Il faut un quart d’heure en bus pour arriver dans mon nouveau lycée. J’ai une boule au ventre, cela m’arrive à chaque rentrée, mais cette fois elle est plus forte que d’habitude. Le stress monte, j’ai peur.
Ce lycée n’est pas très grand mais j’arrive quand même à me perdre pour trouver le tableau d’affichage des classes. Je regarde autour de moi et vois un amas de personne. Je me dirige vers eux et réussi à apercevoir, après mettre fais pousser dans tous les sens, le nom de ma classe : 2°1. Je regarde les noms des personnes de ma classe comme s’il y avait une chance que je connaisse quelqu’un, jusqu’à ce que je me rende compte que cela est impossible. Au-dessus des listes d’élèves il y a le nom des salles la mienne est la salle numéro 102. Je me dirige vers les escaliers en espérant que les salles soient comme dans mon collège ; c’est-à-dire qu’au premier étage se trouve les salles 100 et au deuxième ce trouve les salles 200. J’ai de la chance c’est rangé comme ça !
Je vais alors devant ma classe et observe toutes les personnes que je vais fréquenter cette année.
- Entrez, nous ordonne le professeur.
Il est grand, brun et s’habille avec classe. On rentre dans la salle et le professeur nous fait nous asseoir dans l’ordre alphabétique, je me retrouve bien évidement au premier rang vu que mon nom est Bourgeois.
- Je me présente monsieur Lecat, je serais votre professeur de français ainsi que votre professeur principal pour cette année, nous explique-t-il.
La rentrée ne dure que la matinée, je rentre donc chez moi à midi.
A peine arrivée à la maison, ma mère m’assomme de questions :
- Comment est ton nouveau lycée alors ? Et comment sont les gens de ta classe ? Tu t’es déjà fait des amis ? Alors qu’est-ce que le professeur vous a dit ?
- Déjà le lycée n’est pas très grand, je n’ai pas encore fait la connaissance des personnes de ma classe. Et enfin le professeur ne nous a rien dit de spécial, ce sera notre professeur de français cette année, lui répondis-je.
Cette après-midi ma mère et moi allons faire du shopping dans Bordeaux. C’est là que je découvre l’immense rue Sainte Catherine, on passe quatre heure à faire les magasins.
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Silence
Teen FictionJe m’appelle Emma et le silence est mon quotidien depuis maintenant 2 ans. J’ai désormais 18 ans et avant le 31 octobre 2010 je vivais dans un rêve.