Oui je délire souvent ;
Oui je délire un peu sous le vent ;
Sur le flanc des montagnes que toi ,petite alpiniste, tu tentes de franchir ;
D'où je suis je te vois ;
Je t'observe;
Moi la grande montage ;
Je te blesse ;
Je te caresse ;
Puis en un instant tu te relèves sous mon regard qui te façonne ;Apprend de moi la montagne ;
Apprendre de moi l'obstacle ;
Et je te livrerai tous les secrets de mon regard mélancolique ;Caresses moi de tes petites mains tachées de sang ;
Pose ton souffle plein de désespoir sur mon cou ;
Mais surtout laisse moi éprouver ton corps;
laisse moi le marquer aujourd'hui et demain ,de toutes les cicatrices ;
Qui feront de toi quelqu'un de magnifique toi mon petit caprice ;Franchis moi et qu'ensemble nous soyons ivres de l'horizon ;
Ivre de ce qu'on se serait appris quand on était serré ;
Oui serré l'un à l'autre .
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LES LARMES D'UN CŒUR QUI SE MEURT
PuisiLE CŒUR ET LES MOTS Sur la tombe de mon cœur des milliers de fleurs qui se fanent dans le vent. Comme ces milliers de vers dans mon verre qui déborde, je serai à jamais ivre mort de ces mots.. Mes mots qui saignent.