Petit berlingoz d'amour (une fanfiction avec les youtubeur Déoz et Mothy)

Un Quiproquo, Un Chien Et Jean Marie Le Pen

Fanfiction – Déoz et Mothy : Chapitre 2
« Déjà une heure que nous dessinons ? » s’étonne Mothy en regardant sa montre. « C’est fou ce que le temps passe vite en compagnie de Déoz… » pense-t-il en essayant de retranscrire sur le papier la longue et douce chevelure volant au vent de Seb du grenier. Il détacha ses yeux du papier l’espace d’une seconde pour tenter observer le visage de son ami, lui aussi très appliqué à dessiner Fred du grenier. « Je n’avais jamais remarqué à quel point Déoz était… beau. Je n’avais jamais vu que sa barbe était si soyeuse. Avant je ne le voyais pas ainsi, mais maintenant, ça me saute aux yeux. Oh bordel, je me le ferais b… » Il tourna vivement la tête, rouge comme un tomate à maturité qui aurait poussé sous le soleil provençal. « Mais je ne peux pas être attiré par Déoz, moi qui suis un fervent admirateur de Jean-Marie le Pen, il m’est impossible de mêler mes convictions politiques à un amour impossible. De plus, je n’ai jamais vécu aucune histoire d’amour de ce bord-là, excepté une fois au chalet, avec mon tonton chelou. » Il se ressaisit et continua son dessin faisant son possible pour ne plus croiser le regard de Déoz. Puis celui-ci posa sa main sur l’épaule de Mothy qui se retourna, toujours en baissant la tête, de peur de croiser le regard de Déoz (youtubeur possédant une -formidable- barbe).
Hey, Mothy, ça te dirait d’aller au bar d’à côté ? dit-il de sa douce voix mielleuse.
« Aller dans un bar ? » pensa Mothy « Cela pourrait être l’occasion de pécho D… de discuter…professionnellement ». Puis il répondit de sa voix tonitruante de gros alcoolo endurcit :
Oh oui ! Tu sais bien que je ne rate jamais une occasion de me bourrer solennellement la gueule à coups de pinte de bière.
À ces mots, Déoz se mit à rire, agitant alors sa -sublime- barbe de velours. Et enfin, les deux youtubeurs descendirent de leur appartement et se dirigèrent vers le bar « le choix Buscaron ».
Mothy et Déoz se posèrent sur la table du bars et entamèrent la discussion. Mothy peu doué pour ce qui était de la conversation (il était meilleur en bouteille) songea à parler pour ne rien dire de choses tout à fait banales, inconsciemment pour intéresser Déoz. Et il avait intérêt à le faire, puisqu’un putain de blanc reignait depuis près de dix minutes. Quand soudain, une idée de conversation lui vint à l’esprit :
Ah, Déoz ! J’avais oublié de te dire, j’ai récemment acheté une chien (sur le marché noir, ‘faut pas déconner, ça coûte cher). C’est une petite femelle de quatre mois. Elle arrive à la gare aujourd’hui… 
Il leva les yeux vers son ami qui semblait n’en avoir rien à cirer, il rêvassait. Il posa alors sa main sur l’épaule de Déoz (youtubeur possédant une -renversante- barbe), le sortant de ses songes. Mothy reprit donc la parole :
Tu pourrais venir la chercher à la gare avec moi ? Je te la montrerais, elle est magnifique. Elle a fait un long voyage depuis le Japon, tu sais ?
Il retira sa main de l’épaule de Déoz. Son ami faisait la moue. « ‘Tain, il doit se sentir obligé d’aller à la gare avec moi alors que ça l’emmerde. Je vais lui demander »
Dit Déoz, ça ne t’embête pas d’y aller avec moi ?
Non, bien sûr ! Pourquoi ça me dérangerait ? répondit-il avec un petit rire gêné.
S’en suivit un long silence d’au moins trente minutes. Cette longue attente silencieuse passée, les deux youtubeurs se relevèrent et allèrent à la gare. Heureusement pour Mothy, car il était sur le point de franchir le taux d’alcoolémie « Gérard Depardieu » ce qui, entre nous, n’est pas une mince affaire surtout à dix heures du matin. Sur le chemin, le silence persista et les youtubeurs baissaient la tête, chacun évitant le regard de l’autre. Quand le train arriva en gare, ils s’assirent sur des sièges de l’étage du bas dans un silence toujours aussi absolu, on se serait cru dans une bibliothèque, PTDR, hi hi.
Après quarante minutes de silence supplémentaire, Mothy jeta un rapide coup d’œil à Déoz en face de lui. Il avait la tête penchée et faisait encore la moue. « Je n’aurais pas dû insister, bien qu’il m’est dit que ça ne le dérangeait pas, je vois bien qu’il pense le contraire. Une heure de trajet avec lui, muet comme une tombe… ! Il vaudrait mieux que je lui propose de partir à la prochaine station pour rentrer chez lui. ». Puis il repencha la tête, tandis que le train continuait d'avancer.
Fin du chapitre 2
Voili voilou j'éspère que vous aurez apprécié cet épisode (hot)
Aller voir le watpad de la correctrice (qui fait des fanfics'bien meilleures que la mienne) slytherin_H
Et un grand merci à Jean Marie Le Pen pour sa contribution essentielle à l' épisode
Bye les petits berlingoz d'amour 💋.