𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 3

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𝙿.𝙳.𝚅. 𝙴𝚖𝚖𝚊

( T/P ) m'avais parru bizzare ce soir. Elle semblais inquiète pour je ne sais quel raison. Lorsque je lui avais demandé, elle avais répondu qu'elle étais un peut fatiguée et qu'elle voulais monter se coucher le plus tôt possible. Je me suis dit que j'allais voir comment elle irais demain, et si elle n'allais pas mieux j'en parlerais à maman. Je pense qu'aux début elle m'en voudras, parce que je ne sais pour quel raison elle n'aime pas maman. Lorsque je lui avais demander pourquoi, elle avais habillement détourné la question en m'embrouillant le cerveau. Mais je suis sure qu'elle me pardonnera !

Gilda et moi discutions de la partie du loup du jours, lorsque nous entrâmes dans la salle à manger pour faire le ménage. Je me dirigais vers une table munie d'un balais et suivie de prés par ( T/P ), lorsque j'apérçut Little Berni qui tronais sur une table.

" CONNIIIIIIIE !!! TA PELUCHE NUNUCHE !!!! COMMENT TU AS PUS L'OUBLIER ?! M'éxclamais-je en prenant la peluche dans les bras.
- On as peut-être le temps de la ramener ? Proposa Norman.
- Tu est sûre ? Demmandais-je. Norman ouvrit la bouche pour parler, mais il fut couper par Ray qui étais déscendu.
- Oui, vous avez sûrement le temps. Confirmas-t'il. Ses cheveux mouillé paraissaient plus foncés que de coutume a cause de l'eau, et ils luisaient sous la lumière tamisée des lampes à huile. Il portais une serviette humide sur ses épaules qui mouillait son haut de pijama. Si ça continuais, le tissue deviendrais transparent.
- ???
- J'ais vu les lumières du portail allumé, si vous vous dépêchez, vous pourrez peut-être arriver avant qu'elle ne parte.
- J'y vais ! Annoncais-je d'une voie décidée.
- Je t'accompagne. Fit Norman en s'approchant de moi.
- Tu est sure ? demandais-je inquiète. Avec tes béquilles...
- Ne t'en fais pas pour moi. De toute façon je n'en ais plus besoin. Regarde. Dit il en les posant sur la table. Allez il faut se dépêcher si on ne veux pas loupper Connie.
- Hum. Affirmais-je en hochant la tête."

𝙿.𝙳.𝚅.𝚁𝚎𝚊𝚍𝚎𝚛

Je fixais Ray, une lueurs mauvaise dans le regard. Comment peut-il les envoyer la bas en toute connaissance de cause ? Il les envoi a la mort comme ca. Sans remors. Et il les regardes partir.
Je sentis la corère commencer a bouillir en moi. Mais il y avais une drole de sensatione qui réstais cachée dérrière cette colère. Comme la peur...
Sans réfléchir, je m'aprocha de lui le saisit brutallemment par le col de sa vest pour le tirer dehors. Je murmurais seulement un :" On doit parler " en guise d'éxplication. Lorsque nous arrivâmes dehors il me poussa pour que je le lache.

" MAIS QU'EST-CE QUI TE PREND A LA FIN ?!
- Ce qui me prend ? Ce qui me prend ?! C'EST TOI QUI VIEN D'ENVOYER DEUX DE TA FRATERIE SE FAIRE BOUFFER, ET TU ME DEMANDE CE QUI ME PREND MOI ?!
- SI TU CROIS QUE JE M'INQUIÈGE PAS POUR EUX !... ( T/P ) ? ( T/P ) ça vas ? Deux larmes coulaient le long de me joues. Je commencais a être secouée de sanglots. Pourquoi ?! Pourquoi maintenant ? J'ais toujoir réussi a contenir mes émmotions sans problème, mais pourquoi je craque... Et ce sentiments de colère a disparu, il n'y as que cette éspèce de peur qui me ronge de partout a l'intérieur... Elle me fait trembler et pleurer... Pourquoi ? D'habitude je n'ais pas peur des démons, et la ils ne sont mêmes pas devant moi et pourtant...
Je n'arrêge pas de penser a Emma Norman et Conny... Pourquoi ?
- R-Ray qu'est ce qu'il m-m'arrive...?Demandais-je avec difficultée. P-pourquoi est-ce-c'que je p-leur...?
- ( T/P )...
Je sentis quelque chose de lourd se se former dans mon ventre. Mes yeux devinrent plus humides qu'avant. La chose montas le long ma gorge. Je me recroquevillais un peut sur moi-même. Ray s'inquèta pour moi, et m'attrapas par les épaules. Je ne sais pas vraiment ce qu'étais cette chose, mais elle se logeas dans ma bouche, elle gonflas, gonflas, gonflas, jusqu'a ce que je ne puisse plus la contenire.
J'éclatais en sanglots pour la première fois de ma vie. Mon corp étais secoué de spasmes. Mes épaules s'abaissaient et se soulevaient de mannière irrégulière. Je dois vraiment avoir l'aire pathétique comme ca...

The path to paradise starts at the bottom of hell Où les histoires vivent. Découvrez maintenant