Chapitre 1

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Chapitre 1

- Allez debout Molly, tu est en retard ! Je ne le répéterais plus ! Voilà, ça c'est ma mère et tout les matins c'est la même chose. Huit heure trente et déjà debout. Je suis tellement fatiguée, mais faut que je me motive. Jessy, Jane, Emy et Hailey, mes meilleures amies sont arrivées chez moi de grand matin pour prendre l'avion et partir au États-Unis. Ma mère croit qu'on part pour les grande vacances alors qu'en réalité ce qu'elle ne sait pas c'est que jamais nous ne reviendrons. Bien sûre je la préviendrais une fois arrivée. D'ailleurs, si la maman de Jane et d'Hailey, ne lui aurait pas parlé, jamais elle ne m'aurait laisser partir, même pas pour les vacances. Toute les mamans de mes amies de savent que nous ne reviendrons pas, moi la mienne est un cas, je suis trop jeune pour faire commencer ma vie de femme d'après elle, mais moi je suis prête, je suis asse mature pour cela. Et comme vous vous en doutez ce n'es pas moi la gentille fille-fille à sa maman qui a eu cette brillante idée mais Hailey, jeune fille de 18 ans, rebelle, tatouée, cheveux court et blond platine, sexy et vulgaire, le top du top comme dirait Emy. Mais elle n'a pas toujours été comme ça, avant elle était comme moi, travailleuse, bonne élève et les sorties c'était pas son truc, elle préférais rester dans son canapé à regarder pretty little liars que de sortir et se bourrer la gueule comme tout les jeunes de notre âges le font, sauf nous la bandes des inséparable, mais plus maintenant, elle avait également de long cheveux brun, bref, une jolie fille sage et talentueuse. Mais ça c'était avant, je le répète. Comment une jolie fille sage peux elle devenir une fille sexy et vulgaire ? Tel est la question. Mais je l'aime quand même, elle reste ma meilleure amie, je ne retiens que la bonne partie d'elle. Quant-à moi, j'ai 17 ans, cheveux long et brun, petite, d'après ce que me disent les gens je suis "mignonne" mais bon, je suis une bonne élève. De ce côter tout va bien, mais en ce qui concerne ma famille, c'est l'enfer, je la hais, horriblement. Bref.

 Je sors enfin de mon lit, je marche en traînant des pieds jusqu'à mon dressing puis j’attrape un short taille haute, et un débardeur large que je peux rentrer a l'intérieur pour casser le look chic, puis j'enfile mes nouvelle paires de ballerine que mon copain, Joe, m'a offerte, il est tellement parfait, vous savez c'est le genre de garçon que toute les filles rêveraient d'avoir, il est attentionné, gentil, beau et surtout pas macho, je déteste ce genre de mec, argh. Après m'être vite fait maquillée, je descend et mes amies sont dans la cuisine avec leurs valises, quand je regarde la mienne et la leurs j'ai l'impression qu'elle emporte avec elles leurs dressing, mais bon, moi je m'achèterais de nouveaux habits là-bas. C'est plus pratique.

Nous entamons ensemble le petit enfin le grand déjeuner que ma mère nous a préparer et nous discutons de tout et de rien lorsque quelqu'un sonne à la porte : C'est Joe, j'avais presque oublier que c'était lui qui nous emmenait a l'aéroport, notre avions est à midi dix, mais il faut compter une heure le temps de trouver une place. Mais attendez, quel heure est t-il ? Oh non c'est pas possible déjà onze heures, et nous n'avons pas encore mis les valises dans la voitures !

 - Dépêchez vous les filles nous somme en retard ! Cria Joe vraiment essoufflé, on aurait dit qu'il venait de faire le marathon. Molly va vite dire au revoir à ta mère je m'occupe des valises. Me dit t-il en me laissant un léger baiser sur mon front.

 Après avoir fait un gros câlin à ma maman, nous montions tous dans la magnifique et nouvelle voiture grise métallisé de Joe, d'ailleurs il se vente tellement d'avoir eu son permis et sa voiture si rapidement. Faut dire qu'il n'est pas pauvre et bien au contraire, c'est l'une des raisons pour lesquelles ma mère veux que je reste aussi longtemps que possible avec lui, elle dit qu'il est très bien élever et qu'il sais montre le parfait exemple du gentleman. Bref, ma mère aime juste les bourges à mon avis.

 Déjà une demi heure que nous sommes dans cette voiture, il y a un terrible silence, je croit que nous sommes tous stressé, les filles et moi parce que nous changeons totalement de vie, et Joe parce qu'il a sûrement peur que ma mère découvre qu'il nous a aidé pour réaliser notre plan, même si j'ai du en baver pour le convaincre, il n'arrive jamais a me tenir tête. C'est trop mignon. Mais des fois ''casse couille '' comme dirait la plupart des adolescents de mon âge, mais je n'aime pas ce genre de vocabulaires et j'évite de l’employée. Même s'il m'arrive d'utiliser quelque mots grossier de temps en temps.

Bref.

 Pour brisé le silence qui règne dans cette voiture, je pousse un long soupire, je sais très bien que ça va attiré l'attention des autres. Et voilà, je vous l'avais dit ;

- Qu'est ce qu'il y a Mollya ? Me lança Joe.

- Tu va me manquer. Et ne m'appelle pas comme ça, tu le sais que je n'aime pas. Je lui avais répondu froidement, je crois qu'il en était même choqué.

 - Désolé, je viendrais te voir promis.

 Je n'avais rien à répondre a cela, je lui avait proposer de venir, il n'a pas voulu. Les filles se contentaient de nous écouter. Et voilà de nouveaux un silence, cette fois, un silence stressant.

 Bien que la route sois assez longue, je ne m’ennuie pas vraiment, je contemple ce magnifique paysage que je n'observerais pas avant un bout de temps. Je prend le temps de regarder tout les détails, que je n'avais encore jamais remarquer à présent. C'est fou ce que l'on peut remarquer quand on regarde bien un endroit précis. Je suis passée sur cette route maintes et maintes fois, et pourtant à chaque fois, je remarque de nouveaux changement.

En réalité j'ai vraiment peur de ne pas aimée mon nouveau Lycée, mon nouveau quotidiens, en faite, c'est simple j'ai peur de ne pas aimée ma nouvelle vie. Quand j'y pense, peut être qu'avec mes amies nous n'allons plus aussi bien nous entendre qu'avant, puisque l'on va habiter ensemble, 24h/24, 7j/7. Faut que j'arrête de m'imaginer des choses horrible. Tout va bien se passer, ou pas, à voir.

Enfin arrivé a l'aéroport. Je suis angoissée, mais je ne sais pas pourquoi, sûrement à cause du stresse, je dirais. Nous descendons de la voiture. On commence à marcher assez vite avec les valises à la mains, vers l'entrée. Plus on avance plus mon estomac se resserre. Je n'ai aucune envie de quitter Joe, je sais que je ne le verrais pas avant quelque long mois.

 Nous venons d'arrivés vers les portes d’embarquement, c'est le moments le plus dur, le moment ou je dois dire au revoir a Joe, le moment ou je vais fondre en larmes, le moment ou je sais que de l'autre côté des portes, ma vie sera plus jamais la même, c'est également le moment ou je réfléchis et je me demande si je fait vraiment le bon choix. C'est à mon tour, je regarde derrière moi et je vois Joe les larmes au yeux, je sais qu'au fond il a envie de pleurer, mais il se retient, il m'a souvent dit qu'il ne veut pas que je le vois pleurer par fierté. Ah la fierté !

 - Je t'aime, je te promet qu'on se reverra bientôt. Quand il prononce ces paroles, mes larmes coule de plus en plus. Il sais tout autant que moi que bientôt, veut dire à dans quelque mois. Ça me fend littéralement le cœur. Vous devez sûrement vous dire que je suis très bête, mais non,pour moi, oui, c’est réellement l'amour de ma vie, je crois en note histoire, je crois en nous. Çà fait maintenant 1 ans et 3 mois que nous sommes ensemble, et on a partagé tellement de chose, sauf notre première fois. Ah dix-sept ans et toujours pas ? Oh la coincée. Avouez que c'est à ce que vous avez pensez, mais figurez vous qu'on attend le bon moment. On se respect, c'est tout. Bref.

 Nous nous somme enfin installée dans l'avion, par chance on s'est retrouvées les quatre à coter. L'avion vient tout juste de décollé, c'est une sensation bizarre de voler dans les nuages.

 Jessy, Jane, Emy et Hailey, ce sont très vite endormie, moi je n'y arrive pas, je regarde ces magnifique nuages blanc, flottant dans le ciel bleu vif, avec quelque rayons de soleil traversant les nuages. C'est magnifique. Je me sens libre. Vraiment libre. Est-ce à cause de cette sensation d’apesanteur ?

THE STORY OF MY LIFEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant