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Petit à petit je perds mon appétit , de moins en moins de goût quand tout de nous est restés au fond du trou ;
Tu as choisi pour nous le marteau au lieu de l'enclume et pourtant on s'était promi qu'on visera la lune .
Pourquoi me laisses-tu dans la brume ?
J'aurais aimé que toi tu m'écume , et non les regrets de ma plumes.
Juste une fois encore j'aurais voulus noircir ma feuille blanche de cet amour ;
Cet amour inconditionnel que je découvrais à chaque fois que je posais mon regard sur toi dans la cour.
Désolé si je n'ai pas su te faire la cour ,non pas parce que j'étais à court de mots doux mais juste par ce que de toi j'étais déjà fou .
Même si cela sonne faux , sache que je reste cacher derrière mon fléau .
Ainsi ne t'empêche jamais de regarder tout la haut , ferme les yeux et tu verras comme nous sommes beaux .
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LES LARMES D'UN CŒUR QUI SE MEURT
PoetryLE CŒUR ET LES MOTS Sur la tombe de mon cœur des milliers de fleurs qui se fanent dans le vent. Comme ces milliers de vers dans mon verre qui déborde, je serai à jamais ivre mort de ces mots.. Mes mots qui saignent.
