier ! Je me retournai donc, et vis Stiles et les autres me dévisager.
