Amnésie-Ereri

Chapitre 3 ~ Kiss

Bon c'est toujours court comme chapitre... J'essaie de mettre une image qui correspond le plus à chaque chapitre...

Voilà deux semaines que je suis à l'hôpital. Levi passe tout son temps à mes côtés sauf pour aller à l'école. Il me raconte toutes sortes d'anecdotes sur ma vie. Mes parents passent aussi de temps en temps mais moins souvent car ils ont peur que ça me "perturbe" comme je ne les reconnais pas.

Levi me parle beaucoup de mes parents, sûrement qu'il se sentait mal pour eux. Il me parle aussi de mes deux meilleurs amis : Armin, alias champi, avec qui je rigole apparement beaucoup et à qui il pense que je dis tout et Mikasa, une fille que ma famille a adopté qui essaye de me protéger de tout et qui Levi pense en pince pour moi.

Il m'a raconté qu'il a 2 ans de plus que moi (moi, 16 et lui, 18 ans) et m'a aussi parler de Hangji et Erwin, ses meilleurs amis à lui.  Il ne m'a parler à aucun moment de nous et encore moins de Petra (ce qui ne me dérange pas du tout).

MOI -Comment on s'est rencontré ?

LEVI -Tch, je préfère que tu te le rapelles tout seul... Mais je t'aiderais ne t'inquiète pas.

MOI -Comment ça ?

LEVI -J'ai prévu une sortie à deux pour samedi...

Les infirmières me ont appris le jour de mon réveil que je rentrais chez moi vendredi et ont demandé à Levi de beaucoup parler avec moi mais pas de choses trop personnelles ou touchantes avant mon rétablissement total. Je me sens pris pour un faible et je déteste ça. Je veux tout savoir surtout mon histoire avec Levi qui bizarrement er malheureusement n'a plus essayer de m'embrasser. Il s'est même éloigné avec sa chaise. Je ne peux donc pas le toucher même le bras tendu. Mais, il est toujours près de moi, ce qui m'apaise énormément.

MOI -Dis, Levi?

LEVI -Quoi ?

MOI -C'est quoi mon prénom ?

LEVI -Hein ? T-tu connais pas ton nom ?

MOI -Si je te demande c'est que non...

LEVI -Mais ça fait deux semaines, pourquoi tu as pas demander plus tôt ?

MOI -Je t'ai demandé quand je me suis réveillé mais tu ne m'as pas répondu. J'ai cru que quelqu'un finirait par m'appeler par mon nom mais je ne parle qu'à toi et tu le dis jamais...

LEVI -Et si on faisait durer le suspense...

MOI -Levi, s'il te plaît~

Levi s'approche de moi, je l'attrape par le bras et le tire vers moi. Il me regarde avec des yeux étonné mais rempli de désir malgré ça, il essaie de s'échapper. Je decide de m'asseoir sur lui pour pas qu'il s'échappe. Et je l'embrasse. Je sens des papillons remplir mon ventre quand il entre sa langue dans mes lèvres entrouvertes...

Je me sépara de lui brutalement!

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Je jouait tranquillement dans l'herbe quand Levi arriva vers moi et me plaqua au sol. On avait 11 et 13 ans et on était seuls chez lui. Je me demandais si il allait encore me crier dessus comme il le faisait tout le temps. Mais, au lieu de ça, il s'approche de moi et m'embrasse. Je savais pas bouger car il me tenait trop fort mais ça me dérangait pas, je ne voulais pas partir. J'ouvris la bouche ce qui apparemment le surpris mais il ouvrit la sienne aussi et entra sa langue dans ma bouche. Je fis de même. On resta comme ça le plus longtemps possible. On finit par se séparer à contre cœur pour respirer. On était tous les deux rouges comme des tomates et il partit en courant dans la maison.

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Je me sépara de lui brutalement. Il me regarda inquiet et me pris dans ses bras après avoir réalisé ce qui me perturbait (décidément, il est super intelligent). Après quelques minutes, il me demande :
-De quoi te souviens-tu ?
-Notre premier bisou...
Il me serra plus fort et mis sa main dans mes cheveux. Ce qui me rapella ce que j'essayais de faire...
Je lui fis un suçon.

LEVI -Ngh... Erenn~

Je m'arrête et m'assit sur lui tout souriant. Lui, me regardait avec des yeux noir (qui fesait peur). Il m'a démasqué...

LEVI -Comment peux-tu ?

Je sais pas comment il s'y prend, mais je me retrouve sous lui. Il commençait à m'enlever ma chemise d'hôpital quand quelqu'un toqua à la porte. Levi marmonna des paroles incompréhensible et me lança un regard signifiant qu'il aurait sa vengeance (ce que je doute pas). C'était mes parents, ils venaient me chercher car c'était vendredi et je pouvais rentrer chez moi.