Kakashi x Ano

Quand la vérité éclate

- Putain mais dans quel état tu es Ano... Murmure Iruka en s'asseyant sur le lit et en me prenant la main.
- Mmh... Kakashi... Iruka... Dis-je en essayant temps bien que mal d'ouvrir les yeux, je sent une main m'attraper la main gauche et la porter à son visage humide.
- Ano... Tu nous a fait si peur. Dit Kakashi les larmes aux yeux.
- J'ai... Tout réglé, Iruka c'est bon... C'est fini. Dis-je en le regardant en souriant faiblement.
- Oui, Ano c'est fini... mais tu n'aurais jamais dû y aller seule, je t'aurais accompagné et défendu, pourquoi tu ne m'as pas appelé pauvre idiote ? Il caresse mon visage délicatement. Kakashi lui lance un regard interrogateur. Elle t'expliqueras une fois reposer Kakashi j'en suis sur, ne t'en fais pas.
- Je voulais régler ça moi même. J'essaye de me redresser mais impossible, la douleur prends le dessus.
- Reste coucher je vais me charger de la suite tu m'entends ! Je vais m'en occuper. Kakashi tu peux rester auprès d'elle ? J'ai quelque chose a faire pour elle.
- Bien sûr je ne bouge pas d'ici.
- Toi, dors, je m'occupe de tout repose toi. Il me fait un bisou sur le front et je me rendors presque aussitôt.

PDV d'Ano.

Je dors comme un bébé pendant plusieurs heures quand je sent le soleil taper sur ma joue. Je me réveille doucement et sent une douce chaleur sur ma cuisse gauche. Je lève la tête et regarde. Kakashi a rapproché la chaise du lit et est penché en avant sur mon lit d'hôpital, à dormir contre ma cuisse, toujours sa main dans la mienne. Je souris, il est tellement mignon endormi comme ça.

*Pensées : il est resté toute la nuit ici... Il doit être épuisé le pauvre, j'ai une idée.*

En me dégageant doucement, je descends de mon lit en appuyant le moins possible sur mon genou. Je met ma couverture sur lui et sort doucement de la chambre.

PDV de Kakashi.

Après quelques minutes, il tâte le lit en se réveillant doucement. Puis d'un coup se lève en me cherchant.

*Pensées : Mais putain elle est ou ?!*

Il court dans le couloir et manque de me bousculer.

- Tu m'as fait une peur bleue baka ! J'ai failli tomber et tout foutre par terre ! Dis-je en voyant Kakashi.
Il me prends dans ses bras et me sert.
- Ne me refais plus jamais une peur pareil ou je te jure que je te tue !
- Ouïe ouïe, j'apprécie le calin mais tu me fais légèrement mal la. Dis-je en rigolant. Il me lâche et me regarde.
- Mais pourquoi tu t'es levée ? Tu aurais dû me réveiller je t'aurai aider au moins patate ! Dit-il en ouvrant la porte de ma chambre. Aller vite dans le lit et qu'ça saute sinon je t'attaches !
- Oui chef ! Tiens c'est pour toi. Je lui tends une tasse de café avant de me recoucher.
- Merci mais il ne fallait pas. Je pouvais y aller. Dit-il en s'asseyant son le fauteuil en commençant à boire son café.
- Tu semblais fatigué je voulais pas te réveiller, tu as passé la nuit la ?
- Oui, je ne voulais pas être loin de toi. Dit-il en me regardant avec des yeux charmeurs.
- Ne me regarde pas comme ça ! Dis-je en détournant le regard avant de l'entendre exploser de rire. Où est Iruka ?
- Il te l'ai faut tous Ano ! Il rigole. Plus sérieusement, il ne devrait pas tarder je pense, il a dit qu'il avait un truc a faire pour toi.
- Pour moi ? Au même moment, la porte s'ouvre sur Iruka. IRUKAAA !
- Ano !! cries pas comme ca on est dans un hôpital je te rappelle ! Iruka m'as apporté des fleurs, des tulipes blanches. Il l'es met à côté de mon lit dans un vase et me fait un câlin.
- Merci Iru ! Dis-je en le lâchant pour regarder mes fleurs.
- Ano, ne refais plus jamais ça ! Tu aurais pu te faire tuer tu en es consciente ?! Dit Iruka légèrement énervé. Kakashi nous coupe.
- En parlant de ça ! Quelqu'un pourrait m'expliquer ce qui c'est passé s'il vous plaît ?! Dit-il en regardant Iruka puis moi.
- Je te laisse parler Ano...

Je prends la main de Kakashi, le regarde dans les yeux et me lance dans la narration de mon histoire. Plus j'avance dans l'histoire, plus le visage de Kakashi se décompose et je vois que ses yeux se mettre à briller. Je n'omet aucun détail, ni les plus violents, ni les plus gênants d'ailleurs.