Chapitre 13: Le sweater

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Point de vu d'Adrien:

Je me réveille tranquillement. Le soleil commence à peine à se lever. Cela annonce l'arrivé de l'hivers. L'hivers est une très jolie saison. Tout est blanc et lumineux. La seul chose que j'aime moins est la température. De temps en temps, elle peut descendre jusqu'à -40°. Mais par chance les écoles ferment.

Je décide de me lever pour m'habiller. Je choisi un chandail blanc et un pantalon basique. Je me dirige vers mon sac. J'ouvre la fermeture éclaire et réalise de mon sweater n'est pas présent. Je me souviens alors des événements du soir.

Elle et moi regardant le coucher de soleil enlacer l'un à l'autre. Elle avait froid, je lui est donc passe de quoi se couvrir. Je n'aie pas eu la chance de bien la voir avec mes vêtements, car nous étions assis. J'espère juste qu'elle me le rendra bientôt.

Je descend à la salle à manger et comprend que mon père ne mangera pas avec moi, comme à son habitude. Je prend mon déjeuner pour apporter et suis mon garde du corps. J'entre dans l'auto et apprécie les paysage défiler devant mes yeux.


Arrivé à destination, je sort en vitesse et rejoins Nino qui parle déjà avec Alya. Les deux me salut et me demande comment je vais. Je leur répond et une petite discutions se crée. Elle est agréable et fluide. Je m'entend vraiment bien avec eux.

-Adrien, sais-tu où est Marinette? Elle m'a dit qu'elle arrivait bientôt, me demande Alya un peu stressé.

-Moi, je sais exactement où elle se trouve, dit Nino en pointant une jeune fille traversant une rue.

Ses cheveux sont détachés et flottent au rythme du vent. Elle est habillé d'un jeans rose et de mon chandail noir. Mon cœur fait un triple salto en la voyant. Mais qu'elle est belle. Sa démarche, ses yeux, son corps. Tout est beau chez elle. Je me sens privilégié d'être celui qui détient son cœur.

Cette merveilleuse jeune femme s'approche de nous. Mon regard scotché sur elle, Marinette rougit en me voyant. Je l'aide à monter les marches et arriver en haut, je lui donne un léger baiser sur le front se qui a pour effet de la faire frissonner.

-Mais dit-on vous deux. Il ne se passerait pas quelque chose donc on ne serait pas au courant, demande Alya sans gêne.

Mon regard se pose de nouveau sur ma bien aimer. Ses yeux bleus me regardent comme si j'étais le seul au monde. Ah, se sentiment si spécial qu'est l'amour. Son visage si gentil me fait un petit signe d'approbation.

-Marinette et moi sortons officiellement ensemble, je dis sans décrocher mon regard du siens.

Nos amis sautent de joie. Je prend délicatement la joue de ma copine et dépose mon front sur le sien. Je ferme les yeux et profite du moment. Même si se n'est qu'un partie de notre corps qui est en contacte, je ressens tout de même une étincelle au fond de moi.

Je sens sa main se glisser près de mon collet. Elle l'attrape fortement et m'attire vers elle. Nos lèvres fusionnent et une explosion et fait sentir en moi. Comme au parc, elle essaye de prendre le contrôle. Mais cette fois ci, elle réussit. Ses mouvements sont un peu plus insistant et persistant. Je me laisse faire. J'adore qu'elle me contrôle de cette manière.

Ses bras s'enroule autour de mon coup et ses petits doigts se glissent dans mes cheveux. Pour ma pars, je l'entour de mes mains baladeuses. Justement celle-ci se dirige lentement de plus en plus bas. Je la sens tirer mes cheveux. Je sais qu'elle veut que je m'arrête, mais je continue. Je lui agrippe délicatement une fesse. Elle décolle ses lèvre des miennes.

-Tu ne peux pas t'arrêter en? elle me demande avec un sourire en coin.

-Non ma faim est trop grande il faut croire, je lui répond avec un ton malicieux.

Et si j'en étais un autre ? (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant