Amnésie/ Taekook. [Reprise]

Huit: Première indice:-l'imeuble

Pdv Jungkook:

La nuit arrive déjà à sa moitié, il est alors minuit. Je n'ai pas fermé l'œil du tout. J'étais trop occupé à trouver une quelconque histoire qui pourrait coller à ma vision. Mais à force, j'ai plutôt eu une migraine affreuse.

Après être monté dans ma chambre et avoir regardé l'album, on est redescendu pour dîner, enfin, souper serait le plus approprié. Le souper était bizarre, la table était des plus silencieux que si une mouche était passé, on l'aurais entendu. Puis, on a décidé d'aller dormir. Grâce aux nombreuses chambres de libre, Jimin et Taehyung sont restés même si ils ont leur appartement. Et en attendant qu'ils dorment bien, j'ai divagué. Et maintenant, comme je l'ai dit, il est minuit.

Je me lève alors de mon lit le plus discrètement pour que personne ne m'entend. Je sors de ma chambre sur la pointé des pieds et cours rapidement vers le couloir à droite de l'escalier. Il fait sombre dans cet aile de la maison. Comme ci personne n'y a plus remit les pieds depuis longtemps. J'arrive devant la porte, j'ai une boule au ventre. J'ai peur d'y découvrir quelque chose d'horrible mais je devais me rendre à la raison, je dois le savoir et je le saurais quand même un jour. Je pousse doucement la porte et redécouvre la chambre. Mais contrairement à la dernière fois, je ne vois pas de vision. J'entre dans la chambre et regarde un peu partout une quelconque chose qui m'attirerait. Au bout de quelques minutes a cherché, je ne trouve rien d'intéressant. Alors que j'allais abandonner, je vois quelque chose briller par la clarté de la lune dans un tiroir mal fermé. Je ne perds pas une seconde et marche rapidement vers le tiroir. Je l'ouvre et tombe sur une chaîne à pendentif. J'ouvre le pendentif et découvre une photo de mon père sur le côté droit et une photo de moi sur l'autre côté. Je penses qu'il appartient à ma mère. Je ne peux retenir une larme en la serrant dans mes bras. Il est peut être le seul souvenir de ma mère que j'ai. Enfin, je ne sais pas. Je ne sais toujours pas comment mes parents sont morts et je n'ai pas envie de le questionné dé maintenant. Alors que j'allais quitter la chambre avec le pendentif en main, je découvre quelques photos accrocher au mur. Ce sont mes parents encore! Et là, je pense reconnaitre cette chambre. C'est la chambre de mes parents ! Mais... Si c'est leur chambre, cela voulais dire que j'habitais ici depuis le début ? Je dois me renseigner.

J'ai alors une idée. Si c'est leur chambre, cela voulait dire que leurs affaires étaient là. Je fouille alors un peu partout avant de tomber sur des dossiers enfouis au plus profond de l'armoire. J'ouvre le classeur qui a les dossiers et bingo, je tombe sur les dernières revue de mon père. Je prends alors place sur le lit et commence à lire. Mais au bout d'une heure de lecture, j'abandonne en comprenant que ce sont des dossiers qu'il devait rapporter à son bureau. J'allais alors partir quand je laisse tomber tous les dossiers en les éparpillants un peu partout. Je soupir rageusement avant de me baisser pour ramasser le tout. Alors que je ramassais, je tombe sur un dossier en particulier. Mais ce n'est pas un dossier de travail mais plutôt des pensés, comment puis-je dire... Il a écrit ses pensés comme dans un journal intime. Je fronce les sourcils en lisant un "meurtre" dans un paragraphe. Je suis sûrement mal poli de lire cette intimité mais je dois comprendre.

"... Une chose très bizarre et effrayant s'est déroulé aujourd'hui. En finissant le travail, j'allais rentrer car il se faisait tard. Mais en entrant dans le parking sous terrain, j'aperçus mon patron discuter avec plusieurs homme que je n'avais jamais vu. Je voulais juste passer à côté d'eux et leur saluer en partant mais j'entendis sans faire exprès leur discussion. Mon patron disait:... Cette homme ne doit pas être retrouvé. Emmener le loin d'ici et faites en sorte que la police pense que c'est un suicide. Surtout, ne faites aucune erreur sinon j'ai bien peur que cette semaine soit la dernière que vous passez sur terre. Ce n'était sûrement pas le dernier que j'ai commis. Et croyez moi, j'en commettrais d'autres meurtre...