IV

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En ce mercredi après-midi, pour pimenter un peu nos journée, ma colocataire m'avait inséré un petit jouet dans mon intimité. Elle m'a demandé de le garder jusqu'à son retour, elle le contrôlera à distance...
J'avais mis ma robe chemisier pour me sentir plus à l'aise dans mes mouvements et pour ce faire je ne portais ni culotte ni soutien-gorge.
J'attendais le passage de la personne qui est censé s'occuper de ma chaudière qui ne fonctionne plus.
J'espérais seulement qu'il ferait vite et qu'elle n'augmenterait pas la pression à ce moment là !
Il était enfin là, je le conduis vers la pièce en question, lui explique le nécessaire.
Je me mets dans l'entre bâillement de la porte afin de le laisser faire son boulot.
Je commençais à sentir la pression augmenter à l'intérieur de moi, je tentais de rester la plus calme possible et surtout de contrôler mon souffle.
Je me mets dos contre le mur du couloir, resserre mes jambes et je tente continuellement de respirer lentement. Il m'appelle pour me montrer d'où vient le problème, je m'avance difficilement près de lui afin de voir la source du problème. Une fois l'explication terminée je retourne à l'endroit de tout à l'heure pour reprendre mon souffle. Il me dit que ça ne durera pas longtemps.

J'arrive chez la cliente, elle m'avait l'air bien jeune, elle me demande de la suivre et me montre la chaudière, je lui tourne le dos et commence à m'y affairer, au bout d'une dizaine de minutes je lui demande de venir voir pour qu'à l'avenir elle puisse le régler elle-même.
Je lui dis que ça ne durerait plus très longtemps et je la sent repartir à sa place. J'étais dos à elle donc je ne voyais pas son visage.
Peu de temps après je commençais à entendre sa respiration devenir de plus en plus lourde, je comprenais pas pourquoi puisqu'elle n'a fait aucun effort éprouvant pour la faire respirer de cette façon. Je tente de n'y prêter aucune attention.
Ça devenait difficile de rester concentré, plus j'entendais sa respiration plus je voulais me retourner et mettre une expression à tout cela.
Ne pouvant me retenir plus longtemps je me retourne et lui demande si elle va bien. Je la vois comme mal en point, les jambes serrées, la tête légèrement en arrière et sa poitrine qui se soulève.
Elle me dit que ça va et qu'elle m'attendrait dans la salle de séjour. Au moment où elle se redresse et qu'elle met un pas devant elle, elle s'immobilise et pousse un gémissement étouffé. De la main gauche, elle prend appui sur le mur, elle pousse un nouveau gémissement.
Je vois ses tétons qui pointent, je baisse les yeux et je vois un liquide qui lui coule entre les jambes. Elle ne cachait plus ses gémissements, qui étaient bien audibles et excitants. Je m'avance vers elle, je soulève sa robe et je constate le sextoy bien humide. Voyant qu'elle ne pouvait plus marcher, je la soulève et la transporte jusqu'à son canapé.
Son corps était chaud, sa mouille m'avait couler sur Le Bras. Je la pose et la déshabille, elle n'oppose aucune résistance. Je lui laisse le sextoy et commence à l'embrassé, je mords ses tétons.

- N'enlevez pas ce qu'il y entre mes jambes, je dois le garder toute l'après-midi.

Je la vois à nouveau gémir, je voulais m'enfoncer en elle.

- hanhan, ohh je..

Je la retourne, je retire mon pantalon et mon caleçon et la pénètre. Elle pousse un cri, j'attrape ses seins et je les masse. Je sens qu'elle prend son pied et moi aussi.

- Ohan han n'arrêtez paaas

Je lui donne un coup assez violent qui lui coupe le souffle. Je me retire et l'allonge sur le canapé, lui écarte les jambes et lèche sa semence.
Elle se redresse et me demande de m'assoir.

Je le fais asseoir et prend son sexe que je mets entre mes seins, du bout de ma langue je le lèche.
Il explose rapidement, je lui fais lécher tout ce qui se trouve sur moi. Sa langue si chaude et si habile.
Le sextoy qui vibre toujours en moi...

Je l'embrassais avec un peu plus insistance en caressant ses seins. Je les sentais un peu plus sensible, elle gémissait encore contre ma bouche.
Je pinçais ses tétons ce qui lui causa un second cri.
On finit par s'allonger, je ne la quittait pas.
Je voulais la soulager tant qu'elle aurait ce petit jouet qui lui causerait des supplices.

Désirs et envies inavoués Où les histoires vivent. Découvrez maintenant