Chapitre 4: L'infirmerie

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Point de vu d'Adrien:

Elle est partie, il y a 15 minutes. J'espère qu'elle va bien. En attendant la fin du cours, j'apprend mes répliques en compagnie de Nino et Alya. Nino est plutôt grand, comme moi. Il a des cheveux brun et porte en permanence une casquette rouge. 

Ses yeux sont brun, mais des lunettes ne nous permet pas de bien les observer. Alya, elle, a des cheveux roues et des yeux vert. La rousse a aussi des lunettes. Je crois bien que ses deux là se ressemble beaucoup et j'ai raison. Ça fait maintenant dix minutes que mes nouveaux amis s'envoie des regards charmeur.

Je les laisse tranquille et m'éloigne. Il reste cinq minutes au cours et je sais mes réplique pars cœur. Je ferme les yeux et sens que quelqu'un vient à mes côtés. J'ouvre mes paupières et la regarde. Ses cheveux blond attacher en queue de cheval sont parfaitement coiffer et ses yeux bleus me fixe comme si j'étais sont idole. Je sens le dégoût m'envahir en pensant déjà à se qu'elle va me dire.

C'est bizarre. Habituellement je suis heureux qu'une fille viennent me parler et j'en profite pour l'inviter au cinéma. Mais là, quelque chose m'en empêche. Cette fille que je regarde me sourit. Elle m'observe et se présente. 

Son nom est Chloé Bourgeois, fille du maire. Avant, je n'aurais pas hésiter à lui sauter dessus, car elle est la fille du maire. Ce qui veut dire que j'aurais plus de pouvoir. Mais je ne veux pas. La blonde me fait des yeux doux et son geste me donne le goût de vomir.

Je ferme les yeux pour reprendre sur moi et quand je les ouvre, elle semble surprise. Je réalise alors que je me suis reculer de quelque centimètres et que mon visage est crispé. Ses iris bleu me fixe d'un aire féroce. J'ai l'impression que je vais mourir dans les secondes qui vont suivre. Pourtant, ses lèvres me font un sourire et elle me donne un baiser sur la joue. Je reste sur place.

-Je sais que cette pièce est totalement ridicule. Mais tu sais, je peux demander au professeur de me donner le rôle principal, si tu veux, me dit-elle avec un regard de bambie.

-Non, ça va aller. Je pense que cette Marinette jouera parfaitement le rôle de ma bien aimer, dis-je en souriant.

Chloé se met debout et je l'entend rouspéter en partant. Je me retiens de rire. Je pense que Mademoiselle Bourgeois ne va pas me lâcher de toute l'année. J'entend la cloche sonner. Je me lève et me dirige vers l'infirmerie.

 Quand j'arrive sur les lieux, une seul personne est présente. Elle lit un livre. Je m'approcher et la fille lève les yeux vers moi. Son regard azur me trouble, mais je continue ma marche.

-Tu ne devrais pas être ici ton père si oppose, dit-elle un sourire en coin.

-Ce que mon père pense, je m'en fou. Moi tout se que je veux, c'est m'enfuir des griffes de cette Chloé qui me cours après.

Marinette éclate de rire. Elle ne peut même plus respirer. Je m'assoie sur le banc près d'elle et la regarde rire. Quand elle finit, elle jette un coup d'œil derrière moi, comme si elle s'attendait à voir quelqu'un d'autre arriver. Je la dévisage du regard et lui demande.

-Tu attendais quelqu'un princesse?

-Et bien je pensais qu'Alya allait venir me rendre visite.

-Je pense qu'elle est un peu trop occuper à frencher son Nino, donc tu devras te contenter de moi.

À nouveau, elle se plie en deux. Ses ricanements sont contagieux et je la rejoins. Pendant plusieurs minutes, nous rigolons. Une porte s'ouvre et nous nous tournons pour observer qui vient de briser se merveilleux moment. C'est l'infirmière et elle semble contrarier de nous voir autant énerver. 

Je me retourne vers la blesser. Elle aussi est frustrée que notre moment aie été interrompu. La secouriste s'avance vers nous et donne la permission à Marinette de retourner en classe. Nous la regardons toujours avec des yeux méchant se qui la fait rapidement sortir de la salle.

-Tu vois on forme un bon couple. Même elle n'a pas pu rester ici avec tant "d'électricité".

Je dis le dernier mot en mimant des guillemets avec mes doigts.

-Je crois plus que c'est ta jalousie qui l'a fait s'enfuir, dit-elle en se moquant.

Marinette a en partie raison. Cette intrusion m'a énervé. J'étais bien seul avec elle. Mais quand même jalousie est un grand mot. Je la vois qui commence à se relever de son lit. Un sourire malicieux se forme dans mon visage. Tout de suite, la jeune femme arrête de bouger et me regarde surprise et méfiante. 

Elle a raison, car à se moment, je l'attraper en poche de patate et commence à courir dans tous les sens. Je la sens frapper dans mon dos pour que je la lâche, mais je la serre encore plus fort. C'est cri son couper par des gloussements de joie. Elle s'amuse et ça me fait plaisir.

Je finis par la déposer au sol.

-La prochaine fois que tu fais ça, je vais te jeter dans mes ordures, dit la fille en me donnant une pichenette sur le nez.

Elle se trouve et marche vers la porte. C'est se qu'on va voir. Je cours vers elle et l'attrape juste en bas des fesses, puis je me lève pour qu'elle soit en hauteur. Elle se raidie et essaye de se défaire de mon emprise, mais en vain. Ses mouvements saccader et brusque se stoppe. Elle fini par dire plusieurs fois lâche-moi, mais je ne le fais pas. Il faut qu'elle fasse quelque chose en échange.

-Je te relâche à une seul condition. Tu me donnes un bisou.

-Ok, c'est bon tu as gagner. Maintenant, dépose moi au sol, elle me dit en soupirant.

Je la dépose et elle se tourne vers moi. Mon plan fonctionne à merveille. Tout se qui me reste est de tendre ma joue et au moment où elle vient pour déposer ses lèvres contre ma peau, je tourne la tête pour qu'elle m'embrasse. Aussi simple que ça.

(1023 mots)

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✨💗✨

Voilà pour le chapitre 4!!!

Je suis vraiment désoler, j'ai oublier de publier un chapitre le 11 et le 13 donc pour me faire pardonner, je vais en publier quatre d'un seul coup. Bonne lecture. ;)

Et si j'en étais un autre ? (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant