Les premiers Uchiha

XXII

Une forte sensation de nausée, un affreux mal de tête, et une envie démesurée d'aller au toilette pour uriner, c'est dans ces circonstances peut agréable que ses yeux s'ouvrent, son corps lourd ce lève hors de ce futon, son esprit embrouillé chercher les toilettes, une fois les urines évacué sont corps ce déplace lentement, avec instabilité, jusqu'au futon, ses yeux ce pose alors sur une gourde d'eau, ses mains s'empressent de s'en saisir, de l'ouvrir, et de la vider d'une traite dans sa bouche sèche. Une fois chose faite un sentiment d'aisance empli son corps malgré ses faiblesses toujours présentes, ses yeux constatent alors une lettre, ses mains s'en saisissent avec délicatesse et ses yeux lurent le contenu écrit avec intérêt.

" Ma très chère Âme,

J'ignore si à ton réveil tu te souviendra de la vielle, j'ignore même quand tu te réveilleras, a mon humble avis il te faudra beaucoup d'heures de sommeils pour récupérer, j'ai donc décidé de t'écrire cette lettre avant de partie, je me suis dis qu'elle pourrait t'aider à te rappeler de la veille, et peut être même à te rassurer sur ce qui si c'est passé (si jamais tu as des trous de mémoire !)."

Âme sentie son cœur défaillir, mais que diable c'est il passé la nuit dernière ?! La mère Uchiha tente de ce souvenir, mais rien ne lui revient, a part une chose, ou plutôt des sentiments : de l'affection, de la sécurité, et de la confiance mais à part cela rien ne lui revient, elle remercie alors au plus profond de son être la personne qui lui avait écrit cette lettre.

"J'ai étais des plus surpris et heureux de revoir après toutes ses années. Je ne te le cacherais pas, j'ai longtemps hésité a venir te parler, je n'étais pas sûre que ce soit toi, ni même que tu te souvienne de moi, mais je ne regrette pas de mettre lancé, te revoir m'a rappelé bien des choses."

Âme eu alors un vague souvenir, une image plutôt flou et presque indiscernable, d'un visage avec d'épais cheveux blanc comme la neige fraichement tombé du ciel, cela éveille quelque chose de plaisant au fond elle, sans qu'elle ne sache pourquoi.

"Te revoir vivante était une chose dont j'avais perdu tout espoir, mais qu'importe, le sujet n'est pas là.

Quand je suis venu t'aborder tu avais déjà enfilée quelques verres, tes joues était rose et tes yeux embrumés, quand tu m'as vue t'as première réaction a était la surprise, puis ta seconde réaction a était de me prendre dans tes bras et de me dire : je suis tellement heureuse de te revoir. Je suis amusé de me rappeler combien tu n'as pas hésité en me voyant, comme si on c'était quitté hier."

Âme ce sentie rassurée, au moins elle le connais, c'est déjà ça, mais alors qui cela peut il bien être ?

"On sait alors mis à discuter, tu m'as posée des centaines (si ce n'est pas des milliers !) de question sur ma famille, si ils allaient bien, sur ce qu'ils devenaient, ce qu'ils fessaient, ou ils étaient. J'ai répondu à toutes tes questions, sans exception, je voyais sur ton visage combien cela te fessais plaisir, on a bien du passer trois heures à parler de ma famille et moi !"

Âme ne put s'empêche de sourire, comme si elle s'en souvenait, inconsciemment.

"Mais bien sûr tu n'allais pas m'échapper si facilement, comme tu le sais je suis aller à bonne école en matière d'interrogatoire, après ce fut à mon tour de poser les questions, et c'est là que j'ai comprit ce que tu fessait dans un coin aussi mal famé que celui là, tu chercher à noyer ton chagrin sans que personne ne le voit, sans que tu puisse être reconnue."

Âme ce souvient de son départ de la maison en pleine nuit après un cauchemar dont elle ne ce souvient plus, puis elle était partis loin de la maison, très loin, plusieurs kilomètres à pied, elle était rentrée dans un bar aux allures peu chaleureuse, puis elle avait bue, encore et encore, jusqu'à ce réveiller ici, elle ne sait pas où, ni à qu'elle heure.