Tu es l'autre moitié de mon cœur ~ Wayl

Mon esprit est fait que de toi :

La suite de la journée c'était très bien passé, Theluji et moi avons appris a ce connaître un peu mieux et on avait beaucoup ris ensemble. D'ailleurs, beaucoup nous avaient dévisageait en nous voyant traîné ensemble mais bizarrement, je m'en ai jamais autant foutue que cette journée là. Étrangement, j'étais bien a ses côtés.

Il m'avait fait visiter durant tout l'après midi le campus et l'université, me faisant voir les coins et recoins de ce bâtiment en me racontant tout les petits anecdotes qu'il avait vécu - sans revoir ce Damian de tout la journée - et ensuite, on était retourné dans notre chambre pour se reposer. Il se faisait tard et je m'étais endormie directement après un chaleureux "Bonne nuit".

Ce matin, je m'étais réveiller en douceur, espérant voir ce beau loup qui me servait de compagnon de chambre mais je me retrouve seul. Ce qui, sans trop savoir pourquoi, me blessa légèrement. Je voulais passer mon matin avec lui bizarrement.

J'avais senti - pendant que je dormais - une pression délicat se faire sur mon front, comme un baisé et j'avais secrètement espérer que ce soit lui qui me l'avait faite. Je soupire un peu et me lève difficilement, je me prépare pour ma première journée de cours et je part prendre mon petit déjeuner en espérant le voir mais encore une fois, rien. Il n'y était pas. Je soupire une seconde fois et me prend un bon gros petit déjeuner pour me consoler.

Suite a ce repas, je part préparer mon sac avant de partir en cours. Durant toute la journée, je ne faisais que penser à Theluji... Mes cours était très intéressant mais parfois un peu long. J'ai une plusieurs petits cours dans la matinée - 3 plus précisément- et un gros cours dans l'après midi.

Mon premier cours était d'histoire des créatures fantastiques dirigé par un petit homme avec une longue barbe, ça avait l'air d'être un Gobelin des Forêts - créatures très intelligente mais extrêmement méchante et très têtu sur les bords . Il nous expliqua en premier temps qui il était et expliqua plus en détail sa matière, a quoi elle servait pour notre formation ect... Il dit d'appeler M. Hgonu; et je me pris très vite a son cour et malgré ses petits changements d'humeur, c'est extrêmement intéressant.

J'eus deux cours ensuite, une heure chacune. Le premier était présenté par une femme, une jeune louve nommé Elena Gubwa et le deuxième nous était présenté par un sorcier d'une quarantaine d'années, Monsieur Merry.  Mme Gubwa était une femme belle doté d'une extrême douceur avec une voix très léger, on était 250 dans l'amphi tout le monde se taisait quand elle parlait, elle enseignait tous ce qui enregistrait l'hygiène dans les hôpitaux, nous expliquer comment nettoyer une chambre, comment s'habiller et ect... Beaucoup moins intéressant mais elle était si gentille que ce n'était pas une corvée d'aller a son cour. M. Merry, lui était un professeur qui prenez tout le ton de l'humour, très gentil également, il avait une vraie complicité entre lui et tout les élèves. Il enseignait les art de la magie et les potions en tout genre. C'était sympathique, surtout la partie potion même si c'est un peu long vers la fin du cours mais je pense que j'avais besoin de manger.

L'après midi, on eu la pratique. Moi qui voulais devenir médecin, j'allais disséqué, ouvrir, toucher et j'en passe. J'étais excité ! Le professeur arriva enfin après 5 minutes d'attente et il ce trouva que c'est un vampire, aveugle. Il avait une canne et ses yeux et le contour de ses yeux étaient brûlés. Beaucoup ce demanda si il ne s'était pas trompés de salle, ce ne pouvait pas être lui pour la pratique.

- Je suis Monsieur Monsutā Linory . Avec moi vous allez sauvé des vies, en créé et malheureusement parfois, en perdre. Il avait une voix forte, calme mais sévère. Mes yeux se mirent a brillé et je me redresse sur ma chaise. Je veux que les plus sensibles, fragile et j'en passe parte de cette salle. Nous allons voir du sang, des plaies, nous allons ouvrir des êtres, nous allons voir des choses horribles, parfois écoeurant et je ne veux pas que ma salle de cours soit recouvert de vomi car des incapable ont étaient dégoûtée par ma matière !
Il eu un silence puis la salle, nous laissant que très peu, j'étais resté évidemment. L'homme souris et demanda.

- combien était vous ?
- plus d'une centaine, monsieur. 150 peut-être plus. Répondit très timidement une fille, au allure de sorcière.
- Et maintenant ? Il avait un air satisfait.
- 12... Dis-je doucement. Son sourire s'allonge, il se tourne et ce dirigea vers le tableau en frappant sa canne contre le sol.
- c'est suffisant !.
Il avait simplement répondu ça avant de commencer son cours. Elle était plus que génial, on oublie très vite qu'il était aveugle . Il était sévère et au moindre erreur, il nous frappé les doigts avec sa canne. Ses mots étaient d'ailleurs " je fais de vous des médecins. Vous allez sauvé des vies et si pour ça, je dois être votre pire cauchemar, alors je le serai ! ".

Mes cours se finir après 4 heures de pratique, je me retrouvais avec plusieurs devoir sur le dos, fatigué mais joyeux de ma journée. Je rentre dans ma chambre en soupirant d'aise, je lève la tête et je le vois. Mon beau loup, Theluji Aaron. Je lui fais un petit sourire.

- salut...
Il regarde mes mains, il me rends mon sourire et dit avant de ce relevé de son lit, pour se mettre en position assise. Je remarque très vite qu'il n'a pas de haut et que tout le monde peu voir son torse. Il était si musclés, je bave a moitié sur lui que je rougis violemment en m'en rendant compte.

- Ha... Monsutā Linory ? Tu es en médecine ?
Je baisse la tête pour regarder mes mains. Elles étaient rouge, tâché par le sang. Je souris doucement.

- oui... Je pensais pas qu'on allait disséqué des rats pour le tout premier jour... Et toi? Tu es en quoi ?...

Je l'entends faire un petit bruit pour exprimer son accord, je relève doucement la tête sur lui et je le vois chercher quelque chose. Je regarde attentivement et je vois qu'il sort une sorte de petite couverture au airs tout doux tâché de sang. Il l'humidifie et viens ensuite vers moi. Je range rapidement mes affaires.

- Je pourrais t'aider... Ça dois faire cent ans, mais bon, commença-t-il  en me faisant tendre mes mains. Je suis en psycologie, premire années.
Il me frotte les mains et je rougis un peu, je ferme les yeux pour profiter de la douceur du tissus. Je demande doucement.

- ce serait pas de refus... Dis, je me posais une question, ça fait combien de temps que tu es là ? Et... pourquoi tu y es depuis si longtemps ?...
Il reste silencieux quelques secondes, comme si il réfléchissais. Avant de répondre honnêtement.

- Ça dois faire environ 150 ans... Il marqua a nouveau une pose tout en continuant de m'essuyer les mains. "Un vrai maître est un éternel étudiant". Comment pourrai-je diriger ma meute sans avoir toute les connaissances possibles ?...
Je secoue positivement la tête. Je vois. Je ne dis rien de plus, profitant juste de ses mains chaude qui réchauffait les miennes qui était glacé. Il finit d'essuyer mes mains et ce recule légèrement sans les lâcher pour autant. Je rougis alors doucement. Cependant, il lâcha mes mains pour reculer plus franchement tout en disant, je ne cache pas mon air déçu.

- Je dois avoir des corps ensorcelés... Pour les entrainement d'opération... Je te montrerais...
Je lève un sourcil interrogateur en l'entends et j'ai un ai dégouté en imaginant ce que ce la pouvait être.

- Des... Corps ?... Des corps ensorcelé ? Qu'es-ce que c'est ?...
Je vois son visage ce fermer et ses sourcils ce froncé, ça a pas l'air de lui plaire que je ne sache pas ce que c'est.

- Oui. Des sorts permettant d'opérer des corps de toute race et tout âge.
Me répondit-il d'une voix tendu tout en s'approchant de moi. Je recule un peu et je dis pour me défendre.

- ok ok, je savais pas ce que c'était...
Je remarque que ses yeux change, sa pupille grossi, recouvrant la partie bleue et verte, ne laissant apparaître que le fin anneau gris. Son cœur bât fort, je peux l'entendre d'ici. Le miens aussi se met également a battre la chamade mais j'essaie de lui tenir tête, je ne baisse pas les yeux et ni la tête. Je demande doucement.

- ça va ?... J'ai dit quelque chose qui fallait pas ?...
Il ne me répond pas, je le vois juste s'avançait un peu plus près, ce rapprochant de moi alors que moi, je ne peux plus reculer, quasiment collé au mur. Il se penche et je sens ses lèvres frôler ma joue, mon cœur s'accélère et je sens mes joues rougir presque instantanément. Je le vois fuir ensuite tel un voleur, comme si il n'assumer pas ce qu'il avait tenté de faire. Je viens caresser ma joue, ne comprenant qu'à moitié tout ce qui venait de se passer.