𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 2

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𝙿.𝙳.𝚅. 𝚁𝚊𝚢

    Une matinée normal entre test, et rires d'enfants, tout étais identique à hier, sauf que Norman étais en béquille. Je ne sais pas si je devais en vouloir à ( T/P ) ou pas. D'un coté, elle l'à bléssé, de l'autre c'est elle qui lui as prodigué les premiers soins. Emma aurrais surrement fait n'importe quoi, et Norman serais bien plus mal en point à l'heure qu'il est. En plus ce qu'elle m'as dit hier m'as vraiment fais mal. Comme si je n'aimais pas mes frères et soeurs. Et pourtant,je n'arrive pas à lui en vouloir. Et ça me fais mal parce qu'elle a raison. Je ne tien pas le rôle de grand frère que je suis sencé avoir. Mais il le faut, pour les sauver. Elle, Emma et Norman.

   Aprés le test, les enfants allèrent jouer au loup dans la forêt, comme ils l'avaient prévu. Je regardais ( T/P ) partir en avance. Elle allais vite, en un instant, elle franchis la distance qui la séparait de la forêt pour plonger dans la mer d'arbres. Une minute plus tard, je donnais le top départ au reste des enfants avant de replonger dans mon livre. C'étais un livre qui éxpliquais l'évolution de la mécanique du 19ᵉᵐᵉ siècle. C'étais un de mes sujets préférés, pas la révolution industrielle, mais la mécanique. Et justement dans ce livre, ils éxpliquaient comment fabriquer certains objets courrant du 19ᵉᵐᵉ siècle. J'en avais fabriquer quelques uns, comme la montre à gousset avec laquelle je chronométrai les partis de loup.

    L'arrivée de Norman en béquilles me sortis de mes pensés. Il s'assit à côté de moi et jeta un coup d'oeil par dessu mon épaule pour savoir ce que je lisais.

" La mécanique ?
- Oui confirmai-je machinalement.
- Moi aussi j'ais toujour aimé ça. C'est ton sujet préféré nan ?
- Oui.
- Mais il y a quelque chose que tu aime plus pas vrai ?
- Et c'est quoi à ton avis ? Demandais-je en abaissant mon livre, agacé d'être interrompus. Qu'est-ce que le grand Norman à déduis de moi ? 
- ( T/P )... Je fus légèrement déstabilisé par cette réponse.
- Et ?
- Tu l'aime bien non.
- Bas oui. Comme toi ou Emma. Répondis-je en faisant mine de ne pas avoir compris son sous-entendu.
- Nan, je veut dire tu l'aime plus que les autres pas vrais ? Plus qu'Emma, ou Anna, ou bien Guilda.
- C'est à diiire... ? Demandais-je en feignant l'ignorance.
- Arrête tu sais trés bien ce que je veut dire.
- Désolé mais nan.
- Allez, tu sais, je suis au courant que t'as lu Roméo et Juliette. Quand je l'avais lu, j'étais devenu la risée de l'orphelinat. Tout le monde se moquais de moi en disant que j'aimais les histoires d'amour compliqué et les tragédies.
- Bon tu m'agace avec tes devinettes ! Qu'est-ce que tu veux à la fin.
- Tu l'aime. Je réstais figé quelque secondes. Je n'avais jamais entendu quelqu'un me le dire de cette façon. D'ailleur moi-même je ne me l'etais jamais avoue aussi franchement. Je pris un moment avant de répondre.

- Pff n'importe quoi !
- T'as hésité.
- Pas du tout. J'étais juste surpris de ton affirmation.
- Je sais que tu l'aime.
- Et qu'est-ce qui te fais dire ça ?
-

La façon dont tu la regarde, les coups d'oeil discrets que tu lui jette à la moindre occasion. Je t'ais même vu la déssiner une fois pendant qu'elle lisais devant toi. 
- Mais qu'est-ce que tu vien me raconter la ?! M'exclamais-je en rougissant au souvenir du déssin toujour rangé au fond de mon tiroir.
- Je te rappelle qu'on dors juste à côté. Je te voi le regarder super longtemps au millieux de la nuit. Je détournait le regard. Il avais raison. Je l'aprécie beaucoup, un peut trop même, et c'est surtout pour ça que je n'arrive pas à lui en vouloir.
- Et alors, qu'est-ce que ça peut te faire ? Et puis qu'est-ce que tu veux que je fasse ?
- Avoue-le.
- Mais je vien de le faire !
- Dit-le concrètement.
- Mais à quoi ça te sers ?
- Dit le.
- Non.
- Dit-le.
- J'ais dit non !
- Dit-le.
- Hors de quéstion !
- Dit-le !
- RHAAA J'AIME ( T/P ) !!! T'EST CONTENT ?! Je tremblais de rage et mes yeux commençais à ce mouiller pour je ne sais quelle raison.
- Oh tien, salut ( T/P ) !
- Attend c'est pas ce que tu crois ! M'exclamais-je en me retournant, mais je me pris les pieds dans mon pantalon et m'étalais de tout mon long sur la pelouse sous le rire de Norman. Il m'énèrve. Je me relevai et vint me réassoir à ma place en ouvrant mon livre pour me donner une contenance.
- Ça y est tu as bien ris, tu est content ?
- Ah ça, pour avoir ri, j'ai ri ! S'exclamas-t'il en essuyant une jeune larme qui pérlait au coin de son oeil.
- Bon et bien maintenant que tu as eut ce que tu voulais, fiche moi la paix.
- Non.
- Mais t'a pas bientôt fini de m'emmerder pendant que je lis !
- Tu devrais lui dire.
- Hors de quéstion ! Et puis... à quoi bon...murmurais-je mélancolique. Dans à peine quelques mois c'est mon anniversaire... et je vais mourir rajoutais-je dans ma tête
- Et alors ?
- Et alors je me ferais adopter Patate !
- Qu'est-ce qui te dis que vous allez pas aller dans le même collège une fois qu'elle seras adoptée ? En plus son anniversaire n'est pas loin du tien. Si c'est le cas, vous n'aurez pas à attendre longtemps avant vos retrouvailles. Tu t'imagine ? D'émouvante retrouvailles devant le grillage d'un collège. Toi et elle enlaçés et assortis en plus si il y a des uniformes.
- Tu dis n'importe quoi ! Et si ça se trouve, nos parents d'adoption vivront au deux éxtrémités du pays.
- Alors vous vous enverrez des lêtres émouvantes pleine d'amour et de tristesse. Et puis un jour, elle fuguera de chez elle, prendra un train et te sautera dans les bras sur les quais de la gare.
- Toi il faut que t'arrête de lire des   conneries...
- Comme Roméo et Juliette ?
- RHAAA la ferme ! De toute façons, ça m'étonnerait qu'elle m'aime.
- Détrompe toi.
- ???
- Tu sais hier, lorsqu'elle s'est assise à côté de toi, elle voulais s'éxcuser. Et lorsque l'on est arrivé, elle nous a dit de te rejoindre pour ne pas te laisser seul. Même si ce geste ne signifiait rien de particulier, cela me faisai vraiment plaisir de savoir que ( T/P ) m'avais privilégié. Mais malgré moi, mon péssimisme répondit.
- Et alors ? Ça ne veut sûrement rien dire. Qu'est-ce que tu croyais ?
- Je crois... qu'elle ne t'aime plus qu'elle ne le pense.
- Mmmmouais... souflais-je peut convaincu. "

The path to paradise starts at the bottom of hell Où les histoires vivent. Découvrez maintenant