Chapitre 7: Les escaliers

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Point de vu de Marinette:

Les cours viennent de terminer. Je suis exténuée par ma journée même si c'était la première. Je prend mes choses et me dirige vers la porte. Au moment où je la franchis je m'arrête pour regarder Adrien seulement il n'est pas là. Il a du partir sans que je m'en appersoive. 

Je sors de la classe et repense à notre discutions dans les toilettes. J'ai peur de l'avoir blesser. Je ne veux pas que ça arrive. Cette chose qui nous uni est incroyable et je ne veux pas qu'elle parte. Je ne sais pas d'où elle vient ni comment elle c'est former, mais je ne peux m'en lasser. 

Chaque fois que je vous le blondinet, j'ai envie de lui sauter dans les bras. Comme si c'était un vielle ami que je retrouverais depuis longtemps. Seulement c'est tout le contraire. Je le connais depuis le début de la journée et nous nous côtoyons en permanence en classe. Alors pourquoi je me sens comme ça?

-Marinette?!

Je reprend mes esprits et vois Alya qui me fixe bizarrement. Je me demande bien pourquoi et je crois qu'elle a compris se que je pensais, car elle commence à rire.

-Tu es là depuis deux minutes et tu ne bouges pas. En plus, un certain jeune homme voudrait te voir, elle me dit cette dernière phrase en me fesant un clin d'œil.

Je me sens rougir. J'essaye de comprendre où je me situe et comprend que je suis en plein milieu de la cours intérieure. Mon regard cherche se chère homme qui me demande. Je finis par le voir près des escaliers. Je me dirige avec prudence vers lui. 

Au moment où il m'aperçois, le blond m'attrape la main et me tire en dessous des escaliers. Sur le coup, je ne comprend pas son geste, mais je réalise qu'il fait exactement se que je lui est demander de faire. Il se fait plus discret. 

A cette simple penser, un rictus s'échappe de ma bouche et Adrien semble heureux de ma réaction. Je me sens rougir et je ne comprend pas pourquoi. Sa main toujours dans le mienne s'élève et fini sa trajectoire sur sa bouche. Un frisson me parcours au contacte de ses lèvres sur ma peau. 

Ses yeux vert se noie dans les miens et un silence confortable s'installe. Si seulement nous pouvions restez comme ça pour le reste de notre vie. Ça serait un paradis, mais ce n'est pas le cas.

-J'ai un défilé de mode samedi et j'aimerais savoir si tu voudrais venir avec moi. Si tu veux je te payerais une limousine séparer de la mienne et une place au premier rang. Comme ça tu seras à mes côtés sans l'être.

Son sourire est confiant et apeurer. Il a peur que je décline son offre.

-Merci pour la limousine, mais tu peux n'est prendre qu'une. Je prendrai la même que toi et fait en sorte que l'on soit assis l'un à côté de l'autre. Je ne vais pas supporter de me sentir loin de toi.

Un sourire charmeur apparaît sur son visage. Il apprécie ma réponse. Je m'apprête à sortir du coin où nous nous sommes caché, mais Adrien m'attrape la main. Ses yeux verts fixe les miens et je me sens alors paralysé. Je ne réagi plus et lui non plus. 

Doucement, il s'approche de moi. Chaque pas qu'il fait me rend de plus en plus nerveuse. Maintenant, nous nous trouvons à quelques centimètres l'un de l'autre. Je peux sentir son cœur battre à l'unisson avec le mien. Son front se colle au mien et il glisse ses doigts entrent les miens. 

Je sens son souffle sur mes lèvres. Ses lèvres, elles sont si jolie. Sa main libre vient se déposer délicatement sur ma joue. Par réflexe, je dépose la mienne sur la sienne pour ne pas qu'il la bouge. Se sentiment est incroyable, jamais je n'aie ressentie une chose pareil. Sa bouche se lève et donne un léger baiser sur mon nez. 

Je ferme les yeux pour apprécier à cent pour cent de moment. J'ouvre mes paupières dès qu'il a finit et le voie m'observant. Une vague de chaleur m'envahit. Il rapproche son visage du mien, mais cette fois si il s'arrête à quelque millimètre de ma bouche. Je n'arrive pas à y croire. Je vais l'embrasser. Mon cœur bât à fier allure.

-ADRICHOUUU!!! OÙ ES-TU!!!

Je sursaute et m'éloigne rapidement du blond à contre cœur. J'observe si quelqu'un regarde dans à notre direction. Personne en vu. Je m'éloigne du coin suivie de près d'Adrien qui semble enrager. Je souris timidement et lui fait signe d'au revoir. Il ne fait pas de même. 

À la place, il me regarde avec des yeux remplis de... désirs?! Non, je dois sûrement mal interpréter le message. Cependant, je ne met pas fin à ce « eyes contact », je préfère continuer à examiner son regard. Tout d'un coup, je me fais bousculer par Chloé. 

Elle s'élance dans les bras d'Adrien qui lui répond à son étreinte. Il ne l'a pas repoussé. Il continue simplement de me regarder. Cette scène me brise légèrement le cœur. Il fait exprès sa la laissée faire pour me rendre jalouse. La mannequin a sûrement remarqué cette attirance qui évolue chez moi et il se permet de jouer avec. 

Arg, pourquoi j'ai cru qu'il allait m'embrasser et pourquoi j'ai voulu l'embrasser. La rage monte en moi. L'expression heureuse qui était présente, il y a quelque secondes a disparu. Une forte colère s'imprègne en moi. Le visage du blond se crispe et il repousse Chloé violemment se qui a pour effet de la faire tomber au sol. 

J'entame un pas de marche décider vers la sortie. J'entends quelqu'un me rattrape, or je sais exactement de qui il s'agit. J'accélère mon pas et cours en direction de chez moi. Pour mon plus grand malheur, il pleut, mais je m'en fou j'habite à un coin de rue. 

Cette course poursuite attire l'œil de beaucoup d'élèves. J'ouvre finalement la porte de la boulangerie et me dépêche de me réfugier dans ma chambre. Mes parents ne posent aucune question et tant mieux. Adossé à ma porte les larmes ruissellent sur mes joues. Mon cœur bat trop vite à mon goût. J'entends alors des pas se rapprocher de ma porte.

-Marinette s'il te plaît ouvre moi...

Cette voie si douce si apaisante. J'ai envie d'ouvrir la porte lui sauter dans les bras, mais je n'y arrive pas. Je suis trop blesser. Son geste m'a heurté de plein fouet. Je lui crie de partir, mais il ne le fait pas. Il me demande à plusieurs reprise de lui ouvrir. 

Son tempo de voie est bas et calme. Par contre, une fois de temps en temps sa voie se casse. Se qui me donne encore plus envie d'ouvrier cette maudite porte. Je me tourne vers celle-ci et la fixe. Je sais qu'Adrien est derrière et la regarde aussi. 

Je dépose ma main et mon front contre le morceau de bois et répète pour une énièmes fois la phrase. À différence que cette fois si, je suis sincère et je pleure à chaude larme.

-Adrien part.... Je ne veux pas de toi ici. J'ai besoin d'être seul... De réfléchir.. à... tout ça...

Le blondinet donne un coup de pied de frustration au mur et s'éloigne lentement. J'ouvre finalement la porte pour être sur qu'il est partie et c'est bien le cas. Je m'écroule sur mon lit. C'est définitif, je déteste les rentrer.

(1250 mots)

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Hahaha!!! Tout ce se passe pas comme prévu hein? En faite, rien va se passer comme prévu. J'ai hâte que vous lisez la suite.

Je vais essayer d'être un peu plus fréquente sur la publication des chapitres. (Encore désoler pour ma petite absence) Bref, c'est tout pour aujourd'hui. À la prochaine!!!!

Et si j'en étais un autre ? (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant