On va jouer ! {OUAT}

Chapitre 3

|PDV Émilie|

Peter m'avait enfaîte donner de l'air... Je courus dans la grotte en forme de crâne.

- Mais rah reviens ici sale... Commença à dire Peter.

Il y avait des marches pour accéder sûrement en haut du crâne, ces marche étaient éclairés par des petites bougies coller au mur, je courus vers le haut du rocher et Peter ne devait pas être très loin derrière moi, en arrivant en-haut, il y avait un énorme sablier, je m'écroula au sol car je n'avais plus aucune force, Peter arriva et il fessait une tête heureuse.

- Tu as perdue ahah et moi, j'ai gagné. Dit-il en s'approchant de moi.

- Non... Non tu n'as pas encore gagné... Dis-je difficilement.

- Peter Pan n'echoue jamais.

Il peut pas arrêté de faire son narcissique lui ? Pensais-je...

- Pourquoi tiens tu autant à avoir Henry ?

- Vois-tu ma jolie, ce garçon n'est pas comme les autres...

- Oui ça j'avais remarquée. Mais qu'est-ce que tu veux lui faire ? Dis-je sèchement.

- Bonne question, il croit...

- Il croit ?

- Il croit en la magie, et quand plus ce soit le fils de la sauveuse, ça prouve qu'il a un cœur bon, qu'il a le cœur du plus pure des croyants.

- Je vois... Et euh à quoi sert cette immense sablier ?

- Vois-tu très chère, ceci me permet de savoir combien de temps il me reste à vivre à moi et mon île. C'est grandiose n'est-ce pas ?

- Et tu veux te servir d'Henry pour sauver ta propre vie c'est ça ?

- Bravo, tu es très intelligente, mais je ne sais toujours pas pourquoi mon ombre t'a emmener sur mon île ? Dit Peter en arquant les sourcils.

- Ahah et bien ça mon cher Peter ce n'ai certainement pas moi qui répondrai à ceci. Tu n'as qu'à demander à ton ombre et te le dira peut-être.

- Je penses comprendre, ce n'est sûrement pas un hasard que Rumples...Le ténébreux t'es emmener ici, d'autant plus que mon ombre n'a jamais emmener de filles. Ça voudrai donc dire que toi aussi tu crois, que tu crois en la magie.

Je ne comprenais pas où il voulait en venir... Jusqu'à se qu'il me dise en s'approchant un peu plus de moi :

- Vois-tu, toi aussi tu as un bon cœur, un cœur pur et croyant, et maintenant, toi et ton cœur vous m'appartenez.

Je le regarde d'abord d'incompréhension mais quand il finit sa phrase je compris directement et lui jette un regard horrifié, il s'approcha à grand pas de moi et j'eu à peine le temps de reculer qu'il mit sa mains dans ma poitrine en pensant en resortir mon cœur de la, enfin si j'aurai eu un cœur...

- Comment peux-tu penser me prendre mon cœur, alors que je n'en est plus ? Dis-je avec un petit rire.

- Quoi ? Mais...

Il essaya de prendre mon cœur mais je n'en avait plus.

- Et oui mon cher Peter, si j'ai bien retenue une chose de ma mère, c'est de ne jamais garder mon cœur sur un endroit dangereux, avec quelqu'un de dangereux.