I

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On se connaissait depuis un moment, nous étions des amies proches sans aucune arrière-pensée.
On vivait notre vie comme bon nous semblait, on se voyait souvent, pour rire, parler, passer du temps ensemble ! Mais ce jour fit tout basculer...

C'était un après-midi d'été, je devais la rejoindre chez elle. Je m'y rends comme à mon habitude, je sonne et elle m'ouvre rapidement.
Je la fixais de la tête au pied, elle m'accueille dans une tenue envoûtante à laquelle je m'y attendais pas. Je finis par la suivre jusqu'au salon où elle s'assoit en croisant les jambes, c'était bien la première fois que je la voyais ainsi...
Elle avait une robe de chambre de couleur blanche satinée, si fine et transparente qu'elle contrastait avec sa peau légèrement bronzée.
Je pouvais deviner ses formes, j'avais pu constaté que son fessier était rebondi, de face elle m'offrait une vue tout aussi exquise : je pouvais imaginer une belle poitrine ronde. Elle avait ses longs cheveux qui s'étaler sur ses épaules, je n'avais jamais ressentis un désir pour elle ni pour aucune femme.

« Alors tu ne t'assois pas ? » me dit-elle.

Je ne savais quoi répondre alors je m'assois en face d'elle. Je la fixe, ses yeux, ses lèvres.
Tout en me regardant, elle détache le noeud qui lui permettait de maintenir les plis de sa robe de chambre. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait...

« Qu'est-ce que tu fais ?... » lui demandais-je avec incompréhension

Elle me répond qu'elle avait simplement chaud, la vue qu'elle m'offrait me laisse sans voix.
Elle avait une si belle poitrine, un peu plus voluptueuse que la mienne, je pouvais voir ses tétons qui pointaient.
Je sentais en moi une sensation étrange, mon cœur commençait à battre... À ce moment elle renversa sa glace sur son téton gauche, j'ai pu voir ses 2 tétons devenir durs, très dur, elle lâcha un petit gémissement de surprise. Je me sentais excitée, ma culotte avait déjà commencé à mouillé terriblement. Je tentais de me contenir alors que mon corps tremblait de frustration.

« Viens me lécher s'il te plaît... »

Sa voix s'était perdue, je sentais un supplice derrière, ses jambes se resserrèrent davantage.
Je me lève dans sa direction, je m'abaisse de sorte à avoir la tête près de ses seins. Ni une ni deux, je lèche son téton. Elle soupirait alors que moi je mourrais d'envie de mordre..
Je pris l'initiative de caresser ses cuisses, de les desserrées et de les écartés légèrement.
Je passais ma main entre ses cuisses que je caressais, j'approchais ma bouche de son intimité que j'embrassais tendrement.
Je finis par levé la tête et avoir une approbation quelconque.

« Vas-y, brûle toutes les étapes,  je peux plus attendre »

Je me relève pour embrasser ses lèvres, je descends dans son cou et de mes mains j'empoigne ses seins. Je me fais force afin de descendre ma main plus bas, je la caresse et lui enfonce un doigt puis un deuxième. Son souffle se coupe, sa main se pose sur ma tête tandis que l'autre s'agrippe au manche du fauteuil, sa tête bascule en arrière. Elle a les yeux fermés, entre 2 respirations je l'entends murmurer « Sandra.. ».
Je me sens encore plus excitée, je commence mes vas-et-viens de plus en plus rapide et de plus en plus profond. Je reprends mes baisers sur ses seins, ma culotte est si trempée qu'elle n'absorbe plus ma semence qui s'écoule le long de mes jambes.

« Oh... tu mouilles si fort.. Sandra ohh.. »

Son bassin s'ondulait au rythme de mes doigts, de ma main libre je levais sa jambe afin de le mettre au-dessus de la manche du fauteuil.
Une jambe bien écarté...

« Écarte l'autre... »

Elle s'exécuta rapidement, je m'enfonçais encore plus en elle. Elle prend appui sur les 2 côtés du fauteuil et reprend ses ondulations...

« Je me sens venir... ohh je t'en pris.. plus fort !! »

Elle criait presque, j'obéis.. en à peine quelques seconde elle explosa. Toute sa semence accumulée coula, je m'empresse de tout léché...

« Déshabille toi vite, je veux entendre tes gémissements ! »

Elle s'approcha de moi et retira ma robe, je me retrouve à genou en sous-vêtements. Elle me regarde attentivement et finit par me dire que je lui faisais beaucoup d'effet.

« Tu peux pas savoir à quel point tu me fais mouillée, je te désire, je te veux. Depuis la fois où je t'ai vue avec une simple serviette dans ma salle de bain, j'ai eu tellement envie de te prendre.. Je n'ai jamais désirée une femme mais tu as éveillé en moi des choses que je ne peux pas contrôler. »

Je m'y attendais pas ! Pendant qu'elle se confesser, elle me retirait mes sous-vêtements, j'étais nue.
Elle m'allonge sur son sol en bois, au contact du sol frais mon corps est parcouru de frisson, elle se penche un peu plus vers moi.
La vue de ses seins me font rapidement mouillé, je les attrapent et les écrasent dans la paume de mes mains. Elle s'assoit à califourchon sur moi, elle bascule des hanches, son intimité se frotte au mien. De ses 2 mains elle prend mes seins dans ses mains, les malaxent.

« Durant plusieurs nuits je me masturbais en pensant à toi. Je nous imaginais à faire l'amour. »

Ses frottements devenaient plus intenses, je lâchais ses seins pour m'agripper à ses fesses.
C'est une sensation si agréable de sentir ses fesses ondulées sur moi, d'avoir le contacte de ses mains sur mes seins, elle me pince les tétons.
Mes gémissements devaient incontrôlables.

« Alice... je... oh ouii... continue comme ça. Ton petit minou qui se frotte contre moi, anh »

« Tu aimes ? »

Nos respirations étaient saccadées, nos joues rouges et pourtant ont en voulait beaucoup plus.

« Évidemment ! Putain, vas-y plus fort ! Encore ! Anhan, anhan »

Elle accélérait encore plus, je m'agrippais encore plus fort. Ses seins ne cessaient de s'entrechoquer, elle ondulait sur moi comme si elle était au galop sur un cheval.

« Sandra, tu me sens ? Je crois que je vais à nouveau jouir.. »

« Ne t'arrête pas, je ne vais pas tarder à te suivre ! Anhan, anhan ! Anhan »

Nos gémissements étaient des cris de plaisir.

« Sandraah, annh oh... je... Sandrah !! »

« Hmm, plus fort !! Anhan! Anhan! Annnhhaaan »

Nous avons jouis en chœur, elle se laissa retomber sur moi. Je l'entoure de mes bras et caresse ses longs cheveux...

« Je ne pensais plus à rien sur le moment, je veux te refaire ça plusieurs fois ma belle »

« Alice... te prive pas... »

Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres..
Je savais déjà que nous prendrons notre pied...

Désirs et envies inavoués Où les histoires vivent. Découvrez maintenant