The maze Runner

Aris.

- Ca veut dire quoi ça c'est les derniers, demanda Yumi.

- Je pense qu'il n'y aura pas d'autres jobardes à venir, répondit Sonya.

- Et si je comprends bien, la boîte monte une fois par mois avec un nouveau et des provisions et qui dit plus de nouveau, plus de provisions, fis-je.

- C'est exact, dit Harriet qui se trouvait sur le seuil de la porte.

- Alors, il faut que l'on sorte de ce bloc, concluais-je.

Les filles hochèrent la tête et Lukas sortit de sa cuisine.

- Vous avez encore faim, les filles !  s'exclama la cuisinière.

Sonya compta répondre mais une fille rousse aux yeux bleus arriva en trompe dans la salle.

- Harriet, il est fou !

- Qu'est-ce qui se passe Berry ? Demanda l'afro.

- Le nouveau, il est dans la cabane du haut et il est pas commode.

Nous partîmes toutes, et arrivâmes sur les lieux. Le garçon lançait des tonnes de pierres sur les jobardes qui lui demandaient gentillement de descendre.

- Bon allez tâs de Plonk, descends de là, hurlait Beth.

- Hé Beth lui parle pas comme ça, intervenais-je.

- Oh mamzelle sainte nitouche, vous y mêlez pas !

Elle poussa violemment et je manqua de finir au sol. Je courus vers elle prête à lui mettre mon poing dans sa tête.

- Vas-y frappe, m'encourageait t-elle, tu rejoindras Vanille dans le maze.

Je déserra mon poing et me contenta de lui cracher dessus. D'un coup de hanche, je l'envoya manger la terre et décida de parler au nouveau.

- Hé s'il te plaît !

Il m'envoya une pierre que j'esquiva.

- Même pas eu, ricanais-je.

La deuxième qu'il m'envoya me fit très mal au crâne.

- Bon ok, je vais monter !

- NON, hurla t-il.

- Laisse moi monter !

- NON.

- C'est Rachel.

Je vis une pierre tombait juste devant moi, mais elle ne me semblait pas destinée.

-C'est Rachel. Je vais monter, et toute seule, je te le promêt.

Je grimpa par l'échelle et ouvrit la trape qui me mena dans la cabane, le nouveau m'y attendait et il pointait une machette juste devant moi.

- Oh s'il te plaît, je ne te veux aucun mal, fis-je.

- Ah ouai et qui dit que tu n'essaieras pas de me tuer, fit le nouveau.

- C'est toi même.

- Fout toi de ma gueule Rachel.

- Non, c'est vrai c'est toi. Si au fond de toi, tu ne t'étais pas dit que je te ferais pas de mal et bien tu ne m'aurais pas laisser monter.

Il me regarda et finit par lâcher sa machette.

- Tu as de bons arguments, conclut-il.

- Alors, dis-moi quel est ton nom ?

- Aris.

- Aris ? C'est très beau.

- C'est vrai que je n'ai fait que dire ton nom dans mon sommeil ?