Le début

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Lundi matin, le jour de la rentrée :

J'entendit un son lointain. C'était mon réveil. Je me suis levée péniblement et mes yeux me brulaient. Pourquoi m'étais-je endormis aussi tard ? Je pense que j'étais beaucoup trop stresser hier. Je n'ai pas arrêter de penser à ma professeur de Français. Elle ne le sais pas mais... je l'aime. En fin bref, il faut que je m'habille. Je me suis levée et j'ai prit les vêtements. Je me demande pourquoi j'aime autant cette professeur en particulier. C'est vrai quoi, toute ma classe la déteste. Je ne sais pas, quelque chose m'attire chez elle. C'est peu être son sourire ou bien sa façon de parler, je ne sais pas. Elle est si belle.

7h45 :

Je sort de chez moi et je rejoins Léna.

-Salut, ça va, lui ai-je demandé.

-Oui ça va mais j'ai trop peur de savoir dans quelle classe je serais.

-Moi aussi j'ai trop peur, j'espère que j'aurais Canaris (nom de code pour mme Charpentier) en prof de français.

-J'ai trop hâte de voir sa tête. Elle était partit un an en Guadeloupe et n'avait donc pas connu Canaris qui ne devait rester qu'une seule année. Elle n'avait pas eu cette chance qui est de l'avoir en professeur de français.

8h04 :

Léna et moi arrivons devant le collège. On attendait avec impatience l'ouverture du collège et le premier bus arriva peut de temps après. C'était le bus de Solveig. Elle nous rejoignit et on entrait avec hésitation dans le collège. Sans surprise il y avait une énorme foule autour des panneaux qui indiquait notre classe. Je me suis faufiler entre les gens et j'ai réussi à apercevoir ma classe. J'étais en 4ème B. Léna et Solveig elles étaient en 4ème C. Solveig est venu me voir pour me dire que son professeur principale était monsieur Dalenyz. Choqué, j'ai voulu savoir qui était mon professeur principale alors j'ai demandé à des amies si elles était dans ma classe. Marie et Lola étaient dans ma classe et je leur ai donc demandé qui était notre professeur principale. J'ai sauté de joie lorsque j'ai appris que c'était Canaris. J'ai couru le dire à Solveig et Léna. C'est fou, la professeur que j'aime le plus est ma professeur principale.

La sonnerie retentit :

Je me suis ranger avec Neïla là où sur le sol il était indiquer "4èB". J'avais peur, Canaris était notre professeur principale. Je sais que j'insiste beaucoup la dessus mais c'est dingue pour moi.

Madame Charpentier arriva :

-NEILA, NEILA, Y'A CANARIS, ai-je dit un peu trop exciter. C'est vrai que je m'emporte facilement lorsqu'elle est là. Elle est arrivé et nous a regardé avec un grand sourire.

-Bon on y va, a-t-elle dit comme si de rien était. Neïla montait tranquillement les escaliers et je suis partit voir Canaris pour savoir si elle allait bien et si elle avait passé de bonne vacances. Elle me répondit que tout allais bien et qu'elle avait passé d'excellente vacances. Je lui offrit un paquet de bonbon crocodile en référence à ses pull Lacoste. Et elle a rigolé lorsque je lui ai fait la réflexion. J'aime son sourire. Elle me demanda si moi j'avais passé de bonne vacances. Je lui répondu que oui et que j'ai passé toute mes vacances à écrire des histoires et que j'aimerais bien qu'elle les lise. Gentiment elle me dit de lui en reparler à la récréation. J'avais hâte.

Pendant le cour, la prof expliquait comment allait se passer l'année. J'était assise au fond à côté de Tom, un élève en difficulté qui ne fait que bavarder. L'horreur.

A la fin de l'heure, je suis partit la voir seul et j'ai demandé à mes amis de partir. Madame Charpily me regarda et ferma les porte une fois tout le monde partit.

-Madame...

-Oui, tu voulais me parler de tes histoires. Tu peux me faire un résumer ?

-Heu oui, je crois. C'était gênant😓.

A la fin de la journée :

J'ai fouillé dans mon sac mais je ne trouvais pas ma lettre. En fait, j'avais écrit une lettre d'amour pour Canaris mais je ne comptais pas lui donner. Malheureusement elle est tombée de mon sac. J'espère que personne ne tombera dessus ou bien que personne ne la donne à madame Charpentier. Vous imaginer, dessus j'ai marqué tout mes sentiments et même si je n'ai pas marquer mon nom, mon écriture peut être reconnu. Ho lala je suis dans la merde...

La relation interditeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant