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(moi corrigeant mes chapitres et me rendant compte que mon écriture dans les premiers chapitre est cringe 🤡)

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📍 PDV Maxime



J'ouvre les yeux...lentement, très lentement et me réveille...encore...ça ne s'arrête donc jamais ?

Cette fois-ci je me sent...oppressé ? Je suis- attends...je suis attaché ...à une chaise ?

Pourquoi, pourquoi toujours moi ?



J'ai l'impression que l'on a écrasé tout mon corps. Avec mes yeux entre-ouverts j'arrivai à voir mes vêtements complétement recouverts de sang et de boue comme si l'on m'avais trainé par terre.

J'ai du sang qui coule de mon front, de ma jambe, de mon bras...je n'ose même plus me regarder...c'est horrible.

Comment j'ai fait pour être encore vivant avec tout ça ? Un faible comme moi...

De toute façon, je ne vais pas m'en sortir, je suis sûrement dans le QG des hyènes. C'est l'enfer ici, je dirais même, mon lieu de mort.


La Division raconte qu'aucun Agent n'est sortit idem de ce lieu...Les hyènes n'ont aucun cœur, elles brûlent et tuent tout sur leur passage.

Pourquoi je suis encore vivant alors ?

Sûrement pour me torturer pour des...informations même si je n'en ai aucunes, enfin...un peu-

Val...je suis désolé...je n'aurais pas du, je sais que tu-


La douleurs alors apaisée commença à réapparaitre. Les brulures pressantes sur une grande partie de mon corps, cet impact de balle présent sur mon épaule tout comme ces coupures me firent lâcher une larme.

Je ne dois pas, je ne dois pas montrer de faiblesse, surtout pas devant les Hyènes.

Je souffre le martyre...aidez moi-


La porte présente devant moi s'ouvrit violemment me terrorisant et me fessant imaginer quel genre de monstre pourrait arriver.



Je levai la tête et vis...non... Pas lui-

C'est...le chef des hyènes. Cyril si je ne me trompe pas...


Cyril : "Tiens...monsieur fait son fragile" toujours avec son rire

Maxime : "Je veux juste partir. Salope."

Cyril me regarda avec un regard neutre

Cyril : "Je dois t'emmener, on à quelque chose à te proposer là-bas" reprenant son visage d'horreur



Celui-ci me détacha et me poussa violemment au sol me fessant m'écrouler sous le poids de mon corps. Cette chute entraîna un cri provenant de moi-même, souffrant, désespéré.

Sans prêter attention à moi, il repartit de la salle tout aussi rapidement qu'il était venu.

C'est vraiment des monstres, je le savais...








Après plusieurs longues minutes, toujours dans le même état ainsi que toujours sur ce sol froid, celui-ci rentra avec 2 autres hyènes je suppose qui elles, me prirent les bras et me trainèrent à travers la salle accélérant le douleur encore une fois pour ensuite continuer dans les couloirs.

C'est une technique comme les autres...



Le chemin est long. Des couloirs sombres, sales et surtout...une odeur...je dirais une odeur de-

Vers où aller ? (Division)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant