Encore un de ces soirs où je suis là seul au bout du monde à me parler à moi-même, à essayer de ne pas perdre la raison ;
Un autre de ces soirs où je brouille du noir, oui un de ces soirs où j'essaie de résoudre ces étranges conflits internes qui m'habitent.Parfois j'aimerais ne plus avoir d'émotions car à moi ils me font tellement souffrir, souffrir au point où sous un simple claquement de doigts j'ai juste envie de m'effacer ; Laisser derrière moi toutes ces corbeilles de larmes que mes sentiments à ton égard veulent que je vide encore et encore.
Aujourd'hui même la pluie s'incline car la fontaine de mon cœur à une symphonie encore plus macabre que ce bruit de terreurs qu'elle me laisse sur le toit de mes sentiments.
Oui je n'ai pas un cœur en Or mais en poussière ;
Oui il n'est pas si fort mais il se permet de t'aimer ;
J'ai mon regard qui bave ;
Mon regard qui rêve d'une étreinte impersonnel,Et soudain le voilà qui vacille sur tes courbes qui le fascinent ;
Troubler par ce qui semble si frêle et surtout fragile il essaie de t'avouer ;
De t'avouer mes mots du cœur ; Désolé si je suis faible car tu es mon coup de cœur.
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LES LARMES D'UN CŒUR QUI SE MEURT
PoetryLE CŒUR ET LES MOTS Sur la tombe de mon cœur des milliers de fleurs qui se fanent dans le vent. Comme ces milliers de vers dans mon verre qui déborde, je serai à jamais ivre mort de ces mots.. Mes mots qui saignent.