Chapitre 8: Les rumeurs

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Point de vu d'Adrien:

Je finis de descendre les marche et réalise que je suis à l'arrière du comptoirs. Les parents de Marinette me regardent visiblement dessus et me laisse passer à l'avant. Mon tempo est lent mais mon cœur bas rapidement. Comment j'ai pu faire une chose pareil.

J'ouvre la porte de vers du magasin et sort. Une personne me rentre dedans se qui me fait tomber. Je repend mes esprit et voit Alya. Ses yeux me jettent des regardes de mort. J'ouvre la bouche pour m'expliquer mais rien ne sort. Mes yeux me font mal, mais je ne veux pas les fermer au cas ou je manquerais quelque chose.

Ma respiration s'accélère et devient saccader. Je me relève et donne ma main à la jeune fille pour l'aider, mais elle la refuse. Debout devant moi, son regard est le même. J'entend quelqu'un crier. Je me tourne alors vers la source du bruit et voie Nino qui accours vers nous. Lui aussi semble fâcher et de mauvaise humeur.

Il me demande avec colère qu'es-ce qui m'a pris. Sauf que cette fois ci, quelque chose sort. Ce n'est pas des parole, mais des larmes. J'en aie assez de faire le dure à cuire. Je m'effondre au sol et Nino me rattrape. Alya elle me jette un regard un peu plus sympathique et se ru dans la boulangerie.

-Vient mon pote on a besoin de parler tout les deux, me dit mon ami.



Quelques minutes plus tard, chez Adrien.

J'ai enfin repris mon souffle. Nino m'a dit que beaucoup d'élèves avaient vu notre course poursuite et que des rumeurs courraient sur moi et Marinette. Je me rappelle alors de la promesse que je lui avais fait. J'ai tout fait sauf être discret.

Mon cœur se compresse et l'aire me manque. Le brunet met une main dans mon dos pour me consoler et me demande pour une dixième fois de lui dire qu'es-ce qu'il m'a pris. Pour tout dire, je n'en aie pas la moindre idée.

À se moment là tout se bousculait dans ma tête. Se moment était inoubliable et si cette maudite blonde ne nous avais pas déranger. Es-ce que nous nous serions embrasser? Je me sens idiot. Se regards enjouer me fessait sourire et c'était peu être la dernière fois qu'elle m'en adressait un.

Ah! Mais quelle idiot je suis! Mon coté charmeur a pris le dessus et j'ai blesser c'elle qui illuminait ma journée. Je dis se que je pense à Nino et il me regard désespérer.

-Tu t'es vraiment mis dans la merde mon vieux, me dit il exaspéré.

Mon silence est ma réponse.

-Maintenant, elle va croire que tu a jouer avec ses sentiments et que pour toi ce n'était qu'un jeu, m'avoue t'il.

Mon cœur loupe un battement. C'est définitif demain, je vais aller lui parler.


Le lendemain:

Point de vu de Mainette:

Je me réveille grâce au lueur du soleil. J'ouvre mon cellulaire et réalise que je suis en retard. Les cours commence dans cinq minutes. Je me lève rapidement et prend les premier vêtement que je vois. Je les enfile est vitesse et descend les marches pour arriver dans la boulangerie. Je vole un croissant à mon père et lui donne un bisou sur la joue.

Mon sac sur le dos je traverse la rue et rejoint l'enceinte de l'école. Me dirigeant vers les casier j'Entend la cloche retentir. Merde je suis en retard. En plus je suis en cours de math et Madame Mendeleiev ne sera pas heureuse. J'ouvre mon casier et fourre mon sac à l'intérieur.

J'attrape mon cahier mauve et referme la porte de la boite de métal. Je fais le plus vite possible. Je regarde par le fenêtre et vois ma professeure dos à la classe. J'ouvre la porte délicatement et me faufile à ma place. Ouf, je n'aurai pas de retenue aujourd'hui.


À la fin du cours.

Le cours de mathématique se termine enfin. J'ai remarquer qu'Adrien n'étais très attentif. Il m'inquiète. Je pense aller lui parler, mais j'aides doutes. Que va r'il penser? Es-ce qu'il va encore jouer avec mes sentiments? Non! C'est décider, je ne me laisserai plus faire.

Je veux garder le contacte avec lui, car il y a cette étincelle qui nous unis. Mais il n'y aura rien de plus. Je vais repousser ses avances. Je prend mes affaires et me dirige en direction des casiers en compagnie d'Alya.

Hier, elle m'a beaucoup aider. Elle me disait que se n'était pas grave et qu'il fallait que je passe à autre chose ou que j'aille lui dire mes sentiments. Pour la première option, je crois que c'est la meilleur. Cependant, elle est très difficile à faire et la deuxième ne m'en parle même pas. Je suis sur que je ne vais pas réussir à prononcer un seul mot sans rougir comme une tomate.

En plus, il va me repousser et donc ça va me faire de la peine. C'est pourquoi j'ai choisis la première option. J'Arrive finalement à mon casier et prend mes affaires d'Art dramatique. J'ai plutôt hâte, mais j'ai peur de reparler à Adrien. Je ferme mon casier et sursaute en apercevant quelqu'un à mes côtés.

-Bonjour ma reine j'espère que tu te sens mieux, me dit-il en baisant les yeux. Je voulais m'excuser pour hier mais tu sais mon côté charmeur l'emporte souvent. il dit cette dernière phrase en me faisant un clin d'œil.

-Oui j'ai bien remarquer et je voulais aussi m'excuser pour ma réaction. J'aurais du te laisser parler, je lui dit doucement en détournant à mon tour les yeux.

Se que je viens de lui dire le surprend, mais il garde son calme. Sa main vient encadrer mon menton et se qui m'oblige à le regarder dans les yeux. Ses pupilles sont dilatés se qui fait en sote que je prend moins de plaisir à regarder ses beaux yeux verts.

Un silence s'installe. La blondinet s'approche de moi. Je suis paralysée. J'aimerais bouger, mais je n'y arrive pas. Son visage contourne le mien et son souffle se dépose sur mon oreille.

-Je suis sincèrement désoler. Je ferai plus attention la prochaine fois et j'espère que tu vas m'accompagner au défiler car le moitié de l'école pense que nous sortons ensemble. Se serais dommage que leurs rêves soient briser, me dit-il en chuchotant pour que seul moi puisse entendre.

-Je crois que le seul rêve qui se réaliserais si je vais ça serais le tiens. Aie-je raison? Je lui demande sur un ton taquin.

Il se recule surpris de ma réaction. Nos regarde se croise et il hausse les épaules se qui me fait éclater de rire. J'essaye de me retenir, mais il est comme paralysé. Je le pointe du doigt et continu à rire. Un bruit de cochon sort de ma bouche et je m'empresse de mette une main devant celle-ci.

Les rôles s'inversent. Je suis immobile et regarde Adrien rire au éclat. Je prend conscience de la situation et le rejoins. Pendant plusieurs minutes, un plaisir fou nous empares et rien ne peut l'enlever. Des bruits de bas retentissent dans la pièce et s'arrête d'un seul coup. Je me tourne et vois un garçon de secondaire un qui nous regarde les yeux exorbité.

-Alors c'est vrai... Vous sortez réellement ensemble!

Je me tourne vers mon présumer petit copain et le vois sourire.

-Ce n'est pas moi qui l'est dit, me répond t'il malicieusement.

Je lui donne une tape au bras se qui nous relance dans cette état second. J'entend la première cloche sonnée et donc me tourne pour sortir des vestiaires. Je prend de grande inspiration avant d'ouvrir les portes et de tomber face à face avec un attroupement de gens qui écoutaient notre conversation.

Je suis bouche-bé. Adrien me regarde et me fait un clin d'œil. Un rictus sort de ma bouche et il me prend la main pour m'entraîner hors du groupe. Des cris de surprise se font entendre. Comme quoi il ne faut pas toujours croire les rumeurs.

(1333 mots)

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Voilà pour aujourd'hui! J'espère que ça vous a plus. Je suis en train de penser à changer mon horaire de publication de chapitre. Avez-vous des horaires à me proposer. (Ex: A quelle fréquence je publie et combiner de chapitre je publie par fois.)

Et si j'en étais un autre ? (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant