Vers où aller ? (Division)

20

Hey heyy :D

Chapitre 20 déjà ?? (je l'ai coupé en 2 parce que...mon inspiration prend le dessus des fois oui- 😭)

Je suis en train de faire des "test" avec la conjugaison donc...voilà ça va peut-être vous déranger alors je préfère prévenir :')

Bonne lecture eheh <33

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📍PDV Maxime

En cette soirée qui aurait pu être si basique, me voici vivant l'enfer.

Tout d'abord arrêté, puis ensuite...vous connaissez la suite.

C'est passé si vite- J'ai...j'arrive même pas à savoir si je dois avoir peur ou non. Actuellement on peut dire que...ouai, je suis bien. Peut-être parce que je ne réalise toujours pas ce qu'il se passe. Hmm.

Julien : "Oh ! Grouille toi j'ai pas tout ton temps !"

Et pour finir, me voici en route, à travers de longs couloirs effrayants, vers mes derniers instants de lucidités. J'ai même pas de moyens de m'échapper...C'est la fin. J'ai tout foiré, j'ai tout perdu.

Julien serra de nouveau mon bras me fessant accélérer le pas. Direction, ma cellule.

Tandis que je souffre à chaque pas supplémentaire, lui a l'air ravie, très ravie. Après...il a récupéré Cyril, il a de quoi être heureux.

Quelle vie quand même quand j'y pense...

Assis sur ce sol froid, seul, recourbé m'y voici. Une cellule simple oui, mais la dernière fois que j'ai été dedans...

"Tu nous as trahit..."

Hmm, ça m'a peut-être touché...un peu...légèrement...

Bon et puis franchement...je peux comprendre, je le mérite un peu non ? C'est peut-être juste les conséquences de mes actes ?

Je m'en veux. Mais vraiment.

Toutes ces personnes que j'ai t...OH, mais je viens d'y penser...

Pourquoi je réfléchis encore à tout ça ? Penser à un futur qui ne sera jamais établit ? Désespérant. Avoir encore ne serait-ce que de faibles sentiments ne sert plus à rien à présent.

Bref bonne nuit , adieu tout ce que j'ai construit.

Je me plaçais donc dans une meilleure position pour dormir, enfin...tout est relatif, d'ici que je crève...Si triste je sais mais si réaliste à la fois.

Après plusieurs longues minutes dans cette position inconfortable, allongé sur le sol glacé avec seul mes pauvres habits en guise de confort et mes bras en appuis pour ma tête, je sentais mes paupières se fermer peu à peu. Ma vision diminua ne me laissant plus qu'un voile sombre.

C'est donc ça, ma mort ?

(j'avais dis d'arrêter avec les espaces je sais oui, mais c'était tentant)

Quelqu'un.

Devant-moi.

J-je le vois

Une longue robe noir ainsi qu'une capuche tout aussi grande, s'approchant de moi.