The path to paradise starts at the bottom of hell

𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 4

𝙿.𝙳.𝚅. 𝚁𝚊𝚢

J'attendai qu'elle revienne. Adossé contre la fenêtre jetant un regard inéxpréssifs vers le portail. Mon coeur cognai si fort dans mes oreilles que j'entendi à peine la poignet de porte cliqueter pour laisser entrer Norman, suivi de Emma puis de ( T/p ). Ils affichaient tous un aire grave

" Alors ? Demandais-je de la manière la plus détachée possible.
- C'etais trop tard. Murmuras Norman en baissant les yeux."

On voyais qu'il essayais tant bien que mal de camoufler sa voie tremblante.
Il commenca à monter les éscaliers suivi d'Emma. On pouvais voir des traces de larmes sillonner ses joues rouges, qu'elle cachais sous sa touffe de cheveux roux.
Lorsque ( T/P ) passa devant moi, je posais un regard insistant sur elle. Elle croisas son regard ( C/Y ) avec le mien, avant d'ocher imperceptiblement la tête pour me signifier qu'elle avais compris.

" Norman, je vais rester un peut avec Ray avant d'aller dormir.
- Tu est sure ? Demandas-t'il d'un ton sévère qui se voulais inquiet.
- Oui ne t'en fais pas."

A ses mots il fixa ( T/P ) différemment. Il la fixais comme Maman fixe ( T/P ) lorsqu'elle pense ne pas être vu. Un regard froid sévère et qui porte une tonne d'émotions et de ressentiments. On pouvais deviner qu'il lui communiquait des ordres silencieusement. Apres lui avoir fait signe qu'elle avais compris, elle tiras sur son col pour le remettre en place, bien qu'il soit déja impecable. Et elle s'adossa au mur à coté de moi, tandis que les marches des escaliers grincaient sous les pas d'Emma et Norman.

" Alors ? Demandai-je.
- On est dans la merde... affirma-telle en fixant le mur. Mon pouls et ma réspiration s'axélérèrent d'un coup.
Je mordis ma joue pour empêcher toute réaction de ma par. Il ne faut pas qu'on se fasse remarquer.
- Pourquoi ? Demandai-je inquiet.
- Ils ont oublié Little Bertrand la bas.
- Bertrand ?M'exclamais-je surpris.
-Bernard ? Proposas-t'elle.
-...
-

Bertholde ?
- ...
- Bob ?!
- ...
- Berni ?!?!
- Ah oui... oh mon dieux on est dans la merde.
- Et ils ne veulent pas que je te parle de ce qu'ils ont découvert, ils ne m'ont rien éxpliquer à moi non plus.
- Je voi.
- Tu crois qu'il vas falloir les forcer a parler ?
- Non, je pense qu'il viendront vers toi ou moi dans quelques jours. On aura qu'as attendre.
- On leurs diras ?
- De quoi ?
- Qu'on savai.
- Non, surtout pas. Ils risqueraient de nous prendre pour des traitres. J'imaginai Emma et Norman qui nous regardaient avec un regard froid et horrifié. Je ne pense pas que je le supporterait. Je les places en si haute estime... Mais, j'aurais toujour ( T/P ) pensai-je en lui jetant un regard discret. Lorsque je la vis, je me souvint brutalement de son corp tremblant contre le mien, de ses sanglots contenus, et de ce que j'avais failli faire. Je déglutis. A-autre chose ? Demandais-je gêner par mes souvenirs.
- Eh bien, ils savent qu'Isabella est notre énnemie. Mais sinon, rien d'autre a signaler. Je pense qu'il leur faudra du temps avant de comprendre tout ce qu'ils ont vu la bas.
- Tu peut aller dormir.
- Trés bien. Bonne nuit.
- Bonne nuit. Elle pris les éscaliers. Je regardais sa silhouette monter les marches a contre jour. Chacun de ses pas etaient imprègnés d'une grace féline, tel une panthère se faufilant silencieusement entre les hautes herbes.

J'étais perdu dans mes pensées lorsque sa voie résonna dans la pièce.

" Ray ? Elle semblais hésiter, elle tripotait son col de chemise avec anxiété, elle etais presque gènée et elle étais trés belle comme ça. Mignonne même.
- Oui ? Repondis-je pensif.
- Je suis.. désolée ?
- De quoi ?
- D'avoir dit que... que tu ne tenais pas un bon rôle de grand frère. C'etais méchant et purement gratuit et en plus c'est totalement faux, je te demande pardon. Lachas-t'elle d'une traite sans cesser de torturer son col
- Oh non, ne t'en fais pas, c'est déja oublié. C'EST QUOI CA ?! Hurlais-je intérieurement, Je suis pas comme ca d'habitude !!!
- Et... continua-t'elle.
- Oui ? L'encourageais-je.
- Tu.. tu voulais me dire quelque chose tout a l'heure non ? Sa main avais cesser de triturer son vêtement pour le serrer avec force, au point de blanchir ses articulations.
- Euh... je ne voi pas de quoi tu parle...
M'empréssais-je de répondre en détournant le regard pour cacher mon rougissement. Je sentis une goutte de sueure perler sur ma tempe.
- Euh... bon daccord. Bonne nuit alors."